CHAPITRE I

SOUS LES TOITS DE PARIS

 

 

 

Dieu sait que j'habite Paris depuis assez longtemps pour ne plus m'étonner de rien. Ici ce n'est pas comme à New York : inutile de chercher délibérément l'aventure... il suffit simplement d'avoir un peu de patience et d'attendre ; la vie viendra vous dénicher dans les endroits les plus incroyables et il vous arrivera toutes sortes de choses. Pourtant, ma situation présente a de quoi surprendre... cette jolie fillette de treize ans sur mes genoux, son père occupé à enlever son pantalon derrière un paravent dans le coin de la pièce, la jeune putain plantureuse assise sur le divan... comme si je regardais la vie à travers une lentille déformante, les images sont identifiables mais brouillées.

Je ne me suis jamais considéré comme un sadique violant les petites filles dans les fourrés... vous savez, le genre de type qu'on arrête dans les jardins publics, toujours un peu miteux, les jambes flageolantes, qui explique que la gamine avait de la terre sur sa robe et qu'il était en train de la nettoyer... Pourtant je dois reconnaître que le petit corps impubère de Marcelle m'excite. Non parce que c'est une enfant, mais parce que c'est une enfant dénuée de toute innocence... plongez vos yeux dans les siens, vous découvrirez le monstre du savoir, l'ombre de la sagesse... allongée en travers de mes cuisses, elle serre sa petite figue autour de mes doigts... et ses yeux rient de mes scrupules.

Je caresse ses jambes filiformes, ma main saisit une fesse frémissante... son corps a conservé les rondeurs potelées de l'enfance. Marcelle est une femme miniature, une copie encore incomplète. Son con est humide... Elle adore que je le titille du bout des doigts... elle tête le devant de mon pantalon... ses doigts m'effraient quand ils se glissent dans ma braguette. Je retiens son bras... mais elle a déjà trouvé mon buisson. Tirant sur mon manteau, elle se colle tellement à moi que je ne peux l'empêcher de saisir ma queue et elle se met à jouer avec Jean Jeudi... eh bien sa taille ne devrait pas la décevoir...

La putain secoue la tête d'un air réprobateur... À son âge... à son âge, maugrée-t-elle... ce genre de pratiques devrait être interdit par la loi. Pourtant elle se rince l'œil, n'en perd pas une bouchée. Dans sa profession, on ne peut pas se payer le luxe du plaisir ; pour bien vivre, une pute doit apprendre à vendre son con et non ses passions... mais je vois l'émotion crisper son corps et sa voix tremble déjà...

Elle appelle Marcelle. La fillette ne veut pas me quitter, mais je la fais descendre de mes genoux... Je suis presque soulagé d'être débarrassé d'elle. Pourquoi veut-elle jouer à la — euh, mauvaise fille ? lui demande l'autre. Debout entre les genoux de la jeune femme, elle ne répond pas, et la pute palpe son corps nu. Fait-elle ça avec papa tous les soirs ? Oui, tous les soirs quand ils sont au lit... elle est provocante, triomphante... Et quand papa travaille, quand il n'est pas là pendant la journée ? Parfois les gamins essaient de lui faire des choses... mais elle ne leur cède jamais, et pas davantage aux hommes qui lui proposent une promenade.

Son père, mécontent, sort de derrière le paravent. La jeune dame serait bien aimable de ne pas poser de questions à l'enfant... il apporte une bouteille, et tous les trois nous buvons un verre de brandy frelaté. Sa fille a droit à un dé à coudre de vin blanc.

Je m'assois sur le divan à côté de la putain. Elle est aussi soulagée par ma présence que moi par la sienne ; elle a oublié sa profession, sinon elle se déshabillerait quand je commence à caresser sa cuisse... au lieu de quoi elle s'allonge et me laisse remonter sa robe... Ses jambes sont longues et massives.

Marcelle est sur les genoux de son père vautré dans le fauteuil. Elle joue avec son truc pendant qu'il la chatouille entre les jambes... elle soulève son petit ventre et il l'embrasse ; entre ses jambes écartées on voit le doigt paternel qui glisse dans son trou minuscule. Sa figue s'élargit quand elle y enfonce un de ses doigts avec celui de l'homme, et elle rit...

Le corps de la pute est brûlant ; quand elle écarte les jambes, je m'aperçoit qu'elle est humide. Elle a une touffe aussi large que ma main et douce comme un nid de plumes. Elle remonte le devant de sa robe, sort ma queue et frotte le nez de Jean Jeudi contre sa motte... pince mes seins, gémit-elle, oh j'aimerais tant que tu les embrasses, que tu les mordes. Elle me supplie de la baiser ; l'argent qu'elle a reçu pour venir ici n'a plus rien à voir avec ce qui se passe maintenant... elle accepterait probablement de le rendre, voire de payer un supplément pour qu'une queue la soulage de sa démangeaison...

Marcelle veut que nous la regardions. Pliée en deux sur son père, tenant son outil dans une main et gesticulant de l'autre, elle réclame un public à cor et à cri. Elle va le sucer jusqu'à l'os, nous prévient-elle, nous devons la regarder pendant qu'elle gobe l'outil paternel. Son vieux se pâme comme un amateur de hachisch. Aux anges, vautré dans son fauteuil, il attend que cette petite salope s'y mette.

Je me demande si elle éprouve autant de plaisir qu'elle en a l'air... car on voit tout de suite que quelqu'un lui a montré certains trucs, que tout ça ne sort pas de son imagination. Elle frotte le gland de son père contre ses mamelons, le serre entre ses seins naissants, branle sa queue d'avant en arrière... puis elle colle sa tête contre son ventre, embrasse son nombril, embrasse ses cuisses, embrasse son buisson... sa langue évoque un ver rouge niché dans les poils noirs de l'homme.

La putain s'empare de ma main et la plaque entre ses jambes. Elle est si excitée qu'elle crie presque quand la petite salope gobe la bite paternelle et se met à la sucer. Ce n'est pas possible, s'exclame-t-elle, et Marcelle émet quelques bruits de succion pour lui prouver que c'est possible...

Marcelle veut que je la baise. Elle bondit sur le divan et se faufile entre la fille et moi... la fascination et le dégoût me paralysent. Elle se glisse dans mes bras, son ventre nu se presse contre ma queue, elle ouvre mes cuisses et met mon outil en batterie... Je fais mine de me retourner sur le ventre pour lui échapper, mais je sens les lèvres de son con sur mon gland et elle me chevauche aussitôt.

« Baise cette petite chatte en chaleur ! » La putain se penche au-dessus de moi, les yeux brillants, excités... Elle remonte sa robe jusqu'aux épaules... Frotte ses nichons contre mon épaule. J'entends aussi le père de Marcelle — « Baise-la ! Je veux voir ma petite chérie en train de se faire baiser ! »

Marcelle élargit sa minuscule figue fendue, la tient bien ouverte et l'abaisse sur mon gland... Le petit monstre réussit à le faire entrer... Je regarde ma queue élargir sa fente. Je ne sais pas comment elle parvient à l'enfourner... Mais sa chatte semble aspirer ma queue qui s'enfonce encore et encore... L'espace d'un instant, j'ai envie de la jeter à terre, d'écarteler ses jambes d'enfant, de baiser son con au point de le faire éclater, de l'ouvrir, l'agrandir, le distendre avec ma queue pour baiser sa matrice de bébé et la remplir de sperme à ras bord... Mais maintenant c'est elle qui me baise, son cul soyeux frôle ma touffe, ses lèvres nues se blottissent dans mes poils... Elle rigole, la mignonne, elle adore cette bite qui remue en elle...

Je la repousse loin de moi, la vire du divan, mais elle ne comprend pas qu'elle me dégoûte, ou si elle le comprend, elle ne veut pas le savoir... Elle s'accroche à mes genoux et lèche mes couilles, ses lèvres rouges embrassent ma queue — je remarque brusquement qu'elles sont maquillées — et elle l'enfourne dans sa bouche avant que j'aie le temps de protester. Elle me suce, je vais exploser... Mon outil l'empêche de respirer, elle s'étrangle...

« Espèce de cinglé ! je gueule à son père. Je ne veux pas baiser ta foutue gamine ! Baise-la toi-même puisque tu y tiens tant ! » Je rentre mon outil dans mon pantalon, et Marcelle court rejoindre son père. « Je dois être aussi frappé que vous pour avoir accepté de venir ici... Je ne suis même pas ivre... Maintenant barrez-vous de mon chemin ! »

« Papa ! » s'écrie Marcelle. Je crois d'abord que ma violence l'effraie, mais non... ce petit monstre n'a peur de rien. Ses yeux ambrés sont fixés sur moi. « Maintenant, papa ! Dis à la pute de me battre pendant qu'il me baise ! Oh, papa, je t'en prie ! »

Je sors en trombe de cette maison de fous. Je suis prêt à trucider le premier écervelé qui se mettrait en travers de mon chemin. Une fois dans la rue, je tremble tant que je dois m'arrêter pour m'adosser contre une palissade. J'ai le sentiment d'avoir échappé à quelque chose de glauque et sanglant, comme une scène de cauchemar.

« Monsieur ! Monsieur ! » C'est la putain qui me suit. Elle s'accroche désespérément à mes mains. « Je lui ai jeté son argent au visage, à ce sale porc. » Elle me voit mettre la main à ma poche. « Non, je ne veux pas d'argent... »

Je l'entraîne derrière une clôture, dans ce qui ressemble à un entrepôt de bois. Elle se colle à moi de tout son corps, remonte sa robe au-dessus de son cul et me laisse caresser sa toison. Elle est en rut au point que le miel mouille ses cuisses bien plus bas que ma main ne peut descendre... son huître s'ouvre au contact de mes doigts et elle sort Jean Jeudi de sa niche.

Il y a une pile de planches où s'allonger. Elles sont rugueuses et humides, la fille va probablement passer le restant de la nuit à retirer des échardes de son cul, mais elle n'en a cure... elle veut qu'on la baise et serait prête à s'allonger sur des tessons de bouteille le cas échéant. Les jambes bien écartées, elle cale ses hauts talons dans une anfractuosité, remonte sa robe sous sa poitrine et tend son corps vers moi.

« Monsieur... Monsieur », soupire-t-elle. Tu ne sauras jamais combien je te suis reconnaissant pour cette nuit, merveilleuse garce que tu es...

Je plante mon poireau dans son buisson. Le crâne chauve de ma queue n'abrite aucun cerveau, mais livré à lui-même, il se débrouille comme un chef. Il se faufile dans la jungle de sa motte et bute contre le rectum.

Une véritable inondation coule entre ses jambes, à cette putain. Impossible de l'enrayer... on pourrait fourrer des serviettes, des couvertures, des matelas entre ses cuisses sans réussir à tarir cette source destinée à vous submerger. Je suis comme un petit garçon qui doit colmater une brèche dans une digue avec ses seuls doigts. Pourtant mon outil va accomplir ce miracle...

Comment était-ce ? Voilà ce qu'elle désire savoir, ce qu'elle me demande sans arrêt. Elle ne peut oublier cette petite fente sans poils, même quand ma queue l'enfourne jusqu'à la garde. Elle prétend qu'elle la voit encore s'élargir et serrer mon outil. Ce petit corps nu qui se frotte contre moi... ah ! si j'avais pu voir ça !

Et quand la petite salope tenait ma queue dans sa bouche, cette bouche d'enfant maquillée qui suçait goulûment, qu'ai-je donc ressenti ? Oh ! quelle sale petite délurée, celle-là, elle connaît déjà tant de choses ! Et ainsi de suite. Mais pourrais-je me soulever juste un peu, voilà, pour que Jean Jeudi rentre plus facilement à l'étable... Monsieur !

Une armée tout entière lui est passée sur le corps... une armée innombrable, innommable, à moitié oubliée. Mais elle se souviendra de cette nuit-là. C'est un événement dans son existence, de faire ça pour rien, une date à marquer d'une pierre blanche. J'enfonce ma queue dans sa figue mûre, elle tire sur mon manteau pour que je reste enfourné jusqu'aux couilles. Maintenant ce n'est plus une putain... seulement un con qui meurt d'envie d'être baisé...

