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À MONSIEUR LE BARON BARCHOU DE PENHOËN

Parmi tous les élèves de Vendôme, nous sommes, je crois, les seuls qui se sont retrouvés au milieu de la carrière des lettres, nous qui cultivions déjà la philosophie à l’âge où nous ne devions cultiver que le De viris ! Voici l’ouvrage que je faisais quand nous nous sommes revus, et pendant que tu travaillais à tes beaux ouvrages sur la philosophie allemande. Ainsi nous n’avons manqué ni l’un ni l’autre à nos vocations. Tu éprouveras donc sans doute à voir ici ton nom autant de plaisir qu’en a eu à l’y inscrire

Ton vieux camarade de collége,

DE BALZAC.

1840.