CHAPITRE I
UNE MESSE NOIRE ET UNE NAINE
JE connais un seul remède capable de remettre Alexandra d'aplomb... une bonne dose de deux panacées, l'alcool et la baise. Après cette soirée mouvementée à la messe de Charenton, elle tremble de la tête aux pieds, balbutie des paroles incohérentes, mais réussit néanmoins à trouver le brandy qu'elle cache toujours dans sa voiture. Nous démarrons sur les chapeaux de roue. Je ne connais pas les environs et Alexandra est trop hystérique pour m'être d'un quelconque secours, mais à partir de l'endroit où elle nous a emmenés, il semblerait que tous les chemins mènent à Paris.
Charenton... quel type ! Au moins ses cérémonies ne sont pas soporifiques, contrairement aux messes organisées par ses confrères plus respectables. Et puis il ne se complaît pas dans les extrêmes, évite de hacher menu les nouveau-nés, de manger de la chair humaine, bref son satanisme me paraît relativement anodin. Un peu plus spectaculaire que l'évangélisme courant, certes, mais pas beaucoup plus dangereux. En tout cas, je respecte sa vitalité, et me moque de ses buts avoués ou inavouables... je connais trop de gens plus qu'à moitié morts, des deux côtés de la ceinture.
Alexandra garde ses opinions pour elle. Quand elle a bu quelques gorgées de brandy, elle se calme. Toujours nue, elle se pelotonne sur son siège contre moi, et me passe la bouteille. Je me contente d'une rapide lampée. Je n'ai pas tant besoin de brandy que de troncher... Au bout de quelques kilomètres, l'érection que j'avais durant la messe du chanoine commence à me reprendre. Dans l'habitacle clos d'une voiture aux vitres fermées, on est à même de saisir la puissance du brouet que les femmes concoctent sans discontinuer entre leurs cuisses...
Alexandra ne parvient pas à se détendre... elle ne le pourra probablement pas avant qu'on ne s'occupe sérieusement de la démangeaison qui la travaille. Le brandy l'a un peu calmée, mais si peu... on dirait une bombe qui risque à tout moment d'exploser entre vos pattes. Elle déchire mes vêtements plus qu'elle ne les défait, et elle saisit ma queue... pas pour jouer avec, simplement pour la tenir, comme si elle voulait s'assurer qu'elle est toujours là, qu'elle ne risque pas de s'envoler.
Je lui suggère à plusieurs reprises qu'il ne serait peut-être pas superflu de voiler sa nudité... peu me chaut de traverser Paris en voiture à côté d'une fille à poil, mais quand je gare la voiture le long du trottoir devant chez elle, elle n'a pas remis un seul de ses vêtements. Elle refuse une nouvelle fois de s'habiller. Tenant ses vêtements sous le bras, elle sort de la voiture et la contourne par l'avant, alors que je n'ai pas encore eu le temps d'éteindre les phares. Après quoi nous restons cinq bonnes minutes devant la porte pendant qu'elle cherche ses clefs.
Je n'ai jamais vu Alexandra se comporter ainsi. Bien sûr, c'est une vraie garce depuis que je la connais, mais elle a toujours fait preuve d'une certaine discrétion... le genre de connasse qui enfourche immédiatement ses grands chevaux si vous essayez de la peloter ailleurs que dans sa chambre à coucher. Pourtant, je ne suis pas vraiment surpris. J'ai renoncé à essayer de comprendre ce genre de salopes... Je me contente de les baiser. C'est une grande économie d'énergie. On peut baiser une pouffiasse en vingt minutes, mais si l'on considère son temps comme un bien précieux, on ne le perd pas à répondre à la kyrielle de questions vaseuses qu'elles peuvent poser en vingt minutes.
Alexandra m'emmène directement à sa chambre à coucher ; elle gravit les marches devant moi, son cul ballottant devant mon visage, moulinant comme une machine merveilleuse... elles vous collent leur cul sous le nez en se contrefoutant de ce que ça peut vous faire. Les cuisses d'Alexandra sont barbouillées de jus de con jusqu'à mi-hauteur... J'ai envie de planter mes dents dans ce gros cul et de voir ce qui se passera quand j'arracherai un bon steak pour mon déjeuner de demain...