Mais son envie ne va pas durer longtemps, je vais la baiser à mort, tuer le souvenir de tous les hommes qui t'ont eue. Avec qui as-tu passé la soirée ? Qui t'a sautée ? Te le rappelles-tu seulement ? Dans un jour ou une semaine, ils auront tous rejoint les précédents aux oubliettes de la mémoire. Mais moi, je resterai, tu ne m'oublieras pas si facilement... ma queue est en toi, et elle y restera, même quand je serai parti. Je compte bien te laisser un souvenir que tu n'oublieras pas de sitôt, t'offrir un petit cadeau, remplir ta matrice d'une chaleur qui ne refroidira pas... Les cuisses grandes ouvertes pour la recevoir, tu es allongée sous mon corps et ta bouche de catin chuchote des mots que tu as dits des milliers de fois à des milliers d'hommes. Peu importe. Avant moi il n'y a eu personne, et après moi le déluge. Ce n'est pas ta faute si tu ne connais aucune expression inédite pour dire ce que tu sens... le principal, c'est que tu sentes...

Je martèle ses cuisses avec ma queue, je la sors du nid avant de la replonger dans la douce blessure veloutée, laissant la pute pantelante à chaque fois. Tous les autres l'ont élargie et ouverte, rendue facile à prendre, facile à baiser. Mais je la remplis, et cette fois elle sent qu'on la baise pour de bon. Elle remonte encore sa robe, jusqu'aux épaules, et me tend ses seins. Je frotte mon visage contre eux, suce et mords.

Je saisis son cul à pleines mains et malaxe la chair tout en la fourrant jusqu'à la garde. Si je lui fais mal, aucun de nous n'en a cure. Mes couilles sont lovées dans une poche brûlante, un nid poilu collé sous son cul. Les planches bringuebalent sous nos corps comme les os d'un squelette cliquetant.

Le sperme gicle de ma queue aussi violemment que l'eau d'un tuyau d'arrosage. Brusquement la putain serre ses jambes autour de ma taille... elle ne veut surtout pas que ça s'arrête car elle n'a pas encore joui. Mais je la ramone encore une bonne minute, continuant de jouir dans sa matrice alors que l'incendie est déjà éteint depuis belle lurette et que ses jambes sont retombées sur les planches...

Ensuite la putain se laisse aller sur la pile de bois. Elle n'essaie même pas de se couvrir... on dirait qu'elle a oublié où elle est, elle semble complètement partie, envapée. Mais je redoute le moment où elle va revenir à elle, essayer de m'extorquer quelques francs, vouloir que je lui offre un verre, que je lui paie un taxi, me parler de sa mère souffrante... Je prends le premier billet que je trouve dans mes poches, essuie mon outil avec, et le pose tout froissé sur son ventre nu, avec une pièce pour qu'il ne s'envole pas.

Les rues m'accueillent, aussi anonymes et lugubres qu'auparavant...

 

Où que j'aille, les lettres de Tania finissent toujours par me trouver. J'en reçois deux, une le matin et l'autre par le dernier courrier. Elle se plaint de la solitude !...

... je crois que je vais devenir folle si je dois passer encore une nuit sans que tu me baises. Je ne cesse de penser à ta grosse queue, à toutes les merveilles dont elle est capable ; je donnerais n'importe quoi pour la sentir contre moi, la prendre dans ma main. J'en rêve même ! Cela ne me suffit pas de me faire baiser par Peter. J'ai parfois du mal à me retenir de venir te voir, mais je sais que tu serais probablement furieux et que tu me battrais.

Et toi, penses-tu parfois à moi et aux bons moments passés ensemble ? J'espère que oui et que tu regrettes ma présence dans ton lit où je pourrais te sucer, jouer avec ta bite et baiser. Maman aussi aimerait que tu sois là pour la baiser, je le sais parce qu'elle me parle sans arrêt de toi. Elle me demande toujours ce que nous faisions, ce qui se passait quand tu me baisais, et même ce que nous disions ! Je crois qu'en ce moment, seul Peter a le droit de la baiser. Tous les soirs, elle veut que Peter et moi couchions avec elle, et elle me demande très souvent de la sucer. Je m'en moque, ça me plaît, mais j'aimerais tant que tu sois là pour être baisée plus souvent...

Le reste à l'avenant. « Je t'embrasse. Tania », au bas de la lettre. La deuxième est plus longue. Tania a découvert une sensation nouvelle : « Il faut que je t'en parle immédiatement. Bizarre, non ? Sans doute parce que je voudrais que ce soit toi qui me le fasses. Tout ce qu'on me fait serait tellement plus agréable si c'était toi. Sans doute parce que tu as une queue tellement grosse. Quand je me rappelle la taille de ta queue, mon corps tout entier frissonne. J'ai même souvent pensé à toi quand ce type m'enfilait !

« J'ai été si contente de me faire de nouveau baiser par un homme (maman me surveille nuit et jour) que j'ai à peine pris le temps de me déshabiller quand nous sommes montés dans sa chambre. Il voulait s'allonger sur le lit pour s'amuser un peu avant de passer aux choses sérieuses, mais j'étais tellement excitée que je n'ai pas pu attendre. Il a été obligé de me baiser tout de suite. J'étais hors de moi, il craignait que je ne saute par la fenêtre ou fasse une bêtise. Oh ! ç'a été fantastique de sentir de nouveau un homme me baiser. Peter est trop occupé à sauter maman pour faire attention à moi ; c'était la première fois depuis ton départ que je m'envoyais en l'air. Ce type m'a traînée dans toute la chambre ! Il m'avait déjà baisée deux fois quand il m'a dit qu'il allait me montrer un truc nouveau, et il n'a pas eu le moindre problème pour bander. Je l'ai laissé me la mettre dans la bouche, je l'ai sucé un peu, et une minute après il bandait comme un âne ! Ensuite il m'a allongée par terre sur des coussins, il m'a retournée sur le ventre et m'a enfilée par-derrière.

« Ce fut merveilleux, bien sûr, quoique pas aussi fantastique qu'à l'époque où tu me prenais de cette façon avec ta grosse queue, et puis j'étais un peu déçue car ça n'avait rien de nouveau. Mais j'ai brusquement senti quelque chose de bizarre. D'abord j'ai cru qu'il jouissait et que le sperme giclait dans mon cul, mais quand ça s'est mis à couler plus fort, j'ai compris qu'il pissait en moi ! Oh ! quelle impression étrange et merveilleuse ! Sa queue était vissée à mon cul, si bien que rien ne pouvait sortir et sa pisse remontait, si chaude que j'avais l'impression de brûler de l'intérieur, de la sentir inonder mes intestins.

« J'ai cru qu'il ne s'arrêterait jamais, ça remontait, ça remontait sans arrêt, je me sentais aussi ballonnée qu'une femme enceinte. Quand il a eu terminé, il a sorti sa queue avec mille précautions et m'a dit que, si je me retenais, tout resterait en moi. Tu ne peux pas savoir ce que j'étais bien quand il a retiré son outil, allongée par terre avec toute cette pisse virile en moi qui irriguait jusqu'à mon estomac.

« Ensuite il m'a emmenée aux toilettes, je me suis relâchée et tout est sorti, des litres et des litres d'urine s'écoulant de mon cul pendant que, debout devant moi, il me faisait sucer sa bite »...

 

Je l'avoue... la lettre de Tania me fait bander. Je connais si bien cette petite salope... si foutrement bien, devrais-je dire... que j'imagine toute la scène comme si j'y étais. En fermant les yeux, je vois son corps et le moindre de ses gestes. Je marche de long en large dans ma chambre avec une érection qui ferait la fierté d'un étalon. J'ignore pourquoi la pensée de son cul soyeux inondé de pisse produit de tels résultats, mais c'est plus fort que moi.

Quand je sors me balader, je remarque que je boite légèrement. Je suis la proie toute désignée des putains des rues, et toutes me font des avances... d'un coup d'œil, elles jugent à qui elles ont affaire. Pourtant, ce n'est pas une putain que je veux ; je veux une autre Tania, mais avec qui je ne serais pas obligé de nouer des relations aussi étroites.

Je ne la trouve pas dans les rues.

 

De sa fenêtre, Ernest a une vue splendide : un cours de dessin, un vrai, où les étudiants posent à tour de rôle parce qu'ils n'ont pas assez d'argent pour se payer un modèle professionnel. Chaque fois que je rends visite à Ernest, nous nous asseyons pour les regarder. L'esprit de ces étudiants a tout pour me plaire. Ils taquinent le modèle en arrivant, tâtent ses seins, chatouillent sa fourche... c'est une superbe jeune blonde aux hanches larges qui ne semble pas s'en formaliser. Ernest me raconte que l'autre jour un jeune type posait, et que les filles sont tellement excité que tous leurs dessins auraient dû le représenter avec une érection pour être fidèles à la vérité.

C'est formidable d'assister à la naissance de l'art. À New York, il y avait des cours de dessin bidon fréquentés par les habitués des quartiers chauds. On payait cinquante cents à l'entrée, après quoi on pouvait reluquer une fille à poil pendant une demi-heure. Étant bien entendu que vous ne regardiez pas un morceau de cul... vous contempliez l'Art sous sa forme la plus noble. Pour revenir à ces jeunots — tous sont des gosses, même leur professeur — ils savent ce qu'ils font, la fille perchée sur sa boîte à savon est nue comme un ver, avec une belle toison et du miel entre les cuisses ! C'est un être vivant, à palper des mains, dotée d'un con juteux, et si tous ces petits gars s'interrompent pour lui flatter la croupe et jouer de la queue... eh bien le monde ne s'arrêtera pas de tourner pour autant.

Ernest me dit que tous les appartements où il a vécu avaient une vue formidable... sauf une fois. Un jour, il a loué une piaule qui donnait sur l'appartement de deux folles... des vraies, le genre que même votre grand-mère serait capable de reconnaître dans la rue. Ce n'était pas gênant de les voir se sucer ou tailler des pipes à leurs copains, me raconte Ernest, mais ils ramenaient sans arrêt des marins chez eux, qui les dérouillaient le lendemain matin. Les matinées étaient insupportables, m'assure-t-il, et puis les deux pédés faisaient toujours sécher leurs caleçons de soie à la fenêtre.

L'appart le plus sympa fut celui qu'il partagea avec une putain répondant au nom de Lucienne. La maison où elle travaillait était située juste en face, et de sa fenêtre Ernest voyait le lit où elle s'envoyait ses clients. Ernest trouvait très réconfortant de se mettre à la fenêtre pour voir sa Lucienne au turbin et sentir qu'elle gagnait l'argent du loyer.

Cela nous amène à parler des femmes avec qui Ernest a vécu à un moment ou à un autre. Son énumération m'étonne jusqu'à ce que je découvre qu'il en rajoute. Toute femme avec qui il a passé plus de dix minutes est incluse d'office dans sa liste.

« Merde, m'explique-t-il quand je conteste la présence d'un nom sur sa liste. Je lui ai payé à dîner pas vrai ? Et elle a couché dans mon lit cette nuit-là, oui ou non ? La pension complète — suffit de leur offrir ça pour qu'elles vivent avec toi. »

Ernest est stupéfait d'apprendre que je n'ai jamais sauté de Chinoise. Je suis aussi étonné que lui. Vu tous les restaurants orientaux qu'on trouve à New York, on pourrait croire que je me suis au moins envoyé une serveuse. Mais non... Le sujet des races arrive sur le tapis, et Ernest est en mesure de me conseiller dans tous les domaines. N'essaie jamais les Japs ou les Chinetoques des bordels, m'avertit-il. Toutes sont épilées, lavées, parfumées, mais elles portent un crâne avec des tibias entrecroisés sous le nombril. Elles embarquent le premier venu et hop ! LA SYPHILIS ! La variété galopante qui te fait passer de vie à trépas en six mois, rien à voir avec la chaude-pisse. Le virus extrême-oriental de la chtouille, insiste Ernest, te fusille le membre le plus viril de la race occidentale. J'ai l'impression qu'il me bourre le mou, mais Ernest est assez éloquent pour me dégoûter des Orientales jusqu'à la fin de mes jours.

