23 septembre 1997

Cher Jonathan,

Cela m’a fait une personne rose de chatouillis de recevoir ta lettre et de savoir que tu es régressé à l’université pour ton année concluante. Quant à moi, j’ai encore deux années d’études au nombre des restes. Je ne sais pas ce que j’accomplirai après ça. Beaucoup des choses que tu m’as informées en juillet sont encore considérables pour moi, comme ce que tu as articulé au sujet de la quête des rêves, et que si l’on a un bon et significatif rêve, on est dans l’oblongation de le quêter. Ça doit être plus un gâteau pour toi, je dois dire.

Je n’aspirais pas à mentionner ceci, mais je vais le faire. Bientôt, je posséderai assez de numéraire pour acquérir un bon d’avion pour Amérique. Mon père ne sait pas cela. Il pense que je dissémine tout ce que je possède dans des discothèques célèbres, mais c’est par procuration car je vais souvent à la plage me percher pendant tant d’heures, de sorte que je n’aie pas à disséminer de numéraire. Quand je me perche à la plage, je pense à la chance que tu as.

C’était le quatorzième anniversaire de Mini-Igor hier. Il a fait son bras cassé le jour jadis, parce qu’il est tombé encore, cette fois d’une clôture sur laquelle il faisait de la marche à pied, si tu peux le croire. Nous avons tous essayé très inflexiblement de le faire une personne heureuse, et ma mère a préparé un gâteau extra qui avait tant de plafonds et nous avons même tenu un petit festival. Grand-père était présent, bien sûr. Il a enquis comment tu vas, et je lui ai dit que tu régresserais à l’université en septembre, qui est maintenant. Je ne l’ai pas informé au sujet de comment le garde a volé la boîte d’Augustine, parce que je savais qu’il se serait senti honteux et que ça l’avait rendu heureux d’avoir tes nouvelles et il n’est jamais heureux. Il voulait que j’enquiers s’il serait une chose possible pour toi de poster une autre reproduction de la photographie d’Augustine. Il a dit qu’il te présenterait du numéraire pour toute dépense. Je suis très en détresse à propos de lui, comme je t’ai informé dans la dernière lettre. Sa santé est en train d’être défaite. Il ne possède pas l’énergie de devenir morfondu souvent et il est d’ordinaire en silence. En vérité, je favoriserais qu’il me hurle, et même qu’il me donne des coups de poing.

Mon père a acquis une bicyclette neuve pour Mini-Igor pour son anniversaire, qui est un présent supérieur, parce que je sais que mon père ne possède pas assez de numéraire pour des présents comme des bicyclettes. « Le pauvre Empoté, il a dit en étendant sa main sur l’épaule de Mini-Igor, il faut qu’il soit heureux à son anniversaire. » J’ai engainé une image de la bicyclette dans l’enveloppe. Dis-moi si elle est impressionnante. S’il te plaît, sois véridique. Je ne serai pas en colère si tu me dis qu’elle n’est pas impressionnante.

J’ai résolu de n’aller nulle part de célèbre hier soir. Au lieu, je me suis perché à la plage. Et je n’étais pas dans ma solitude normale parce que j’avais pris la photographie d’Augustine avec moi. Je dois te confesser que je l’examine avec tant de récurrence, et persévère de penser au sujet de ce que tu as dit au sujet de tomber amoureux d’elle. Elle est belle. Tu es juste.

Assez de conversation miniature. Je suis en train de te faire une personne très ennuyante. Je vais maintenant parler au sujet de cette affaire de l’histoire. J’ai perçu que tu n’étais pas aussi apaisé par la seconde division. Je m’aplatis encore pour ceci. Mais tes corrections étaient si faciles. Merci de m’informer que c’est « chier des briques », et aussi « quel bol il a ». C’est très utile pour moi de connaître les expressions correctes. C’est nécessaire. Je sais que tu m’as demandé de ne pas altérer les fautes parce qu’elles font humoristique, et qu’humoristique est la seule véridique façon de raconter une histoire triste, mais je pense que je vais les altérer. S’il te plaît ne me déteste pas.