Dans la chambre elle est aussi tendue qu'avant. Elle s'allonge en attendant que je lui rende les honneurs, mais elle est trop nerveuse. Elle se redresse sur un coude et tripote sa toison pendant que je me déshabille. Et elle taquine toujours la bouteille, bien qu'elle n'ait plus la tremblote depuis belle lurette...
Alexandra a commencé à m'astiquer dans la voiture, si bien que j'ai une queue grosse comme mon poing et des couilles aussi dures que des balles de ping-pong. Mon érection est tellement sublime qu'une fois déshabillé, je me plante devant le miroir en pied, histoire d'admirer mon anatomie pendant deux bonnes minutes. Tout homme qui se respecte devrait se faire photographier dans cet état, conserver précieusement le cliché et le regarder chaque fois qu'il va voir son patron pour lui demander une augmentation. Et puis ce serait formidable de pouvoir montrer ça à ses petits-enfants.
Alexandra l'admire au moins autant que moi, après quoi elle applique son mode d'emploi personnel... Elle commence par le saisir à pleine pogne, et avant que je sois sur le lit, elle manœuvre déjà pour le fourrer dans sa bouche. Quelle salope... dire que j'ai eu tant de problèmes pour la faire sucer la première fois... Elle coince sa tête dans mon giron et entreprend de cajoler Jean Jeudi. Elle gémit... me dit qu'elle pourrait sucer ma queue toute la nuit... pourtant j'ai l'impression que ça ne durera pas aussi longtemps... j'installe un oreiller sous mes épaules et retire les épingles à cheveux d'Alexandra.
Ai-je remarqué la femme allongée sur l'autel pendant la messe ? me demande-t-elle... et moi, je me demande qui peut considérer les femmes comme une race intelligente, quand une fille apparemment pas trop attardée peut poser une question pareille. Je lui réponds du tac au tac qu'en effet il me semble avoir souvenir d'une personne dans cette position...
« Elle est mariée, elle a un enfant... son mari ignore tout de ses activités "honteuses". Charenton est même accueilli à bras ouverts chez elle... Le mari le prend pour le confesseur de sa femme, il est ravi de les voir s'enfermer tous les deux pendant des heures... »
Elle penche la tête et lèche mon ventre tout en frottant le gland cramoisi de Jean Jeudi contre son menton. Sa langue me fait penser à un minuscule serpent qui descendrait le long de mon ventre en frétillant pour se cacher dans les poils de mes couilles... Dieu ! que j'aurais aimé assister aux messes où Alexandra a pris une part plus active aux rites sabbatiques du chanoine Charenton... elle paraît tellement hautaine et cul pincé quand elle n'est pas en chaleur.
Parfois, les traits d'Alexandra me font vaguement penser aux femmes égyptiennes. Ce doivent être ses babines retroussées, sa bouche en cul de poule quand elle l'approche de ma queue. Ou alors c'est l'angle sous lequel je la vois quand elle colle son visage contre mon ventre pour astiquer le faux col noir de Jean Jeudi. Alexandra devrait porter une couronne en or sur la tête, une vipère autour du poignet, et une plume de paon pour chatouiller ses fesses...
Sa main caresse ma queue pendant que ses lèvres en touchent le bout... elle prend son temps, nous avons toute la nuit devant nous. Alexandra n'a rien à voir avec certaines jeunes excitées qui vous sautent dessus pour vous dévorer tout cru. Elle a de l'expérience, c'est une femme mûre à tous points de vue, et elle a trop de viande sur les os pour se jeter sur vous comme une balle en caoutchouc qu'on lance contre un mur. Alexandra est un coup en or ; ce n'est qu'après avoir baisé une femme aussi expérimentée que vous comprenez vraiment que les petites connasses pétaradantes sont une réelle perte de temps. Les feux d'artifice ont certes leur charme, mais il n'y a rien de tel que le charbon à combustion lente pour vous chauffer les fesses par les longues nuits d'hiver...