Là-dessus, quand il m'a bien foutu la trouille, Ernest ajoute qu'il connaît une jolie minette qui est à peu près sûre. Ce n'est pas une pute, mais une adorable Chinoise avec qui on ne court pas le moindre risque. Son père est propriétaire d'une boutique d'objets d'art, le genre de magasin rempli de trucs récupérés sur les tas d'ordures des palais impériaux voici quelques siècles, des bouddhas, des paravents, quelques coffres bouffés aux vers et le reste à l'avenant. La fille en question travaille dans la boutique, elle sert les jeunes crétins qui veulent acheter un collier de jade.

Ernest griffonne l'adresse sur une enveloppe qu'il me donne. Je devrai peut-être acheter quelque chose pour sauver les apparences, mais c'est un coup assuré si je m'y prends bien. Il ne peut pas m'accompagner... il a rendez-vous avec une artiste peintre qu'il va essayer de sauter pour qu'elle lui fasse son portrait à l'œil ; il m'assure néanmoins que tout marchera comme sur des roulettes.

« Renseigne-toi pour savoir s'ils vendent de la cocaïne, d'accord, Alf ? me demande-t-il. J'ai promis à cette copine de lui en faire goûter... elle n'a jamais essayé ça. Et puis j'ai pas envie de voir mon contact habituel. Je lui dois un peu de fric et je crois qu'il m'en veut de jouer les filles de l'air... »

 

Nanti de cette adresse, je pars à pied vers la boutique après mes deux heures de bureau. En route, je change d'avis une demi-douzaine de fois et suis à deux doigts de me laisser embobiner par une négresse assise sur un banc public, qui me lance des œillades incendiaires. À une époque, quand j'habitais New York, je passais presque toutes mes nuits à Harlem. J'ai été dingue des Noires pendant quelques semaines, pas question de toucher une autre couleur de peau. J'ai surmonté ma crise, mais j'aime toujours ça, et puis cette fille est tellement noire et sexy... merde, elle pète de santé, avec elle les virus sont battus d'avance. Ernest m'a vraiment foutu la trouille avec toutes ses mises en garde. Je passe donc mon chemin...

Pour tout vous dire, je ne sais pas m'y prendre. Quand je suis fin soûl, je peux aborder n'importe quelle fille dans la rue, lui faire les propositions les plus salaces sans ciller, mais c'est une autre paire de manches que d'entrer dans cette boutique, la conscience claire comme de l'eau de source, et d'y aller de mon petit baratin... Surtout quand je découvre que la fille en question est un bloc de glace qui parle parfaitement français. Moi qui m'attendais à avoir des problèmes pour la comprendre, elle me fait sentir tout de go que je parle français comme un touriste américain.

Je ne sais foutrement pas quoi dire. Je n'ai même pas la moindre idée de ce que je veux acheter, puisqu'il faut acheter. Mais elle est bien roulée, je dois l'avouer, et aussi patiente qu'agréable à regarder. Elle me montre jusqu'au dernier bibelot de cette sacrée boutique...

Elle me plaît, surtout son nez bizarrement écrasé sur son visage, et la façon dont elle retrousse la lèvre supérieure. Joli cul et jolies loches aussi... chose à laquelle je ne m'attendais pas. J'ai remarqué que la plupart des Chinoises que j'ai rencontrées n'ont pas de seins, par contre celle-ci a une paire inoubliable. Malgré tout, ce n'est peut-être pas le sujet rêvé pour engager la conversation.

Citer le nom d'Ernest ne m'avance à rien. Je lui explique qu'un ami m'a donné son adresse, je parle d'Ernest, mais elle ne le connaît pas ! Elle me rétorque poliment que tant de gens passent à la boutique tous les jours... Je m'aperçois soudain que j'ai acheté un rouleau, un truc superbe avec des dragons pour accrocher à mon mur. La fille sourit et me propose une tasse de thé... son vieux bondit alors de l'arrière-boutique et nous arrache le rouleau des mains... il veut l'emballer.

Sans façon pour le thé, lui dis-je. J'avais envie d'aller boire un Pernod au bistrot du coin, et je serais absolument ravi si elle acceptait de m'accompagner. Elle accepte ! Je suis incapable d'ajouter un mot... Raide comme un piquet, je bave aux corneilles pendant qu'elle s'active dans la boutique.

Elle me rejoint avec un chapeau fantaisie — le nec plus ultra de la mode parisienne — et un paquet sous le bras. Je n'ai toujours rien de génial à lui dire, et notre sortie de la boutique est complètement gâchée par un petit crétin qui nous bombarde avec du crottin de cheval. Mais la fille fait preuve d'un aplomb merveilleux... nous descendons la rue la tête haute et bientôt je me sens à l'aise...

Après le crottin, je suis bombardé de questions ! Elle veut savoir qui je suis, ce que je fais, toute mon histoire. Elle m'interroge aussi sur mes rentrées d'argent. Je ne comprends pas où elle veut en venir, mais elle se met alors à parler de jade. Il y a une petite babiole, me dit-elle sur le ton de la confidence, qu'elle vient de recevoir en secret, un authentique joyau du trésor impérial qu‘elle doit absolument vendre, et ce pour une fraction dérisoire de sa vraie valeur... là-dessus elle cite un chiffre équivalent à un mois de mon salaire.

Ma curiosité s'éveille. Il y a manifestement anguille sous roche, et j'ai la nette impression qu'elle veut me faire comprendre autre chose. Je lui demande où l'on peut voir cette pierre précieuse. Ah ! tout s'éclaire alors. Il n'est pas prudent de la garder dans la boutique, me dit-elle... si bien qu'elle la porte attachée à un cordon de soie autour de la taille, où la tiède caresse de sa peau garantit sa sécurité. L'achat doit se négocier loin de la boutique, en lieu sûr.

Dès que j'ai compris ses règles, le jeu me passionne. Cette fille fait preuve d'une imagination remarquable pour vendre son corps. Pourtant son prix me semble exorbitant ! Je commence à marchander avec elle, et au troisième Pernod nous tombons d'accord sur une semaine de mon salaire contre ce trésor très précieux. Ce ne sera pas la première fois que j'aurai recours au crédit... Je n'ai jamais autant payé pour une partie de jambes en l'air, mais le jeu en vaut la chandelle.

Je suis quasiment certain qu'elle a un nom français comme Marie ou Jeanne, bien que dans le taxi qui nous emmène chez moi elle me susurre un prénom qui sonne comme les trilles d'une flûte... Fleur de Lotus, me traduit-elle, et je l'appelle aussitôt Lotus. Tout ce cinéma me ravit...

Je peaufine d'ailleurs mon rôle : à peine sommes-nous montés dans mes appartements que je file ventre à terre acheter une bouteille de vin au concierge, après quoi je sors les petits verres grenat qu'Alexandra m'a offerts. Ensuite, quand Lotus veut me montrer sa pierre, j'étends le magnifique vieux rouleau par terre pour qu'elle marche dessus.

Cette salope a sûrement un an de music-hall derrière elle pour réussir un strip-tease comme celui-là. En vraie professionnelle, elle conserve ses bas et ses chaussures après avoir enlevé le reste. Je découvre un cordon de soie noué autour de ses hanches et un petit morceau de jade qui brille dans sa toison. Elle est superbe, cette petite pierre verte qui se balance dans son écrin noir. La fille laisse ses vêtements en tas sur le dragon et me propose d'inspecter son joyau...

La pierre est cent pour cent toc, naturellement, mais c'est ce qu'il y a dessous qui m'intéresse. Lotus ne bronche pas quand je porte mon attention sur l'écrin... elle sourit brièvement quand je pince ses cuisses et passe la main entre ses jambes. Elle dégage une odeur qui me rappelle les cigarettes parfumées que Tania fumait toujours... elle me sourit encore quand je m'avance au bord du fauteuil pour fourrer ma main dans son cul. Elle dit quelque chose en chinois, qui me semble merveilleusement ordurier.

À présent j'ai tout oublié des avertissements solennels d'Ernest. Avec la queue que j'ai, je la baiserais même si elle avait une chaude-pisse carabinée, quitte à ensuite me bourrer de médicaments... mais tout cela sent si bon, tout cela est si rose que je mettrais ma main au feu qu'elle est en état de marche... elle me laisse ouvrir son con et le renifler... puis elle s'éloigne un peu de moi. Elle brise le cordon de soie et fait tomber la pierre dans ma paume.

Je la baise par terre, sur mon rouleau tout neuf, après avoir glissé un oreiller sous sa tête. Je ne la laisse surtout pas retirer ses bas, et pas davantage ses chaussures... Que le dragon brodé aille au diable... tant mieux si Lotus crève ses yeux noirs avec ses hauts talons, tant mieux si nous y laissons une tache indélébile. Je la saute sauvagement... une pute française n'accepterait pas toute cette violence, mes morsures, mes pincements, mais Lotus se soumet en souriant.

Aimerais-je tordre ses seins ? Qu'à cela ne tienne, elle me les met d'office dans les mains. Et si je les malmenais avec ma bouche... ? Elle m'offre aussitôt ses seins à mordre. Je pose sa main sur ma queue et observe ses longs doigts couleur amande se refermer sur mon membre frémissant. Elle baragouine sans discontinuer... en chinois. Ah ! elle connaît son affaire. Ses clients paient rubis sur l'ongle pour cette bouffée épicée de splendeur orientale, et elle sait ce qu'ils désirent.

Presque pas de poils sur ses jambes et son pubis... à un endroit seulement je découvre une toison soyeuse. Même son cul, la peau moite entre ses fesses, est imberbe. Elle écarte les jambes quand je touche son rectum. Ses cuisses se réchauffent et deviennent glissantes près de sa figue. Son abricot fendu est presque aussi menu que celui de Tania, mais je le sens plus mûr... plus doux et plus ouvert...

Jean Jeudi l'intéresse soudain : elle pince la grosse veine et tire sur les poils. J'arrête de la peloter et elle s'assoit entre mes genoux pour jouer avec lui. Son con s'ouvre comme un fruit mûr et succulent, ses cuisses se pressent contre mes genoux. Ses bas et ses chaussures ont un côté insolite qui me plaît.

Quand je la regarde, je suis incapable de dire si elle est excitée ou non. Mais la tache humide qui entoure sa touffe soyeuse parle à sa place. Elle s'étend, brille entre ses cuisses, et l'odeur du con domine peu à peu celle du parfum qu'elle utilise. Elle caresse le crâne chauve de Jean Jeudi et chatouille mes couilles. Elle est bientôt allongée entre mes jambes, occupée à frotter son nez contre ma queue et à renifler mon buisson... ses cheveux sont noir de jais, raides et luisants...

J'ignore ce que les Orientaux apprennent à leurs femmes... peut-être ne s'intéressent-ils pas aux pipes là-bas, mais Lotus a fait un stage en France. Sa langue s'enroule autour de mes poils et lèche mes couilles. Elle lisse ma queue, ses lèvres plates embrassent mon ventre... elle hausse les sourcils, arrondit sa bouche et se penche pour laisser Jean Jeudi glisser la tête dans son palais... ses yeux ne sont plus que deux fentes. Ses bras m'enlacent, ses loches réchauffent mes couilles et elle me suce goulûment.

Je tombe sur elle... elle s'assied en tenant ma queue dans sa bouche, elle suce toujours, mais je la fais valser pour me placer devant sa fourche. Je frotte ma joue et mon menton contre sa toison, chatouille sa bonne-bouche avec ma langue. Je lèche ses cuisses et la fente qui les sépare... Je veux sentir ses cuisses se refermer et m'attirer à l'intérieur, aspirer ma bouche dans sa figue juteuse. Je lance mes deux bras à l'assaut de sa taille et malaxe son cul tout en léchant le miel qui s'écoule de sa bouche poilue. Elle se jette alors sur moi. Son conillon se presse contre mes lèvres, ses jambes sont grandes ouvertes. Le miel coule dans ma bouche tandis que je suce les poils de son con.

