{p. 209} À MONSIEUR GUYONNET-MERVILLE
Ne faut-il pas, cher et ancien patron, expliquer aux gens curieux de tout connaître, où j’ai pu apprendre assez de procédure pour conduire les affaires de mon petit monde, et consacrer ici la mémoire de l’homme aimable et spirituel qui disait à Scribe, autre clerc-amateur, « Passez donc à l’Étude, je vous assure qu’il y a de l’ouvrage » en le rencontrant au bal ; mais avez-vous besoin de ce témoignage public pour être certain de l’affection de l’auteur ?