Quand elle remet J.J. dans sa bouche, je sais tout de suite qu'il en ressortira aussi flasque qu'un pneu crevé. Je plaque les cheveux d'Alexandra au-dessus de ses oreilles pour voir son visage... puis je bloque mes chevilles autour de sa taille. Alors, et seulement alors, Alexandra comprend que Jeannot ne rigole plus, et elle accepte volontiers de sentir ma queue au fond de son palais avant qu'elle ne ramone sa chatte... pourtant, elle essaie de se défiler et je dois maintenir sa tête en position basse jusqu'à ce que nous parvenions à un accord tacite. Jean Jeudi se débrouille comme un chef... le nez quasiment coincé au fond de sa gorge, le voilà qui explose sans prévenir. Dès la première giclée, Alexandra déclare forfait et déglutit tant bien que mal. J'ai l'impression qu'elle me pompe des litres de foutre, à croire qu'elle tente d'aspirer mes couilles avec mon sperme. Sa bouche gargouille comme une paille au fond d'un verre... avaler mon foutre ne lui suffit pas... elle veut avaler ma queue, et moi tout entier par la même occasion...
Quand elle a bu la coupe jusqu'à la lie, elle est plus excitée que jamais. Elle bondit littéralement du lit pour s'envoyer une bonne lampée de brandy, puis revient et frotte sa figue contre mon buisson. Elle finit par se jeter sur les oreillers pour présenter sa bonne-bouche à quelques centimètres de mon nez, après quoi elle écarte les jambes et commence à se limer. Elle attend manifestement quelque chose de moi... Après avoir consacré plusieurs minutes à explorer cette partie velue de son anatomie, Alexandra pousse un long soupir lascif. Parfois, me dit-elle, elle regrette que ses enfants soient exilés à la campagne... Si son Peter était là en ce moment, il saurait quoi faire pour la rendre heureuse... ou même Tania... Cette adorable petite Tania avec sa bouche vicieuse et sa langue si vive... Oui, parfois, et quoique sachant qu'elle a bien fait de les obliger à quitter Paris, elle regrette qu'ils ne soient pas avec elle.
Je constate donc que toute la famille est unanime à ce sujet. Tania et Peter, je le sais, seraient prêts à tout pour revenir à Paris, même s'ils n'avaient plus le privilège de coucher avec leur mère. De toute façon, cet éloignement me paraît assez stupide... Je n'ai jamais remarqué que la réclusion ait le moindre effet salutaire sur la moralité des enfants...
Je fais la sourde oreille aux propositions à peine voilées d'Alexandra, si bien qu'elle finit par me le demander franco : accepterais-je de sucer sa chatte ? Ma réponse est négative. J'ignore quand le chanoine Charenton a présenté son sceptre pontifical devant l'abricot fendu d'Alexandra, mais je veux bien être damné si je prends les mêmes habitudes que Peter. Pourtant, j'accepte de lécher ses cuisses pour lui faire plaisir... elles fleurent le con, et comme Alexandra anticipe toujours sur les plaisirs à venir, elle est déjà au septième ciel... Gardant son doigt dans sa chatte, elle fait quasiment le grand écart et continue à se branler pendant que ma langue papillonne alentour...
Mais cela ne peut durer éternellement... Alexandra est trop excitée pour jouer à ce petit jeu toute la nuit. Elle veut qu'on la baise, et le doigt qui remue dans sa chatte remplace mal ce qui devrait s'y trouver. Elle titille la barbe de Jean Jeudi, lui fait mille promesses, essaie de le soudoyer avec mille baisers... et le taquine tant qu'il redresse bientôt fièrement la tête. Dieu qu'elle s'excite quand elle le voit se remettre au garde-à-vous ! Elle batifole sur tout le lit, et l'on jurerait qu'une demi-douzaine de boys-scouts ont campé sous les couvertures pendant la semaine passée... elle grimpe sur mon corps, se glisse dessous, se faufile dans mes bras, entre mes jambes, laissant partout des traînées de jus et l'odeur de son con. Je finis par la choper au passage, la jeter sur le cul et bondir en selle...