Elle se met à trembler quand elle sent ma langue dans sa fente. Elle déploie des trésors d'imagination avec ma queue... elle la mord, lèche mes couilles, s'abstenant seulement d'engloutir le tout. Alors elle ouvre encore sa figue avec ses doigts pour que ma langue titille l'intérieur de son vagin jusqu'au fin fond de sa matrice. Brusquement je sens une inondation. Elle jouit et me sectionne presque la queue avec les dents. Je laisse son truc juteux se frotter contre ma bouche...

Je veux voir son visage et ce qu'elle fera quand Jean Jeudi explosera entre ses lèvres... Je m'allonge de nouveau sur le dos et la regarde me besogner. Sa tête monte et descend lentement. Une expression de surprise... Quelque chose de chaud inonde sa bouche. Ses yeux se ferment. Elle avale et suce, avale et suce...

On m'a dit, ou j'ai lu quelque part, que les Chinois mesurent une séance de baise en jours plutôt qu'en heures. Quand je m'informe auprès de Lotus, elle rit... Elle restera toute la nuit si je le désire. À propos, peut-elle enlever ses bas maintenant ?

Comme j'ai faim, je suggère que nous sortions manger quelque chose, mais Lotus me remet dans le droit chemin. Quand un homme achète une Chinoise, m'explique-t-elle, il achète une femme, et non un animal à baiser comme une chèvre. La femme doit montrer tous ses talents à son maître... or Lotus est un vrai cordon-bleu. Comme l'idée me plaît, nous nous habillons et sortons acheter de la nourriture.

Une fois remontés chez moi, nous enlevons nos vêtements et Lotus prépare le repas, une serviette nouée autour des hanches, laquelle cache son ventre mais laisse son cul à l'air. Je m'allonge sur le divan et chaque fois qu'elle passe devant moi, elle s'arrête pour embrasser ma queue... cette brave fille se moque qu'une casserole déborde pendant que je la pelote...

Après avoir mangé nous essayons le lit. Lotus meurt d'envie de recommencer le tête-bêche, mais je veux la baiser... Je saute sur ce lit après elle et glisse illico ma queue dans son con. Dès qu'elle sent Jean Jeudi contre son cul, elle cesse de me bassiner avec ses projets de tête-bêche.

La couleur de sa peau est le cadet des soucis de Jeannot Lapin. Elle est chaude, humide et velue, voilà ce qui importe. Il prend réellement ses aises, comble toutes les fissures et anfractuosités ; dès qu'il est bien emboîté, j'étire ses moustaches pour recouvrir toute cette peau rose et jaune. Quelques estocades et la fille entre en pâmoison... elle tortille son cul potelé et me supplie de la baiser pour de bon... peu importe qu'elle baragouine la plupart du temps en chinois, nous nous comprenons parfaitement. Elle croise ses pieds menus derrière mes genoux... ses cuisses douces et satinées sont plus musclées que je ne pensais...

C'est un coup en or ! Je songe à Tania, me rappelle le libraire et sa fille impubère, et je ris. Le monde des Blancs est cul par-dessus tête... un type doit maintenant aller chercher une Chinetoque pour une chose aussi élémentaire qu'un coup banal et tranquille. Lotus rit de concert sans savoir pourquoi nous rions... peut-être se moquerait-elle de moi si elle le savait. Quelle fille adorable ! Je commence à la baiser à mort. C'est une expérience formidable de baiser une salope pendant qu'elle rit aux éclats.

Et puis ce n'est pas une pute ! Plutôt une concubine. Lotus a autant de talents pour la cuisine que pour le pieu... le problème de l'argent n'est qu'accessoire. L'argent sert simplement à acheter une babiole en jade... Quand elle halète contre mon oreille, c'est pour de vrai, quand elle gémit doucement vous pouvez être certain que ce n'est pas du flan. La vie irrigue son corps, le miel huile le mécanisme, et elle se donne à fond...

Je tripote ses nichons, elle veut que je recommence à les sucer. Je découvre que ses mamelons ont des aréoles couleur citron, comme deux lunes chinoises... Ah ! Lotus, tu vas bientôt remarquer que tu as un pétard chinois dans le cul... Je vais brûler tes ovaires avec ma chandelle romaine et mes fusées spatiales vont illuminer ta matrice... La mèche est allumée...

Lotus baise peut-être en chinois, mais elle jouit en dialecte parisien.

Plus tard dans la nuit nous sommes passablement éméchés quand Lotus me traduit quelques expressions cochonnes chinoises, que j'oublie à mesure que j'apprends la suivante. Je la saute sans faiblir, et au matin je découvre qu'elle est partie, après avoir attaché une babiole en jade avec un cordon de soie autour de ma queue ramollie.

 

De la visite ! Deux personnes. Sid, que je n'ai pas revu depuis la fameuse nuit chez lui où nous avons envoyé Marion au septième ciel, et une gonzesse. Une femelle. Ils s'assoient poliment au bord de leurs chaises, et nous devisons cérémonieusement, parlant de la pluie et du beau temps, de littérature et autres sujets anodins. Elle s'appelle Miss Cavendish. Simplement Miss Cavendish, prénom inconnu. Il suffit d'entendre son « Ravi de vous connaître » pincé pour comprendre que la fière Albion existe toujours.

Miss Cavendish, m'explique Sid, est une amie de sa sœur qui habite Londres. Cette information ne me fait ni chaud ni froid, et j'ai l'impression que cette visite est de pure politesse. Mais Sid ajoute aussitôt que Miss Cavendish va enseigner à Lyon, que son travail ne commence pas avant deux mois, moyennant quoi elle compte passer quelque temps ici pour faire connaissance avec Paris.

Il faut se montrer correct, même avec une femme qui porte du tweed et des bas en coton. Je pose donc quelques questions polies, tout en songeant que demain j'aurai oublié cette constipée. Au fait, où loge-t-elle ?

Les verres de ses lunettes brillent quand elle se tourne vers moi. « C'est là un de mes problèmes, dit-elle. Sid m'a suggéré que je pourrais peut-être trouver un appartement ici. » Elle jette un coup d'œil circulaire comme si elle arrivait à l'instant. « C'est tout à fait charmant... et pas trop onéreux ?

— Oh ! non, rassure Sid. Alf, tu vas arranger ça, je te fais confiance, hein ? »

Je vais surtout m'arranger pour lui tordre le cou ! Mais il n'y a rien à faire... Elle s'installe quelque part dans la maison. Heureusement, elle a de belles jambes, et il y a une petite chance de pouvoir la sauter. Mais Sid est un vrai salaud ! Je me demande ce que vaut cette fille sans ses lunettes...

Quand elle sera installée, dit Miss Cavendish, nous ne devrons pas l'oublier, car Paris est une si grande ville pour une jeune fille seule...

 

Les visiteurs du soir... Anna, une revenante, et dix minutes plus tard, Alexandra. Anna évite de parler de notre petite fête d'il y a quelques soirs. Elle rit jaune et s'empresse de détourner la conversation. Quand je lui demande ce qui s'est passé après qu'elle fut sortie d'ici à poil, elle reste évasive. Nous parlons donc d'autre chose. Dès l'arrivée d'Alexandra, Anna se souvient brusquement qu'elle a un autre rendez-vous. Cette fois, je lui demande son adresse...

Alexandra déverse ses problèmes sur ma tête comme une libation. Elle est maintenant certaine de partir en voyage pour s'éloigner de Tania et de Peter. Elle appelle ça un réajustement. Assise sur le divan, elle me montre ses cuisses tandis qu'elle égrène le chapelet de tous les grands pécheurs célèbres qui ont fini leur vie entre les bras de Jésus. Peut-être... qui sait ?... se tournera-t-elle aussi vers la religion, me confie-t-elle.

« Mais devrai-je confesser tous mes péchés dans le détail ? veut-elle absolument savoir. L'Église doit-elle être au courant de tout ? »

Je n'en sais foutrement rien, mais il est assez facile de deviner ce qu'elle désire entendre. Je lui réponds que, selon moi, Jésus voudra probablement tout savoir. Alexandra frissonne délicieusement. Si seulement elle pouvait s'éloigner de ses enfants, dit-elle, tout rentrerait progressivement dans l'ordre. Mais ils semblent avoir une emprise maléfique sur elle. Et Tania... elle est bien pire que Peter depuis qu'elle a couché avec sa mère. Elle vient s'exhiber nue comme un ver dans la chambre de sa mère et il n'y a pas moyen de lui échapper...

« Je ne sais comment tout cela va finir », dit-elle. Elle s'arrête, jette un coup d'œil dans ma direction, puis détourne vivement les yeux. « Un épisode d'une totale dépravation s'est déroulé hier soir... Je t'en parle uniquement parce que je sais que tu comprends. Elle a forcé Peter à... à uriner sur mon visage pendant qu'elle collait sa bouche contre mon con... » Alexandra se tord les mains de désespoir. « C'était terrible... tu comprends. La passion aveugle l'esprit... Il me semble que j'ai dit quelque chose... peut-être ai-je dit que... j'aimais ça. Elle m'a traitée de salope... et a mordu ma cuisse. J'ai encore la marque. »

Pas un mot, bien sûr, des fois innombrables où elle a pissé sur le visage de Tania. Cette dépravation mineure ne compte plus pour rien. Elle relève sa robe le long de sa cuisse pour me montrer la morsure de Tania. La chair blanche fait un bourrelet au-dessus de la jarretelle. Et la marque, comme elle l'a dit, est toujours là... le croissant parfait des dents de Tania, assez haut sur la face interne, à quelques centimètres de sa motte. Elle lève le genou et ouvre bien les jambes pour que je puisse l'examiner. Ma main se pose sur sa jambe et commence à remonter.

Quelle horreur ! Elle ne veut surtout pas d'une chose pareille ! Pourtant elle nous a excités tous les deux avec sa petite histoire... elle sait ce qu'elle veut, cette salope. Si c'est un échantillon de Jean Jeudi... il relève déjà la tête. Je lui remonte la robe jusqu'au ventre et fais descendre sa petite culotte.

Quel cul ! Elle pourrait abriter un nid de souris blanches dans sa toison sans même s'en apercevoir ; les bestioles y mèneraient une existence paisible, loin de tout souci. Je caresse ses poils et elle commence à s'échauffer. Ses doigts pénètrent dans ma braguette, et Jean Jeudi saute à l'air libre comme un diable de sa boite.

Pendant que nous nous pelotons, elle me raconte la suite de ses aventures avec ses enfants obsédés sexuels. Sa langue se délie à mesure qu'elle s'excite. Il semblerait que Peter croit maintenant que sucer un homme le rend lui-même plus viril... cela menace de devenir une habitude. Je suis content d'avoir quitté cet asile, mais tout aussi content d'apprendre les dernières nouvelles...

Saurais-je deviner, me demande-t-elle, pourquoi Tania a une telle emprise sur elle ? Tout simplement parce qu'elle adore se faire sucer... et que Tania est imbattable sur ce chapitre. Rien ne l'arrête. Et tout en me racontant sa vie, elle frotte sa motte contre ma main. Elle me provoque, attend que je baisse la tête pour lui administrer le traitement qu'elle me décrit, mais elle en est pour ses frais.

Je coince ma queue entre ses cuisses, et frotte son abricot fendu avec mon gland. Elle lance une jambe en l'air et sa fente s'élargit. Alexandra passe une main sous son cul pour mettre ma bite en batterie et en faire entrer le bout. Elle est si excitée qu'elle ne prend même pas le temps de se déshabiller. Je la préviens que je ne la baiserai pas si elle garde ses vêtements...