J’ai bien façonné toutes les autres corrections que tu commandais. J’ai inséré ce que tu as ordonné dans la partie de quand je t’ai rencontré la première fois. (Penses-tu en vérité que nous sommes comparables ?) Comme tu l’as commandé, j’ai retiré la phrase « Il était gravement petit », et inséré à sa place, « Comme moi, il n’était pas grand. » Et après la phrase « “Oh”, dit grand-père, et j’ai perçu qu’il se départait encore d’un rêve », j’ai ajouté, comme tu commandais, « Au sujet de grand-mère ? »

Avec ces changements, j’ai confiance que la deuxième partie de l’histoire est parfaite. J’ai été incapable d’ignorer d’observer que tu m’as encore posté de la numéraire. Pour cela, encore je te remercie. Mais je perroquette ce que j’ai articulé avant : si tu n’es pas apaisé par ce que je te poste, et aimerais avoir ton numéraire posté en retour, je le posterai en retour immédiatement. Je ne pourrais pas me sentir fier d’aucune autre manière.

J’ai besogné très dur sur la prochaine section. C’était la plus rétive jusqu’ici. J’ai tenté de deviner certaines des choses que tu me ferais altérer et je les ai altérées moi-même. Par exemple, je n’ai pas utilisé le mot « morfondre » avec une telle habitualité, parce que j’ai perçu qu’il te mettait sur les nerfs par la phrase dans ta lettre quand tu disais, « Arrête d’utiliser le mot “morfondre”, ça me tape sur les nerfs. » J’ai aussi inventé des choses que je croyais t’apaiser, des choses drôles et des choses tristes. Je suis certain que tu m’informeras quand j’ai voyagé trop loin.

Concerné au sujet de ton écriture, tu m’as envoyé beaucoup de pages mais je dois te dire que je les ai toutes lues chacune. Le Livre des rêves récurrents était une très belle chose et je dois dire que le rêve que nous sommes nos pères m’a rendu mélancolique. C’est ce que tu avais l’intention, oui ? Bien sûr, je ne suis pas mon père, donc peut-être je suis l’oiseau rare de ton roman. Quand je regarde dans le reflet, ce que je contemple n’est pas mon père mais le négatif de mon père.

Yankel. C’est un brave homme, oui ? Pourquoi tu penses qu’il a fait d’escroquer cet homme tant d’années avant ? Peut-être qu’il avait besoin du numéraire très gravement. Je sais comment c’est, malgré que jamais je n’escroquerais aucune personne. J’ai trouvé stimulant que tu aies fait une autre loterie, cette fois pour dénommer le shtetl. Ça m’a fait penser au sujet de ce que je dénommerais Odessa si on me donnait le pouvoir. Je pense que je la dénommerais Alex, parce que alors tout le monde saurait que je suis Alex et que le nom de la ville est Alex, donc je dois être une personne très extra. Je pourrais aussi l’appeler Mini-Igor, parce que les gens penseraient que mon frère est une personne extra, ce qu’il est, mais ce serait bien que les gens le pensent. (C’est une chose bizarre comment je souhaite tout pour mon frère ce que je souhaite pour moi-même, encore plus rétivement.) Peut-être que je l’appellerais Trachimbrod, parce que alors Trachimbrod pourrait exister et aussi tout le monde ici acquerrait ton livre et tu pourrais devenir célèbre.

Je suis regretté de finir cette lettre. C’est ce que nous avons d’aussi proximal de la conversation. J’espère que tu es apaisé par la troisième division et, comme toujours, je demande ta mansuétude. J’ai tenté d’être véridique et beau, comme tu me l’as dit.

Ah, oui. Il y a un article additionnel. Je n’ai pas amputé Sammy Davis Junior, Junior de l’histoire, malgré que tu m’as conseillé que je devrais l’amputer. Tu as articulé que l’histoire serait plus « raffinée » avec son absence, et je sais que raffiné est comme cultivé, poli et bien élevé, mais je t’informerai que Sammy Davis Junior, Junior est un personnage très distingué avec des appétits très bigarrés et des sièges de passion. Contemplons son évolution et nous résoudrons ensuite.

Ingénument,

Alexandre