Elle ne se contente pas d'écarter les jambes et d'attendre ma queue... elle enfonce ses doigts dans sa fente et distend tellement ses lèvres qu'on jurerait que sa chatte va s'élargir aux dimensions de son ventre. Puis elle se jette sur moi pour enfiler ma queue dans son con. Elle ne peut rater la cible... avec la figue dilatée qu'elle se paie... Ma queue glisse dans sa toison, entre ses lèvres distendues et juteuses, puis poursuit sa progression en plongeant bille en tête dans un magma brûlant. Les bras et les jambes d'Alexandra se referment autour de moi, et son con serre chaleureusement J.J. dans sa pogne...
Pour autant que je sache, Alexandra n'a pas été baisée à la petite sauterie du chanoine Charenton. En tout cas, son comportement confirme mon impression... je serais même prêt à parier qu'elle n'a pas vu l'ombre d'une queue depuis plusieurs semaines. Ses gobelins ne la baisent peut-être pas aussi bien qu'elle voudrait me le faire croire... l'esprit ne suffit pas à satisfaire les besoins de la chair... Elle se tortille comme une minette faisant du hulahoop... elle presse ses roberts contre mon visage, me supplie de les sucer... Elle halète comme un moteur à vapeur en surpression, je m'attends à ce que la soupape de sécurité éclate à tout moment. Je saisis son cul, le pince, écarte ses fesses... elle manque de nous faire tomber du lit tous les deux quand je commence à chatouiller son rectum.
Bon dieu, la masse de poils qui couvrent le cul de cette fille est proprement ahurissante ! Avant de repérer son rectum, il faut traverser une véritable forêt, et sans lanterne encore... Si jamais elle attrapait des morpions, elle les garderait pour le restant de ses jours... Il faut s'armer d'une machette pour se frayer un chemin à travers cette jungle quand on part en exploration dans cette région, et baliser la piste pour pouvoir revenir à bon port... Je réussis enfin à trouver son rectum après avoir longtemps tâtonné dans les ténèbres... Alexandra braille comme si je la scalpais, mais j'ai maintenant trois doigts enfilés dans son cul... Tout me porte à penser que je pourrais lui en enfiler trois autres sans qu'il se passe rien de fâcheux...
Brusquement ma queue déverse des giclées de foutre dans sa matrice... Alexandra continue à galoper comme si de rien n'était, serre plus fort ses jambes autour de moi... et jouit à son tour... Nous sommes allongés, imbriqués l'un dans l'autre, mes doigts frétillent dans son rectum chaque fois que je la sens se contracter... Elle ne va jamais s'arrêter de jouir... moi non plus d'ailleurs...
Ce soir un seul orgasme ne suffit pas à calmer Alexandra. Elle se repose le temps que j'aille m'envoyer un autre brandy... puis remet ça ; elle veut que je la baise encore. Elle s'allonge contre moi, frotte sa motte contre mes jambes, fourre sa figure sur mon buisson, m'ensevelit ainsi que toute la chambre dans la puanteur douceâtre de son con. Elle jute tellement que chaque fois qu'elle astique mon ventre avec sa toison, j'ai l'impression qu'on me barbouille à coups de pinceau... ensuite, quand ses poils sèchent, ils frisent et durcissent comme si on les avait trempés dans l'amidon...
Alexandra tient à savoir si je la considère comme un meilleur coup que Tania... Cette petite branleuse, ainsi que la qualifie Alexandra. Pourquoi un homme comme moi aime-t-il à ce point s'envoyer Tania ? Un garçon, oui, elle comprendrait qu'un jeune garçon comme Peter aime baiser Tania... et sincèrement, elle ne verrait pas d'un mauvais œil que Tania se fasse tringler par des jeunes gens de son âge. Mais toutes ces saloperies avec des hommes adultes... cela ne profite ni aux hommes, ni à sa petite Tania. Que va donc faire sa fille en grandissant ? Qu'inventera-t-elle pour satisfaire ses besoins ? Mais ire perdons pas de vue la question initiale... Une femme adulte, capable d'assouvir tous les désirs et de satisfaire tous les caprices d'un homme n'est-elle pas préférable à cette petite planche à repasser. à cette salope adolescente, à cette...