Nous trouvons un compromis. Tania lui a raconté tellement de choses... oui, elle sait même que son petit trésor de Peter m'a sucé la veille de mon départ... à propos, accepterai-je de la baiser de la même façon que j'ai baisé Tania ? Elle veut que je lui fasse tout... tout ce que j'ai fait à sa fille.

Elle se redresse pour enlever ses vêtements, et dès que nous sommes tous les deux nus, je la fais descendre brutalement du divan et la mets à genoux devant moi. Je fais glisser ma queue dans ses cheveux, la lui donne à embrasser. Ah ! j'attire son visage dans mon buisson et la laisse me lécher. L'instant d'après je lui colle mon outil dans la bouche et l'enfonce jusqu'au fond de sa gorge. Elle pompe goulûment quand je la traite de salope — ce qu'elle est — en termes choisis et épithètes fleuries.

Elle bave comme un gosse se régalant d'une sucette juteuse. Jean Jeudi est dans tous ses états, il se fait shampooiner la barbe... Elle essaie de lécher mon buisson en gardant ma queue dans la bouche, et réussit seulement à s'étouffer. Alors, au moment où elle se met sérieusement au boulot sur ma queue, où elle aime tellement ça qu'elle en a mal aux ovaires, je me retire.

Alexandra est trop large pour être secouée comme Tania, mais je la colle sur le divan et mets ses jambes à la verticale. Fente, fissures, crevasses et buisson nichés entre ses jambes apparaissent au grand jour. Elle gueule comme un putois quand sans prévenir je lui enfile un doigt dans le cul ; je lui dis aussitôt de la boucler, sinon je lui enfonce tout mon poignet. Les trois doigts qui s'agitent comme bobines soûles dans son rectum la font littéralement défaillir, mais elle adore ça, et je suis bien décidé à lui offrir le grand jeu.

Elle est loin de hurler au scandale quand je place mon cul devant son visage et l'oblige à l'embrasser. Elle lèche même mes fesses sans trop se faire prier. Mais quand je lui dis de les écarter et de passer sa langue sur mon rectum... ah ! là je dépasse les bornes ! Elle ne peut pas faire ça, même si sa fille me l'a fait, commence-t-elle par me dire, mais je le colle contre sa bouche et l'oblige à l'embrasser.

Merde alors, ces pouffiasses sont prêtes à tout quand on leur présente la chose sous le bon angle. Trois secondes après, je sens la langue brûlante d'Alexandra se glisser sous mes couilles et commencer à me lécher le cul. Je lui apprends aussitôt le petit jeu inventé par Tania : elle m'enfile sa langue dans le rectum, laquelle je chie avant qu'elle ne l'enfourne de nouveau. Alexandra perd la boule... saisit ma queue dans une étreinte mortelle... si quelqu'un essayait de la lui prendre, elle mettrait probablement la pièce sens dessus dessous, grifferait les murs avec ses ongles.

Elle connaît certainement la suite, bien qu'elle prétende le contraire, et je lui fais énumérer toutes les possibilités. Elle finit par trouver, mais sa voix tremble comme si elle espérait se tromper. Tu ne peux tout de même pas m'enfiler par-derrière, suggère-t-elle. Pour la récompenser d'avoir deviné je lui permets d'embrasser une nouvelle fois Jean Jeudi.

Oh ! non, pas ça, supplie-t-elle. En citant cette possibilité, elle avait oublié que j'avais fait ça à sa fille... mais maintenant elle se souvient... son anus qui s'élargissait, se distendait au point d'éclater... OH ! oh ! elle ne comprend pas comment c'est possible, ma queue est beaucoup trop grosse.

Elle joue la comédie, la garce. Mais je gagne finalement mon billet d'entrée. Oui — tout compte fait — peut-être y a-t-elle songé un jour... difficile d'écarter cette pensée puisqu'elle m'a regardé le faire à sa fille. Elle avait sûrement regretté de ne pas être à la place de sa fille. Je pince son cul. Et si on le faisait maintenant, je lui demande. Refuse-t-elle toujours que je le lui fasse ? Alors... ? OUI OU NON ? Eh bien, elle pense que peut-être, tout bien considéré, elle aimerait peut-être ça.

Je lui grimpe dessus sans plus attendre. Je la retourne et Jean Jeudi frappe à la porte de derrière. Elle est à quatre pattes, les jambes bien écartées pendant que je pousse au portillon. Elle ne proteste pas, alors qu'un doigt dans son rectum lui avait fait pousser des hauts cris... en cela elle ressemble tout à fait à sa fille. Elle attend simplement que son destin s'accomplisse.

Son oignon est moins étroit que je ne prévoyais. Soit elle y a enfilé des cierges, soit elle a déjà joué à ce jeu. Ma queue ne glisse pas aussi facilement que dans un gant, mais je ne me heurte pas aux problèmes rencontrés avec Tania, et je suis bientôt à mi-chemin.

« Tu as déjà fait ça ? », lui dis-je. Elle est choquée. Comment ai-je l'audace de la soupçonner ? Ce genre de chose est tout à fait anormal ! Voila ce que me raconte cette salope... C'est anormal !

Allons-y pour l'anormalité... Je la baise de cette façon parce que j'aime ça, et elle aussi aime ça. Histoire de m'en assurer, je fais prendre l'air à ma queue. Elle se retourne pour me jeter un coup d'œil inquiet et l'attrape immédiatement.

« S'il te plaît ! » dit-elle seulement, mais c'est suffisant pour ce que je voulais savoir. Néanmoins, je la taquine un brin, enfile le bout de ma queue et me retire encore. J'aime l'entendre me supplier. Sur ma demande, elle se traite de suceuse de bites, de putain baiseuse de chiens errants, de lèche-cul à cinq sous. « Je t'en prie, remets-la-moi ! Je mentais... J'adore que tu me fasses ça... Peter me le fait... Tania l'a vu me le faire. Peter me le fait, oui, mon propre fils me sodomise ! Mets-la-moi, encule-moi... Ta queue est tellement plus grosse que celle de mon fils... Mon fils suceur de bite... ah ! c'est tellement bon de sentir ta queue remonter en moi ! Ta queue sublime que nous avons tous sucée... mon fils, ma fille et moi... »

Les lettres de Tania me reviennent à l'esprit... elle veut que je vienne la voir pour essayer les nouveaux trucs qu'elle a découverts. Eh bien, puisque la fille n'est pas là, pourquoi ne pas les essayer sur la mère ?

Alexandra se met à gueuler quand elle sent la pisse tiède inonder son cul. Je ne sais pas ce qu'elle en pense, mais je prends un pied du tonnerre de dieu. Je tiens ma queue enfoncée jusqu'à la garde tout en soulageant ma vessie. Elle me supplie d'arrêter, mais même si je voulais je ne pourrais pas. Je continue à la remplir jusqu'à sentir son ventre gonfler sous mes mains. Elle gémit qu'elle jouit...

Je la fais descendre du divan, elle frétille à quatre pattes devant moi. Ses intestins la brûlent, chuchote-t-elle, elle jouit comme jamais...

« Lève ton visage... »

Agrippée à mes genoux, elle lève le menton. « Je sais ce que tu vas faire... Dépêche-toi... pendant que je jouis... oh ! vite... »

Elle embrasse ma queue et la frotte contre ses lèvres pendant que je pisse, elle fait tomber un peu d'urine dans sa bouche entrouverte... Puis, quand j'ai fini, elle reste à genoux et suce mon outil jusqu'à ce qu'un goût nouveau chasse l'ancien...

 

Miss Cavendish est une foutue emmerdeuse. Ou, pour être exact, une emmerdeuse in-foutable. En clair, c'est une allumeuse de première, des promesses à tire-larigot et jamais rien de concret. Depuis trois jours qu'elle est installée dans la maison, elle a trouvé trois cents prétextes pour me faire trois cents visites... ou à peu près. Quand ce n'est pas le robinet qui fuit, c'est la pendule qui ne marche pas. Et au lieu de filer voir le concierge, elle vient frapper à ma porte. Il suffit de fermer le robinet à fond, et le seul défaut de sa pendule est qu'elle n'est pas remontée, mais qu'à cela ne tienne... elle trouve toujours une bonne excuse pour se fourrer dans mes pattes.

Ses lunettes ont regagné leur étui, et leur propriétaire est plutôt mignonne. Les vêtements de tweed et les bas en coton ont, eux aussi, rejoint la penderie, et Miss Cavendish se pavane désormais en soie et organdi... Elle a des cuisses...

Les mêmes cuisses que j'ai découvertes lors de sa première visite chez moi. J'imagine que ce n'est pas sorcier de montrer juste ça et pas davantage, et de rendre un homme cinglé en le laissant presque — mais pas tout à fait — voir les cinq centimètres cruciaux. Il est pourtant plus difficile de lui cacher que tout cela est calculé, et sur ce chapitre Miss Cavendish a encore beaucoup à apprendre.

J'ai commencé par croire qu'elle cherchait à se faire sauter. Mais quelques sondages dans ce sens m'ont vite remis dans le droit chemin ! Elle n'a pas la moindre intention de baisser culotte pour qui que ce soit... en tout cas pas pour moi... mais elle aguiche, provoque et allume tant et plus, au point que j'ai envie de lui coller une bonne fessée.

J'apprends qu'elle ne joue pas ce petit jeu uniquement avec moi. Sid, par exemple, était sûr de la tringler, il m'a raconté tous les détails, et même généreusement proposé de plaider ma cause auprès d'elle. Il vient maintenant m'annoncer qu'elle a besoin du bonnet de bain de la salle de bain pour se nettoyer les oreilles...

Les femmes de cet acabit sont capables de vous coller une dépression nerveuse si vous les prenez au sérieux. Deux heures à bander comme un malade sans espoir de dégeler la situation, et vous êtes bon pour retourner à la masturbation. Et impossible de ne pas prendre Miss Cavendish au sérieux. Elle se fourre trop souvent dans vos pattes pour que vous l'ignoriez. Résultat : je me ronge les ongles comme un damné...

Seigneur, même pas question de la peloter. Alors que tout son être transpire le cul. C'est le cul, le cul, le cul dès qu'elle approche à moins de dix mètres... mais rien de direct, naturellement. Grand-maman appellerait ça un flirt ou une coquette. Elle connaît une foule d'histoires cochonnes à propos de petits garçons et de petites filles... mais essayez un peu de lui flatter la croupe ! Elle vous montre la petite culotte qu'elle vient d'acheter, vous demande votre avis... elle va jusqu'à soulever ses jupes pour que vous puissiez comparer avec celle qui moule son cul... mais ne vous approchez surtout pas de trop près de celle qu'elle porte !

Alors, quand, écœuré, vous êtes sur le point de laisser tomber, elle change de personnalité. Les règles du jeu sont modifiées et elle vient s'asseoir sur vos genoux. Vous pouvez lui caresser la croupe ou jouer avec ses jarretelles, mais avant d'obtenir davantage qu'une formidable érection, la voilà remontée sur ses grands chevaux : dès que vous essayez de la toucher, elle vous décoche un regard courroucé du style pour-qui-me-prenez-vous...

Hier soir, Sid et moi avons essayé de la soûler, mais ça a complètement foiré. Oh ! elle s'est un peu relâchée, elle riait pour un rien, elle nous a même permis de reluquer subrepticement son con... comme si de rien n'était. Mais bas les pattes. Quand elle nous eut échauffés au point que la tension devenait insupportable, elle est retournée chez elle.

J'ai déclaré forfait, mis une croix dessus, mais la garce ne veut tout simplement pas me lâcher. Ce matin elle a fait irruption dans ma chambre, seulement vêtue d'une serviette de bain enroulée autour d'elle... une grande serviette, certes, mais une serviette tout court, pour me demander comment fonctionnait le verrou des toilettes.

 

Ernest est au lit quand j'arrive chez lui. Il attendait justement de mes nouvelles, me dit-il, et il est content d'apprendre qu'Anna a refait surface, saine de corps et d'esprit. Mais l'intéresse bien davantage mon aventure avec la petite Chinetoque dont il m'avait refilé l'adresse. Je ne lui dis pas qu'elle m'a coûté une semaine de paie...

