20 juillet 1997
Cher Jonathan,
J’aspire à ce que cette lettre soit bonne. Comme tu le sais, je ne suis pas de premier ordre avec l’anglais. En russe mes idées sont affirmées anormalement bien, mais ma seconde langue n’est pas si extra. J’ai entreprendu d’ingérer les choses que tu m’as conseillées et j’ai fatigué le dictionnaire que tu m’as présenté, comme tu me l’as conseillé, quand mes mots paraissaient trop menus ou pas convenants. Si tu n’es pas heureux avec ce que j’ai accompli, je te commande de me le retourner. Je persévérerai de besogner dessus jusqu’à ce que tu sois apaisé.
J’ai engainé dans cette enveloppe les articles que tu enquérais, nonobstant des cartes postales de Loutsk, les registres du recensement des six villages d’avant la guerre, et les photographies que tu m’as fait garder pour cause de précaution. C’était une très, très, très bonne chose, non ? Je dois m’excuser aplati pour ce qui t’est encouru dans le train. Je sais combien la boîte était considérable pour toi, pour nous deux, et combien ses ingrédients n’étaient pas échangeables. Voler est une chose ignominieuse, mais une chose que les gens encourent très répétitivement dans le train d’Ukraine. Puisque tu n’as pas sur les extrémités de ton doigt le nom du garde qui vola la boîte, il sera impossible de la recouper, donc tu dois confesser qu’elle est perdue pour toi à jamais. Mais s’il te plaît ne laisse pas ton expérience en Ukraine blesser la façon dont tu perçois Ukraine, qui doit être en tant que totalement impressionnante ex-république soviétique.
Voilà mon occasion d’articuler merci pour avoir été si longtemps souffert et stoïque avec moi pendant notre voyage. Tu avais peut-être comptabilisé sur un traducteur avec plus de facultés mais je suis certain que j’ai fait un médiocre travail. Je dois m’aplatir d’excuses pour n’avoir pas trouvé Augustine, mais tu embrayes combien c’était rétif. Peut-être si nous avions plus de jours, nous aurions pu la découvrir. Nous aurions pu enquêter les six villages et interroger beaucoup de gens. Nous aurions pu soulever chaque rocher. Mais nous avons articulé toutes ces choses tellement de fois.
Merci pour la reproduction de la photographie d’Augustine avec sa famille. J’ai pensé sans fin à ce que tu disais au sujet de tomber amoureux d’elle. En vérité, je ne l’ai jamais saisi quand tu l’articulas en Ukraine. Mais je suis certain que je le saisis maintenant. Je l’examine une fois quand c’est le matin, et une fois avant de manufacturer des RRR, et à chaque moment je vois quelque chose nouveau, quelque manière de laquelle ses chevelures produisent des ombres, ou ses lèvres résument des angles.
Je suis si si heureux parce que tu étais apaisé par la première division que je t’ai postée. Tu dois savoir que j’ai accompli les corrections que tu demandais. Je m’excuse pour la dernière ligne au sujet de comment tu es un juif trop gâté. Elle a été changée et est maintenant écrite, « Je ne veux pas conduire pendant dix heures jusqu’à une ville affreuse pour m’occuper d’un juif gâté. » J’ai fait plus prolongée la première partie sur moi, et me suis délesté du mot « nègre » comme tu m’as ordonné, malgré que c’est vrai que je suis très affectueux d’eux. Cela me fait heureux que tu adorais la phrase « Un jour, tu feras pour moi des choses que tu détestes. C’est ça que veut dire être une famille. » Je dois t’enquérir toutefois qu’est-ce qu’un truisme ?
J’ai ruminé ce que tu m’as dit au sujet de faire la partie sur ma grand-mère plus prolongée. Parce que tu ressentais avec tellement de gravité à ce sujet, j’ai pensé bon d’inclure les parties que tu m’as postées. Je ne peux pas dire que j’ai caressé ces choses, mais je peux dire que je convoiterais d’être la variété de personne qui caresse ces choses. Elles étaient très belles, Jonathan, et je les ai senties vraies.
Et merci, je me sens endetté d’articuler, pour n’avoir pas mentionné la non-vérité au sujet de comment je suis grand. Je pensais qu’il pouvait apparaître supérieur si j’étais grand.
Je m’efforçai d’accomplir la section suivante comme tu m’as ordonné, plaçant en primordial dans mes pensées tout ce que tu m’as précepté. J’ai aussi tenté de n’être pas évident ou indûment subtil comme tu démontrais. Pour le numéraire que tu as envoyé, tu dois être informé que j’écrirais ceci même en son absence. C’est un honneur mammouth pour moi d’écrire pour un écrivain, surtout quand il est un écrivain américain, comme Ernest Hemingway ou toi.