Comment voulez-vous répondre à une question pareille ? Pour un homme, Tania est à ranger dans une classe à part... on ne peut la juger selon les critères habituels, car il n'y a et il n'y aura jamais qu'une seule Tania. Je réponds en demandant à Alexandra ce qui l'attire chez sa fille... Ah ! mais la question n'est pas là ! C'est le rapport incestueux qui fait mouiller Alexandra. Si Tania était la fille d'une autre, elle-même n'accorderait pas un regard à cette petite traînée... pas un regard. Oh ! oui, la gamine pourrait se pavaner jour et nuit devant Alexandra, il ne se passerait rien de rien. Absolument rien. Ce qui, bien sûr, est un fieffé mensonge. Cela pimente un peu l'affaire, d'être la mère de cette salope de Tania, mais fille ou pas, Tania a sa place dans le lit d'Alexandra quand elle le veut.
Alexandra passe maintenant en revue les épisodes les plus corsés de sa liaison avec sa fille... Il semble que Tania ait soutiré à sa mère tous les détails croustillants de ses rapports intimes avec les hommes que connaît la petite garce... en échange de quoi elle lui a confié certaines de ses turpitudes. J'apprends ainsi avec beaucoup d'intérêt que le chanoine Charenton a fait pression sur Alexandra pour qu'elle confie sa fille à lui-même et au diable. Alexandra a trouvé un prétexte quelconque pour refuser... Aujourd'hui, bien sûr, tout cela est terminé... mais si je ne l'avais pas accompagnée ce soir, poursuit Alexandra d'une voix tremblante... ah ! ç'aurait été la fin de tout... oui, son honneur aurait été totalement souillé...
Elle s'est tellement échauffée qu'elle veut être baisée à tout prix, mais elle n'a pas oublié de s'occuper un peu de moi... Ma queue est raide, elle la tient entre ses cuisses, frotte sa pêche fendue contre le bout. Sans que nous y soyons pour grand-chose, mon outil trouve l'entrée du piège à rats... Je me contenterais volontiers de rester allongé là pour baiser paresseusement Alexandra, mais elle a autre chose en tête, et puis ce n'est pas son genre... Je la sens s'exciter progressivement, et elle finit par me grimper dessus pour me montrer comment s'y prendre.
Je pourrais vous citer un grand nombre de choses plus désagréables que ça... À dire vrai, j'adore être allongé confortablement sur le dos pendant qu'une fille douée et bien allumée me chevauche. Je n'ai pas besoin de lever le petit doigt... Alexandra connaît toutes les ficelles du métier, rien à voir avec le genre de petite délurée à qui il faut apprendre le b a ba. Elle m'entraîne dans une cavalcade effrénée, elle se donne entièrement, jetant aux orties les derniers vestiges de sa dignité... Une femme qui baise pour de bon dans cette position a moins de dignité, me semble-t-il, que dans toute autre position... merde, elles réussissent encore à faire les mijaurées en suçant ma queue, mais quand leur cul fait des bonds de cabri... l'honneur et la dignité restent au vestiaire...
Je n'ai jamais baisé une femme dans cette position sans qu'elle veuille voir comment les choses se passent. Quand on est sur elles, on peut les baiser tous les jours de la semaine sans qu'elles manifestent la moindre curiosité, mais il suffit de faire monter une femme en selle pour qu'elle se mette aussitôt à chercher un miroir. Alexandra ne fait pas exception à la règle... après une mise en jambes de quelques minutes, elle descend de selle et file chercher un face-à-main. Après quoi elle remonte, et le premier coup d'œil qu'elle jette à l'étage inférieur la terrasse complètement. Ça ne devrait pas ressembler à ÇA, s'écrie-t-elle, mais quelques minutes d'observation attentive la calment. Elle finit par trouver son con tout à fait ravissant, ajoutant qu'il se comporte admirablement bien dans le feu de l'action.
Alexandra dit qu'elle veut voir ce qui se passe quand nous jouissons, mais lorsque approche le moment crucial, son regard est tellement vitreux que je doute qu'elle puisse voir quoi que ce soit...