Peu importe que j'aie oublié de lui demander de la cocaïne. Il a laissé tomber cette nana, me dit-il. Tout compte fait, elle ne voulait pas de lui et en pinçait pour une petite Espagnole qu'elle avait vue plusieurs fois avec lui, si bien qu'Ernest est dégoûté. Les lesbiennes s'emparent du monde sous notre nez, insiste-t-il, sous notre nez et à notre barbe. Il réfléchit une seconde, puis ajoute... c'est le con qu'elles enlèvent de sous notre nez et à notre barbe.

Ernest paraît gêné, je réfléchis qu'il attend peut-être de la visite. Il est allongé, les genoux remontés, les couvertures font une bosse par-dessus, et il veut apparemment passer toute la journée au lit. Je lui demande s'il se sent bien. Oh ! oui, ça va au poil, il est juste un peu fatigué... et il se force à bâiller. Eh bien, lui dis-je, je vais aller me balader... à cet instant précis quelque chose bouge sous les couvertures, près des genoux d'Ernest.

J'ai rarement vu un type aussi penaud qu'Ernest... J'éclate de rire en découvrant ce qu'il me cachait.

« Quel sexe ? » je lui demande. Ernest repousse la literie, et une fillette de dix ou onze ans sort d'entre ses genoux.

« À deux minutes près tu ne te serais aperçu de rien, dit-il. Bon, écoute-moi, Alf, motus et bouche cousue, hein, d'accord ? Tu sais ce que c'est. »

La fille repousse ses cheveux noirs, puis essuie son front sur le drap. Elle se plaint qu'il faisait une chaleur infernale sous les couvertures... elle allait étouffer. Elle s'assoit au bord du lit et me regarde.

« Bon dieu, depuis combien de temps joues-tu à ce petit jeu ? je lui demande. Comment fais-tu ? Tu lui offres des chewing-gums pour l'attirer dans ta piaule ? »

C'est la fille des gérants du bar voisin, m'explique Ernest. Et il ajoute, sur la défensive, qu'elle fréquente d'autres types que lui... tous les gens du quartier sont au courant de ses activités.

« Ce n'est pas comme si je l'avais draguée quelque part, plaide-t-il. Merde, elle est incollable pour tout ce qui touche à la baise... elle connaît tout. Tiens, pose-lui quelques questions, tu verras que je ne te bourre pas le mou. Elle a appris à forniquer un peu plus tôt que ses copines, voilà tout. »

La fille écarte les jambes pour me montrer sa chatte imberbe. Elle écarte même les lèvres pour ne rien me cacher.

« Vous pouvez me baiser si vous voulez, me susurre-t-elle. Seulement je dois laisser M. Ernest me baiser le premier. »

M. Ernest la baise-t-il très souvent, lui demandé-je. Non, c'est seulement la troisième ou quatrième fois qu'elle monte ici. Il allait justement la baiser quand je suis entré dans la chambre...

« Allez-y, je dis à Ernest. Je ne veux pas jouer les trouble-fête. » La fille a commencé à se branler d'une main, et se sert de l'autre pour astiquer l'outil d'Ernest.

Ernest est persuadé que je ne comprends pas. Il ne fait rien que ce que tout le monde peut faire, etc. Bien au contraire, je pige parfaitement, lui dis-je pour le rassurer. J'ai moi-même bien failli céder à cette tentation... en fait, pour être exact, on peut dire que... Ernest est maintenant soulagé.

« Bon dieu, Alf, soupire-t-il, tu devrais l'essayer rien qu'une fois. Jamais je n'aurais cru que j'aimerais autant ça, tu prends vraiment ton pied. » Il repousse les couvertures et s'assoit. Il pince les fesses de la fille, redresse ses épaules. « Regarde-la. Elle est mignonne, non ? Ce sera un coup extra quand elle sera plus grande. Et puis c'est une vraie vicieuse... tu devrais entendre le chapelet d'ordures qu'elle te balance quand elle est furax. Et toutes les histoires qu'elle me raconte ! Je n'en crois pas la moitié, mais c'est terrifiant. Tu savais qu'elles ont déjà une odeur, aussi jeunes que ça ? Ce n'est qu'une suggestion, je ne t'en voudrais pas si tu refuses, mais viens donc coller ton nez près de sa motte. »

La fille cesse de jouer avec son truc et s'empare à deux mains de la queue d'Ernest. Elle s'y connaît suffisamment en mécanique pour savoir ce qui fait grossir ce genre d'engin... elle se penche, le chatouille avec ses cheveux tout en faisant glisser ses doigts d'avant en arrière.

« T'inquiète pas, d'habitude je ne les prends pas au berceau, continue Ernest. Merde alors ! J'essaie seulement ça histoire de changer de crémerie. Et puis elle est assez large... je ne la blesse pas, ni rien. Seigneur, Alf, elle se fait tringler par des tas d'autres types... alors autant que j'essaie aussi, y a pas de mal à ça. »

Je me dis qu'il va me chanter l'hymne national dans la seconde qui suit, mais la fille l'excite tellement qu'il en bafouille. Elle n'arrête pas d'approcher sa bouche près de sa queue et de la retirer dès que ses lèvres la frôlent.

« Elle veut un supplément pour me tailler une pipe, explique-t-il, mais elle oublie à chaque fois et le fait quand même.

— Un supplément ! je gueule. Tu veux dire qu'à son âge, elle en sait assez pour demander du fric ? Bon dieu, quand j'étais môme...

— Bien sûr qu'elle fait ça pour du fric. Mais ça n'empêche que c'est une baiseuse de première... »

La fille cesse de jouer avec la queue de M. Ernest pour recommencer à se branler.

« Tu vois ? fait Ernest. Elle est folle de sa chatte et des sensations qu'elle en tire. Le fric n'a rien à voir là-dedans, un crétin lui a probablement filé quelques sous, et elle a constaté qu'elle pouvait se faire un peu de fric en prime. Mais par le Christ, Alf, quand sa petite moule serre ta queue, quand elle se met à frétiller sous toi et qu'elle frotte son ventre soyeux contre le tien... parole, ça ne ressemble à rien de ce que tu as essayé.

— J'ai pas envie de discuter, se plaint brusquement la fille. Je veux que tu me baises.

— Et voilà, Alf... en un mot comme en cent, admire son art de résumer la situation. Maintenant regarde-la se la coller entre les jambes. Merde alors, on jurerait qu'elle va s'empaler à mort. Mais elle est bien assez large. C'est juste une impression... elle ne se l'enfile pas dans le con, elle s'enroule autour de ma queue... »

La gamine ne touche pas la queue d'Ernest quand il se met en position sur elle... elle saisit son buisson, une bonne poignée dans chaque main, et s'y accroche. Elle soulève son cul à une bonne quinzaine de centimètres au-dessus du lit et se jette contre lui. C'est proprement incroyable, mais ce seul mouvement fait pénétrer la moitié de l'instrument dans sa chatte.

« La première fois qu'elle a fait ça, je l'ai prise pour une cinglée, déclare Ernest, mais elle adore ce truc... ça se voit, non ? Bon dieu, d'habitude, je tiens un miroir derrière son cul, histoire de surveiller l'emboîtement. On voit toute la machinerie fonctionner, son petit con sans le moindre poil pour cacher les œuvres vives. Et puis tu devrais voir... »

Je ne saurai jamais ce que je devrais voir, car la fille se met à gigoter comme une damnée, et chaque fois qu'elle secoue son cul la queue d'Ernest disparaît un peu plus. J'ajoute qu'Ernest n'a pas été grugé le jour de la distribution des bites, et j'ai la nette impression que la fille va pâtir d'une déchirure qu'on ne pourra réparer qu'avec une série de points de suture fantaisie.

Sa petite chatte s'élargit, se distend, devient deux fois plus large que la normale. Pourtant pas un cri ne sort de son petit museau... elle remue son cul et serre ses jambes autour d'Ernest comme une pro. Quand il s'arrête de la pénétrer, c'est qu'il n'y a plus rien à faire entrer... tout ce qui reste dehors... en plus d'Ernest... c'est une touffe de poils et une paire de couilles.

« Maintenant ouvre bien tes yeux, tu m'entends, Alf ? me supplie Ernest. J'aimerais que tu me rendes un service. Je voudrais que tu regardes ça de près et puis que tu me dises si c'est vraiment possible. Merde alors, j'en fais des cauchemars la nuit, mais je ne peux plus me passer d'elle. Ah ! petite salope, encore un effort. Trémousse-toi encore un coup ! Bon dieu, j'ai jamais eu autant l'impression d'enfiler un serpent...

— Tu peux me dire ce que tu feras quand tu l'auras mise en cloque ? je lui demande.

— Quoi ? Qu'est-ce que c'est ? Que dis-tu ? La mettre en cloque ? » Ernest s'excite pour de bon. « Arrête de me baratiner, elle est trop jeune pour faire des gosses... tu crois pas ? Hein, réponds-moi, Alf ? Je ne peux pas l'encloquer à son âge ? Faut qu'elles aient des poils à la chatte, non ?

— Tu parles qu'il faut qu'elles aient des poils ! Tout ce qu'il faut, c'est un trou où planter ton poireau, et tu te retrouves avec une jolie famille sur le dos. Tu veux dire que tu n'utilises aucune protection avec elle ?

— Arrête de me faire chier, veux-tu ? De toute façon, je ne suis pas le seul à la baiser. On pourra pas m'accuser de quoi que ce soit... t'es d'accord ? Sinon je traîne tout le quartier devant les tribunaux — tout le monde la saute, cette petite. Écoute, Alf, tu me croirais pas si je t'énumérais la liste de tous les mecs qui, selon elle, la sautent. Y a même quelques femmes, je te le jure sur la tête du Christ ! Et pas des putes, Alf, juste des gens du quartier. »

Allongé sur le lit, sa queue fourrée jusqu'à la garde dans le con de la gamine, il discute avec moi la possibilité de l'encloquer. Au bout d'un moment, la fille se lasse de nous entendre bavasser... elle répète qu'elle veut qu'on la baise, et si Ernest ne la tronche pas comme il faut, elle ne lui rendra plus jamais visite. Il lui balance donc quelques estocades en douceur, puis deux violentes propres à lui déchausser les dents.

« Prends ça, dit-il. Remarque les contractions de son cul, tu vois ? Elle prétend qu'elle jouit quand elle fait ça. Tu crois que c'est du lard ou du cochon ? À part ça, que dalle... » Il se remet au boulot et la ramone énergiquement. « En revanche, quand je jouis dans cette petite salope... »

Saisissant son cul à pleines mains, il la soulève à moitié du lit. Sa queue plonge tête la première, et le lit gémit... à moins que ce ne soit Ernest. La fille garde les jambes largement ouvertes pour l'aider à la pénétrer aussi loin qu'il le désire, et j'imagine son ventre plein à ras bord...

« Seigneur, halète Ernest, je lui en injecte des litres... non, des hectolitres... »

Je sens mes jambes flageoler, je suis beaucoup plus secoué qu'Ernest, qui n'a pas exactement l'air frais comme un gardon. La fille arbore maintenant une innocence nonchalante. Elle veut savoir si j'aimerais maintenant la baiser !

« Vas-y, Alf, me conseille Ernest, affalé sur le lit. Plus jamais tu n'auras l'occasion de vivre ça. Mais il faudra que tu fasses ça par terre ou ailleurs... Je suis trop lessivé pour bouger d'un centimètre... »

Je dis à la fille que je n'ai pas envie de la sauter pour l'instant... un autre jour, peut-être, mais elle fait la sourde oreille, s'approche de moi et frotte son cul d'enfant contre mon genou. Si je la pelotais un peu, me dit-elle, je ne pourrais pas m'empêcher de la sauter.