Et mentionnant que tu écris, « Le commencement du monde arrive souvent » était un commencement très exalté. Il y avait des parties que je ne comprenais pas, mais je conjecture que c’est parce qu’elles étaient très juives, et que seulement une personne juive pouvait comprendre quelque chose de si juif. Est-ce pourquoi vous pensez que vous êtes choisis par Dieu, parce que seulement vous pouvez comprendre les drôleries que vous faites sur vous-mêmes ? J’ai une petite requête sur cette section qui est : sais-tu que beaucoup de noms que tu exploites ne sont pas des noms véridiques pour Ukraine ? Yankel est un nom que j’ai entendu et aussi Hannah, mais le reste sont très étranges. Les inventas-tu ? Il y avait beaucoup de mésaventures comme ça, je te l’informe. Es-tu là un écrivain humoristique ou mal informé ?
Je n’ai aucune autre remarque additionnelle lumineuse, parce que je dois posséder plus du roman de façon à luminer. Pour le présent, sois conscient que je suis ravi. Je te conseillerais que même après que tu m’en auras présenté plus, je peux ne pas posséder beaucoup de choses intelligentes à articuler, mais je pourrais peut-être être de quelque néanmoins utilité. Peut-être que si je pense que quelque chose est très mi-débile, je pourrais te le dire et tu pourras la rendre non-débile. Tu m’as informé de tellement à son sujet que je suis certain que j’adorerais beaucoup lire les restes, et penser encore plus hautain de toi, si c’est une possibilité. Ah oui, qu’est-ce que cunnilingus ?
Et maintenant, pour une petite affaire privée. (Tu peux décider de ne pas lire cette partie si elle te fait une personne ennuyante. Je comprendrai malgré que s’il te plaît ne m’en informe pas.) Grand-père n’a pas été en santé. Il s’est altéré à notre résidence en permanent. Il reposait au lit de Mini-Igor avec Sammy Davis Junior, Junior et Mini-Igor reposait sur le sofa. Cela ne morfond pas Mini-Igor parce que c’est un si bon garçon qui comprend beaucoup plus de choses que quiconque croit. J’ai l’opinion que la mélancolie est ce qui rend grand-père malsain, et que c’est ce qui le rend aveugle, malgré qu’il n’est pas aveugle véridique, bien sûr. C’est devenu prodigieusement pire depuis que nous sommes rentrés de Loutsk. Comme tu sais, il était très défait au sujet d’Augustine, plus que même toi ou moi étions défaits. C’est rétif de ne pas parler de la mélancolie de grand-père avec mon père, parce que nous l’avons tous deux rencontré à pleurer. Hier soir, nous étions perchés à la table de la cuisine. Nous mangions du pain noir en conversant d’athlétisme. Il y eut un bruit au-dessus de nous. La chambre de Mini-Igor est au-dessus de nous. J’étais certain que c’étaient les pleurs de grand-père et mon père était aussi certain de cela. Il y avait aussi une petite batterie contre le plafond (dans la normale, la batterie est excellente comme celle du Dniepropetrovsk Crew, qui sont totalement sourds, mais de celle de ce genre je n’étais pas amouraché.) Nous essayions très rétivement de la négliger. Le bruit a déménagé Mini-Igor de son repos et il vint dans la cuisine. « Bonsoir, L’Empoté », a dit mon père parce que Mini-Igor était encore tombé et s’était fait encore l’œil noir, cette fois son œil gauche. « J’aimerais aussi manger du pain noir », dit Mini-Igor sans regarder mon père. Malgré qu’il a seulement treize ans, presque quatorze, il est très malin. (Tu es la seule personne à qui j’ai remarqué ceci. S’il te plaît ne le remarque à aucune autre personne.)
J’espère que tu es heureux et que ta famille est en santé et prospère. Nous sommes devenus comme amis pendant que tu étais en Ukraine, oui ? Dans un monde différent, nous aurions pu être des amis réels. Je serai en suspens pour ta prochaine lettre, et je serai aussi en suspens pour la division suivante de ton roman. Je ressens l’oblongation de m’aplatir encore d’excuses (je commence à être tant aplati) pour la nouvelle section que je te confère, mais comprends que j’ai essayé meilleurement et fait de mon mieux, ce qui était le mieux que je pouvais faire. C’est si rétif pour moi. S’il te plaît sois véridique, mais aussi s’il te plaît sois bénévole, s’il te plaît.
Ingénument,
Alexandre