Notes
1. On lit sur l’épreuve : « 400 francs », mais il a été dit plus haut (p. 16) que Brigitte versait une pension de six cents francs. Nous corrigeons.
2. Erreur de épr. : « par division » au lieu de « par dérision ». Nous suivons la correction adoptée par Anne-Marie Meininger dans la Pléiade.
3. Erreur de épr. : « espèce de » au lieu de « ou par le ». Nous corrigeons en suivant la leçon proposée par Anne-Marie Meininger dans la Pléiade.
4. Erreur de épr. : « cérémonieux » au lieu de « néanmoins ». Nous suivons la proposition faite par Anne-Marie Meininger dans l’édition de la Pléiade.
5. Balzac considère anagramme comme masculin : nous corrigeons le manuscrit.
6. Dans le manuscrit, Balzac écrit « Anatole », mais il a bien nommé le dernier enfant Colleville « Théodore » quelques lignes plus tôt. Nous corrigeons.
7. On lit sur épreuves « Charles » au lieu de « Jérôme ». Or, Charles est le nom de Colleville et non celui de Thuillier ; nous corrigeons.
8. On lit sur épreuves « Thuillier » au lieu de « Phellion », mais il faut corriger ce lapsus, peut-être dû à Balzac lui-même.
9. On lit « l’Annonce » au lieu de « l’assurance » sur épreuves : nous corrigeons en suivant la leçon proposée par Anne-Marie Meininger dans la Pléiade.
10. On lit sur épreuves « vieux » au lieu de « nouvel » ; nous corrigeons en suivant la proposition d’Anne-Marie Meininger dans l’édition de la Pléiade.
11. Au XIXe siècle, dinde pouvait encore être masculin.
12. On lit par erreur sur les épreuves « l’expansion » au lieu de « l’expression ». Nous corrigeons en suivant la leçon proposée par Anne-Marie Meininger dans la Pléiade.
13. On lit sur épreuves « la salle » au lieu de « le salon » ; nous corrigeons.
14. On lit sur épreuves « provinciale » au lieu de « provençale » ; nous corrigeons en suivant la proposition d’Anne-Marie Meininger.
15. Anne-Marie Meininger propose de remplacer « fait ses douceurs » que l’on lit sur épreuves par « faisait horreur » ; nous suivons sa leçon.
16. On lit sur épreuves « sans » au lieu de « d’une » : nous corrigeons.
17. On lit sur épreuves « sœurs » au lieu de « servantes » ; nous corrigeons comme les éditeurs qui nous ont précédé.
18. [N.D.A.] Un ouvrage dans le genre de la Physiologie du Mariage, dans lequel l’auteur travaille depuis 1833, époque à laquelle il fut annoncé.
19. On lit par erreur « parties » au lieu de « pratiques » sur les épreuves. Nous suivons la leçon proposée par Anne-Marie Meininger dans la Pléiade.
20. Sur épreuves, on lit « l’opération » au lieu de « l’expiration » ; nous corrigeons en suivant la leçon proposée par Anne-Marie Meininger dans la Pléiade.
21. « Est-ce que je ne vous fais pas pitié ? » est mis par Anne-Marie Meininger à la place de la lecture fautive « Est qu’il ne vous fait pas pitié ? »
22. Nous remplaçons la leçon fautive « un peu découragée » par « un peu de courage ».
23. Nous suivons la proposition d’Anne-Marie Meininger qui suggère de remplacer la lecture « joues » par « yeux » dans l’édition de la Pléiade.
24. On lit par erreur dans les épreuves « décrite » au lieu de « discrète » ; nous corrigeons en suivant la suggestion d’Anne-Marie Meininger dans la Pléiade.
25. « Antée », mis au lieu de la lecture fautive « amies », ainsi que le suggère Anne-Marie Meininger dans l’édition de la Pléiade.
26. On lit par erreur sur les épreuves : « associés » au lieu de « avoués ».
27. On lit sur épreuves : « jeune » au lieu de « vieille » ; nous corrigeons.
28. On lit dans les épreuves « excursion » au lieu d’« exposition » ; nous suivons la leçon proposée par Anne-Marie Meininger dans l’édition de la Pléiade.
29. Ici s’arrête le jeu d’épreuves A187 du fonds Lovenjoul ; la suite du texte est reproduite depuis le jeu conservé sous la cote 186.