« Suffit qu'ils me touchent pour avoir envie de me baiser, m'informe-t-elle. Mettez donc votre main entre mes jambes... vous sentirez le foutre de M. Ernest sortir de ma chatte... »

Merci bien, je n'ai pas envie de la tringler et je me moque de sentir le foutre de M. Ernest. Alors aimerais-je me faire tailler une pipe ? Non ! Une branlette peut-être ? Ou si je préfère autre chose... elle se faufile entre mes genoux pour coller son ventre contre ma queue... Je bande comme un âne, elle s'en aperçoit, et ne comprend pas pourquoi je refuse de la baiser alors que j'ai une érection. Elle me demande tout à trac si je suis une tapette ! À moins que ce ne soit un problème d'argent, auquel cas elle est prête à me faire crédit, mais juste pour cette fois.

Juste pour cette fois ! La prudence française se manifeste de bonne heure. Quand elle constate que les séductions du crédit ne m'en font pas démordre, elle décide de me prendre au sérieux. Eh bien tant pis, dit-elle, peut-être la prochaine fois... De toute façon, M. Ernest sait où la trouver... elle m'attend...

 

Miss Cavendish ! Une salope de première bourre, ou alors je ne m'y connais pas. Ce matin, j'ai pu admirer un plan général, comme on dit. Cette fois, elle a des problèmes avec ses toilettes... la chasse d'eau ne fonctionne plus et elle me dit qu'elle va craquer. Mais pourquoi diable choisit-elle le moment précis où elle s'habille pour craquer, je l'ignore... cela dépasse l'entendement. En tout cas, ses chiottes sont bruyants et je suis naturellement la bonne poire choisie pour réparer l'engin.

Cela me prend une quinzaine de secondes : je soulève la plaque du réservoir, libère le flotteur, puis remets le couvercle ; pendant ce temps-là Miss Cavendish se débrouille pour se débarrasser des quelques vêtements qu'elle portait à mon arrivée, et la voilà qui sort de sa chambre comme une fleur pour s'avancer à ma rencontre quand j'émerge des toilettes. Comme de bien entendu, elle est terriblement choquée, horriblement embarrassée. Jamais elle n'aurait imaginé qu'on puisse réparer la chasse d'eau aussi vite... elle croyait pouvoir se balader sans risque en petite tenue... son seul et unique vêtement est une minuscule écharpe blanche qu'elle plaque sensuellement sur son buisson...

La garce ! Elle reste là à tripoter son écharpe pour s'assurer que je n'en perds pas une bouchée... seins, ventre, con... tout le tintouin. Et je dois reconnaître que ce n'est pas mal du tout. Anna, peut-être, a des seins plus plantureux, mais Anna est une exception, on ne peut classer ses phares longue portée parmi les accessoires du modèle standard. Je remarque aussi que Miss Cavendish est nantie d'un de ces nombrils larges et profonds où l'on peut coincer une châtaigne. En revanche l'énigme de son con reste presque entière vu qu'elle est debout : mais elle prend soin d'écarter les cuisses pour que la lumière du jour puisse filtrer entre... si bien que j'aperçois la touffe rousse de sa toison.

Elle s'appuie sur une jambe puis sur l'autre pour me permettre de la mater sous tous les angles, et dès que j'ai les yeux écarquillés comme des soucoupes, elle pivote lentement... ah ! avec une lenteur exaspérante !... se présente de profil, puis me donne tout le temps d'admirer son cul tandis qu'elle retourne tranquillement à sa chambre. Et je reste planté là, la queue raide comme un piquet, incapable d'en faire quoi que ce soit.

Je sacrifierais volontiers deux de mes molaires pour pouvoir baiser cette allumeuse ! Non que je la considère comme un coup génial, mais parce qu'elle me rend fou à lier. J'aimerais la fourrer juste une fois, avoir la satisfaction de l'entendre adresser quelques excuses bien senties à Jean Jeudi... la faire descendre de ses grands chevaux, souiller l'amidon de son faux col, lui coller un bâton dans la roue, et une bonne douzaine d'autres métaphores signifiant que je la baiserais volontiers jusqu'à l'os.

 

Arthur a une idée de génie. Sid, Arthur et moi sommes dans un bar, un peu éméchés, et Sid vient de raconter à Arthur la triste histoire de Miss Cavendish, à laquelle j'ajoute de temps à autre mon grain de sel. Évidemment, Arthur est certain que nous nous y sommes pris comme des ploucs avec cette salope. Si lui avait essayé de la tringler, tout aurait évidemment marché comme sur des roulettes. Magnanime, et comme nous venons de le brancher sur un coup en or, il va nous aider tous les deux à décrocher le gros lot. Voici son plan : nous allons rendre visite à Miss Cavendish et la sauter. Ce plan ne comporte pas la moindre probabilité d'échec, tout bonnement parce que nous sommes deux de plus qu'elle.

« Nous allons discuter avec cette jeune dame, explique-t-il, essayer de la convaincre pacifiquement de baiser avec nous. Mais si elle refuse — banco ! Nous violons cette enculée ! »

Sid est cent pour cent d'accord. Si seulement il était capable de raisonner aussi brillamment, dit-il. Mais son esprit ne fonctionne pas aussi bien, il n'envisage jamais les conclusions simples, évidentes... Nous partons donc chez Miss Cavendish.

Elle est ravie d'avoir de la visite, nous dit-elle en ouvrant sa porte... même si nous constatons qu'elle n'attendait personne. Elle écarte légèrement son déshabillé pour nous laisser reluquer ses jambes, nous fait entrer et nous propose immédiatement de boire un verre. Quand elle sort de la pièce, Arthur en profite pour nous dire à voix basse que ça va être du gâteau et que, tout compte fait, nous n'aurons pas à la violer... Vous n'avez pas remarqué le clin d'œil qu'elle m'a lancé quand elle a plaisanté à propos des filles à moitié à poil ? Il glousse comme une poule.

Tout le monde commence à bavasser... Matisse... Gertrude Stein... Je n'ai même pas besoin d'écouter pour balancer deux ou trois répliques brillantes, je cite simplement des noms au hasard, car de toute façon plus personne n'écoute personne. En fait, je me concentre sur Miss Cavendish. Elle sort son grand jeu pour Arthur... son genou se découvre à intervalles réguliers, son déshabillé dénude parfois la moitié d'une cuisse. Le malheureux la mate comme un malade, attend que le truc vaporeux s'ouvre assez haut pour lui permettre de mater sa chatte... mais si je connais bien cette salope, il y a une petite culotte sous ce déshabillé, et Miss Cavendish n'a pas la moindre intention de s'en séparer.

Arthur met une bonne heure à se frayer un chemin jusqu'au divan où se pavane Miss Cavendish. Il ne va pas être déçu... Elle l'autorise à palper son genou, à peloter un bout de cuisse... il peut même pincer la chair pulpeuse à travers le déshabillé, mais pas question de glisser la main dessous. Quand elle se lève du divan, il la suit comme son ombre et sillonne tout l'appartement en bavant comme un chien qui renifle un bout de bidoche. Sid et moi faisons semblant de discuter pour ne pas le gêner dans ses manœuvres. C'est plutôt marrant de voir quelqu'un d'autre mordre à l'hameçon...

Miss Cavendish s'est fendue de quelques histoires cochonnes... pimentées de souvenirs personnels destinés à convaincre Arthur qu'elle apprécie la grivoiserie. Quand elle ressort de la pièce, il dit à Sid et moi que nous sommes de vraies cloches.

« Elle en meurt d'envie, s'écrie-t-il. Merde alors, vous n'êtes pas des nigauds pourtant ! Elle est comme un fruit mûr, suffit de la cueillir. Elle fait le maximum, sauf demander à haute voix qu'on la saute. »

Miss Cavendish interrompt Arthur : la lampe de sa chambre à coucher ne marche pas. Quelqu'un pourrait-il l'aider... ? Elle a peur de l'électricité...

« Nous y voilà, Art, dit Sid. Maintenant elle le demande à haute et intelligible voix. File la rejoindre et fais, toi aussi, le maximum. Si tu as besoin d'aide, nous nous tenons à ta disposition. »

Arthur n'est pas resté plus d'une minute dans la chambre à coucher, quand nous entendons un cri perçant, et voilà notre pouffiasse qui arrive ventre à terre, avec Arthur sur ses talons. Son déshabillé est ouvert ; comme je l'avais prévu, elle porte une petite culotte. Elle file se réfugier dans les bras de Sid et colle son ventre nu contre lui. Arthur, dit-elle d'une voix hachée, a essayé de lui faire une chose trop indécente pour être mentionnée, quand ils étaient dans le noir.

Sid se tourne vers Arthur et le fusille du regard. « Vilain garnement », lui dit-il.

Arthur a la langue pendante et ne trouve rien de drôle à la situation.

« Passe-moi cette salope, dit-il enfin, que je lui fasse réellement un truc trop indécent pour être mentionné ! Visez un peu ma braguette ! À votre avis, qui l'a ouverte ? Elle. Cette enfoirée m'a sorti la queue et tout, et puis bernique. Passe-la-moi que je la baise.

— Une seconde, nous n'étions pas convenus de ça, objecte Sid. Nous sommes tous censés la baiser, pas seulement toi. Où allons-nous faire ça, ici ou dans la chambre ? »

Ce cul pincé de Miss Cavendish n'en croit pas ses oreilles. Elle tente de se dégager des bras de Sid pour voir s'il plaisante, et s'aperçoit qu'il la tient solidement. Elle exige qu'on la lâche. Sid pince ses loches et l'avertit de ne pas faire d'esclandre.

Elle constate alors que nous sommes sérieux, commence par réclamer notre départ immédiat, et finit par pleurnicher qu'elle ne voulait pas faire de mal... c'était juste pour jouer, en toute innocence.

« Alors, que dirais-tu d'une partie de jambes en l'air, je lui demande, juste pour jouer, en toute innocence ? »

Comment osons-nous lui parler sur ce ton ! Elle va hurler si nous ne la libérons pas tout de suite ou même avant ! Elle va appeler la police si nous touchons à un seul de ses cheveux. Ah ! elle veillera personnellement à ce que les autorités compétentes instruisent son dossier !

« Écoute, Sid, dit Arthur, je ne supporte pas ce genre de baratin... ça réveille mes ulcères. En tout cas, vu qu'elle risque de gueuler et que j'ai les tympans fragiles, je préférerais éviter qu'elle couine comme une truie qu'on égorge. »

Sid lui accorde une dernière chance de filer doux. Pas question, hurle-t-elle. Nous nous trompons lourdement si nous croyons qu'elle va laisser trois hommes abuser d'elle ! Arthur enfonce un mouchoir dans sa bouche et l'attache derrière sa tête.

« Dites quelque chose, lui demande-t-il, et Miss Cavendish fait "humpf" avec un parfait accent anglais. Au poil, commente-t-il. » « Maintenant, la pimbêche, tu vas découvrir ce qu'est la baise. Nous allons te violer sur ton propre lit à la con, puisque tu n'y acceptes personne de ton plein gré. »

Elle rue des quatre fers, mais ne peut rien contre nous trois. Nous la portons dans sa chambre à coucher et la jetons sur son lit. Sid et Arthur la tiennent pendant que je la déshabille.

C'est la première fois que je viole quelqu'un. Le viol m'a toujours semblé un peu ridicule, mais c'était avant que je ne tombe sur cette allumeuse. Maintenant je suis pour le viol à cent pour cent, et j'ai rarement eu autant de plaisir à dénipper une femme... Je la palpe, lui file un pinçon par-ci, une claque par-là : plus elle se tortille et se débat, plus ma queue durcit.

Vu que deux d'entre nous doivent obligatoirement la tenir, nous décidons que le plus simple est de la baiser à tour de rôle, dans l'ordre où nous l'avons connue. Ce qui place Sid en tête, et mes yeux me disent qu'il est en pleine possession de ses moyens. Quand il a baissé culotte, Miss Cavendish lui jette un coup d'œil et, horrifiée, ferme les yeux. Je la sens trembler sous mes mains. Je la plaindrais volontiers si elle ne s'était pas comportée aussi dégueulassement avec moi dans le passé...

Dans tout ce qu'il entreprend, viol compris, Sid adore prendre son temps. Il chatouille la fourche de la pimbêche et la pelote, commence par les pieds et remonte avec une lenteur d'escargot vers le buisson. Il passe les mains sur son ventre, joue avec ses loches... ensuite il écarte ses jambes et jette un coup d'œil dans sa figue. Elle n'est pas vierge, annonce-t-il...

Miss Cavendish chie dans son froc, si j'ose dire. Elle doit penser que nous avons déjà prévu de nous débarrasser de son cadavre quand nous aurons terminé. Mais elle continue à se battre comme une lionne dès que nous lui laissons les coudées franches... Sid a un mal de chien à l'immobiliser assez longtemps pour mettre son instrument en batterie sous son cul.

Arthur et moi nous penchons tous les deux pour regarder sa queue entrer en elle... Sid ouvre la bonne-bouche et frotte son outil contre les cuisses frémissantes. Le regard terrifié de Miss Cavendish va de l'un à l'autre. Elle réussit à repousser un peu son bâillon, mais la peur semble lui clouer le bec... elle ne crie même pas... elle nous supplie, d'une voix paniquée, de la lâcher.

« Par pitié, ne me faites pas ça ! Je n'exciterai plus jamais personne, plus jamais... je vous jure ! Oh ! s'il vous plaît... pitié ! Je suis désolée d'avoir joué les délurées... on ne m'y reprendra plus ! Ne m'humiliez pas davantage... »

Mais ses bonnes résolutions arrivent beaucoup trop tard. Peut-être ferons-nous ami-ami un de ces quatre, mais ainsi qu'Arthur le lui explique, elle doit d'abord prendre une bonne leçon. Sid glisse sa queue dans sa motte... ses cuisses frémissent. Arthur et moi cessons de malaxer ses seins pour donner un coup de main à Sid. Son ventre tremble et se contracte, je remarque que ses mamelons sont érigés... ils se dressent, sombres et pointus au centre des aréoles foncées de ses nichons...

« NON... non... non... non... non... »

Sid a enfilé le bout de son gland dans son con. Puis il donne des coups de boutoir... ses couilles frôlent les jambes soyeuses de notre amie. Il maintient ses cuisses écartées et enfile progressivement la connasse qui gémit. Elle refuse de regarder ou de montrer son visage... Sid tient sa main et l'oblige à ouvrir les yeux.

« Alors, espèce de salope, tu aimes ça ? C'est pour ça que tu nous as tous allumés, depuis que je te connais... allez, un petit sourire ! Ça ne te suffit donc pas, abrutie ? Tu sens cette queue dans ton con, bordel ! Je veux que tu la sentes ! Là, ça va peut-être t'aider à comprendre ce qui se passe dans ton ventre ! » Il la baise si brutalement qu'on ne sait si le lit tangue à cause des mouvements désespérés de Miss Cavendish ou du va-et-vient du piston dans le cylindre. « Je te fiche mon billet que tu ne seras plus trop étroite quand je t'aurai bien ramonée... d'ailleurs, tu auras du mal à garder les jambes croisées quand un pauvre crétin bavera devant toi pour te sauter... »

La salope se débat pendant quelques minutes, mais maintenant rien ne pourrait désemmancher cette queue avant que Sid n'ait terminé. Elle s'aperçoit enfin que c'est inutile... impossible de le repousser... elle faiblit... s'avoue vaincue. Elle n'a d'autre choix que de laisser l'inévitable s'accomplir. Elle cesse de lutter.

« Ah ! voilà qu'elle devient raisonnable, déclare Sid. Peut-être réapprend-elle les joies de la baise... elle a dû aimer ça dans le temps... quelqu'un l'a baisée avant nous. Nous aurions dû nous décider la semaine dernière... Je crois qu'elle prend son pied à se faire violer ! Sale allumeuse, demain tu ne joueras plus la comédie aussi facilement ! Écoute-moi bien, connasse de mes deux, nous sommes trois ici. Tu piges... trois mâles. Trois queues en tous points semblables à celle qui t'enfile présentement, tu t'es assez payé notre tronche... et ne crois surtout pas que nous allons nous limiter à un coup chacun... nous comptons bien te baiser deux ou trois fois... Dieu seul sait combien de fois, mais tant que nous tiendrons debout tu peux être sûre que nous nous occuperons de toi. Tu vas avoir droit à une nuit inoubliable, veinarde, une vraie nuit de pute... tiens, nous devrions peut-être sortir racoler pour toi dans la rue, peut-être que tu as une vocation de putain... En tout cas, quand ce sera terminé, fini de péter plus haut que ton cul, tu n'auras plus envie d'aller batifoler dans les pâquerettes... »

Cette fois, il la tringle comme un malade. Des cuillerées de jus sortent de son con, il a dû lui déchirer la matrice. Quand il est prêt à jouir, je m'attends à ce que le lit s'effondre sous nos corps...

« Voilà un petit quelque chose pour te réchauffer la chatte, et franco de port, gueule Sid. Y en aura peut-être pas assez pour te remplir à ras bord, mais t'inquiète pas... ça se bouscule au portillon... Tenez-la bien, les gars... Elle va sauter au plafond quand elle va le sentir... »

« Non, pas ça ! » Elle recommence à nous supplier... le foutre de Sid inondant sa chatte lui paraît pire encore que le fait de se faire baiser. « Vous ne pouvez pas me faire ça ! »

Mais Sid continue et prouve qu'il peut tout à fait lui faire ça. Il retire sa queue, et en cadeau d'adieu secoue le foutre de son gland sur le ventre de cette enfoirée. Miss Cavendish cache son visage sous les couvertures et gémit.

Sid a au moins obtenu un résultat positif... il l'a si bien élargie qu'elle n'est plus du tout étroite quand je grimpe sur elle. Et elle ne se débat plus aussi sauvagement. Non qu'elle me jette les jambes autour du cou et m'accueille en sauveur, mais elle ne gueule plus comme un putois... Pas un autre, supplie-t-elle... nous ne lui ferons pas subir de nouveau cette torture, n'est-ce pas ? Nous sommes vengés, et bien vengés, non ?

Quel plaisir de l'entendre geindre après ce qu'elle m'a fait subir ces derniers jours ! Je lui taquine un peu le croupion avant de l'enfiler, juste pour le plaisir. J'ai failli perdre la boule à cause de cette salope, et maintenant que je peux la sauter pour de bon, je tiens à en tirer le maximum... Mon gland explore sa toison, puis sa fente bien ouverte pour laquelle cette pouffiasse nous a fait tellement baver...

« Hé ! Sid, je crie, il y a quelque chose qui sort de sa chatte ! Je crois que c'est du sperme... elle en a plein les jambes. Dis-moi quoi faire. »

Sid examine la chose, puis déclare que la moitié au moins est du jus de con.

« Enfourne ta queue et repousse tout ça à l'intérieur, me conseille-t-il. Nous ne voulons pas qu'elle en perde une goutte... faut qu'elle reste bien juteuse pour le prochain round... et si nous décidons de la refiler à des potes, faut qu'elle soit en bon état pour les suivants...

— Pour l'amour du Ciel, Alf, arrête de parler et baise-la, proteste Arthur. J'en ai marre de peloter ses seins... si ça continue, je vais lui en coller plein le visage. Sur la tête du Christ, si tu me laisses pas la place en vitesse, je vais lui fourrer ma queue jusqu'au fond de la gorge, et ce serait dommage de devoir baiser un cadavre... tout de suite. »

La fille est maintenant enroulée dans les couvertures d'où je m'extirpe avant d'enfoncer ma queue dans sa figue. Je veux la voir en entier, je veux tout sentir, voir qui je tringle. Je laisse Jean Jeudi renifler les poils de son con.

Il y a une marée qui clapote en elle... Sid doit lui avoir balancé une giclée maison... ou alors c'est un con sacrément juteux. Ma queue se noie littéralement dans la soupe. Jean Jeudi apprend à nager, mais ce bain de con est loin de nuire à son plaisir.

« Reviens donc frapper à ma porte un de ces quatre, d'accord ? dis-je à la fille. Tiens, passe donc demain, et frappe trois fois. Je serai là, prêt à te sauter. »

J'enfonce ma queue et sens Miss Cavendish se ramollir sous moi. « Encore un problème... ? Une pendule qui a besoin d'être remontée ? Un con qui a besoin d'être baisé ? Tu passes me voir, tu frappes trois fois, et je te promets d'arranger ça... »

Je lui défonce le cul... Seigneur, c'est un régal de pouvoir faire ça !... Je m'empare de ses loches et les suce. Même s'il faut la tenir pendant que je la saute. JE PEUX LUI FAIRE SUBIR TOUT CE QUE JE DÉSIRE ! J'ouvre les lèvres de son con, et ma queue s'engouffre dans sa matrice...

La chambre à coucher a le mal de mer. Sa chatte sent l'océan, l'univers tangue comme un bateau. Tout se brouille... le sperme l'éclabousse comme de l'écume...

Arthur ne tient plus en place. Il me bouscule pour se camper entre les cuisses de la fille. Maintenant, elle est trop faible pour essayer de l'arrêter. Ses jambes s'écartent légèrement et elle ne tente même pas de les serrer.

Au premier essai, Arthur est dans la place. Il brandit sa queue sous le cul de la fille qui a renoncé à cacher son visage... elle reste allongée comme une vache et se laisse baiser... plus de problème pour l'immobiliser.

Sid place sa queue dans sa main et lui dit de la branler. Elle ferme ses doigts autour. Je mets ma queue dans son autre main... elle est encore humide...

« Arrêtez de me baiser... je vous en prie, arrêtez de me baiser... » Elle est trop faible pour élever la voix.

Arthur cesse de la ramoner. « Peut-être que nous la baisons trop, dit-il. Je ne veux pas la blesser, même si c'est une allumeuse. »

Sid descend du lit pour examiner sa chatte. Tout est en ordre, dit-il. Pas la moindre égratignure... elle est aussi fraîche qu'à notre arrivée, juste un peu plus ouverte.

« Vas-y, fonce, dit-il. T'inquiète pas, s'il y a quoi que ce soit elle te le fera savoir. Écoute-moi bien, comtesse de mes deux... oui, TOI ! Je veux que tu me dises la vérité... nous te faisons mal, oui ou non ?

Il paraît si furieux que la salope a peur de mentir. Non, chuchote-t-elle, ça ne fait pas mal du tout. Mais elle est à bout... elle ne nous allumera plus, elle n'embêtera plus jamais personne...

Arthur est ravi, naturellement. Il fourre sa queue dans son abricot fendu et exécute quelques acrobaties pour élargir la chambre noire. Il gronde comme un chameau harassé et la quitte après avoir déversé en elle un flot épais qui dégouline sur ses cuisses.

« Tu vois ça ? dit-il en montrant une tache de foutre sur le lit. Demain, quand l'envie te reprendra, tu pourras renifler ça en te branlant... à moins que tu ne préfères sucer les draps si tu aimes le goût du foutre. »

Sid passe ses doigts entre ses jambes, les enduit de foutre puis les frotte contre les lèvres de la fille. « Lèche-moi ça, connasse, lui intime-t-il. Nous te permettrons peut-être de nous sucer si tu aimes ça... et peut-être que tu vas nous sucer de toute façon...

— À ta place, dit Arthur, je ne confierais pas ma queue à la bouche de cette salope. Aucune envie de me retrouver avec une demi-queue et une couille en moins. Pour l'amour du ciel, Sid, ne fais pas l'andouille, ne lui donne pas l'occasion de planter ses canines dans ta queue. J'ai déjà été mordu par des enfoirées, j'te jure que c'est pas drôle... »

Sid se penche vers Miss Cavendish et murmure quelque chose à son oreille. « Qu'en dis-tu, connasse ? demande-t-il. Je parie que tu as déjà goûté à la queue, pas vrai ? Allez, ne fais pas la mijaurée, nous sommes entre amis... que dis-je, entre intimes... Alors, tu as déjà pris une queue dans ta bouche ? »