Nous jouissons ensuite d'un repos bien mérité. Allongée à côté de moi sur le lit, les jambes aussi écartées que possible pour refroidir un peu sa chatte, elle désire me parler de Charenton. Ça l'excite manifestement d'évoquer le chanoine, bien qu'elle veuille me faire croire que tout cela lui fait aujourd'hui horreur... Comme on s'en doute, Charenton s'est envoyé toutes les brebis de son troupeau... il serait le dernier des crétins d'avoir loupé pareille occasion... si un membre de sa congrégation n'a pas sauté tous les autres, c'est pure négligence de sa part. Ah ! et cette horrible statue ! Jamais elle ne l'oubliera. La première nuit, elle était morte de peur, elle hurlait quand ils l'ont portée jusqu'à l'effigie du diable... Il y a un dispositif que je n'ai probablement pas remarqué... à l'intérieur de la statue, un récipient contient du vin consacré, lequel peut gicler à travers le membre énorme... lors de sa première messe, elle s'est passablement enivrée au vin consacré...
J'aimerais savoir ce qu'elle a maintenant l'intention de faire... va-t-elle retourner dans le giron de l'Église catholique ? Non, elle ne croit pas cela possible... ne se sent plus du tout attirée par le mysticisme. Elle n'a pas la moindre idée de ce qu'elle va faire... à mon avis, ne serait-ce pas une bonne chose que de faire entrer Tania dans un couvent ?
La pensée de Tania dans un couvent me semble parfaitement absurde. Elle corromprait la mère supérieure, cette petite délurée... en deux semaines, la direction se retrouverait avec une horde de femelles en chaleur sur les bras, et tous les cierges se mettraient à sentir une drôle d'odeur quand on les allumerait... Alexandra soupire et tombe d'accord avec moi... elle ne sait toujours pas quoi faire... ce jour-là, ajoute-t-elle, elle aurait mieux fait de tailler une pipe au père de Tania.
Elle veut que je la baise une nouvelle fois ; pour redonner un peu de vigueur à ma queue, elle la prend dans sa bouche. Sortir Jean Jeudi de sa torpeur n'est pas une mince affaire, mais Alexandra est déterminée ; elle a recours à tous les traitements possibles et imaginables, s'abstenant seulement de l'avaler tout cru, tant et si bien qu'il finit par pointer le bout de son nez. Alors, quand je suis en mesure de la baiser correctement, Alexandra a une idée soudaine qui ne m'emballe pas particulièrement. J'essaie de l'arrêter, mais avant que j'aie pu la retenir, elle a versé une goutte de brandy dans sa chatte... histoire de voir si ce ne serait pas plus agréable comme ça...
Dès que l'alcool entre en contact avec ses muqueuses, elle devient complètement cinglée. Elle crache ma queue, me saute dessus, danse comme une possédée autour du lit, hurlant et pressant ses deux mains contre son buisson ardent... elle s'évente avec un mouchoir, se saupoudre de talc, puis, allez donc savoir pourquoi, monte sur une chaise et en saute... Si c'était Tania ou même Anna, ce ne serait pas si drôle... mais Alexandra est si distinguée et placide dans le civil que ses gesticulations sont proprement hilarantes.
Enfin elle retourne sur le lit... si je mettais ma queue en elle, cela calmerait peut-être ses brûlures... je trempe mon biscuit aussi sec et elle gueule de plus belle... maintenant elle donnerait n'importe quoi pour que je me retire illico presto, mais je m'incruste et enfonce le clou... Je la tringle avec l'énergie du désespoir, et plus elle braille plus j'aime ça...
Jouir dans une salope qui fait un ramdam du tonnerre de dieu n'est pas un exercice de tout repos... j'ai l'impression de faire de la bicyclette sur le pont d'un petit bateau pris dans un ouragan... Quand j'ai fini de balancer ma purée, Alexandra essaie toujours de faire sauter les ressorts du matelas, mais ma queue n'a pas bougé d'un pouce. Brusquement, sans lui laisser le temps de comprendre ce qui se passe, je me mets à pisser en elle.
Alexandra se débat de plus belle... c'est une vraie inondation, sa matrice va éclater, ses organes internes implorent pitié... mais elle adore ça, la salope, elle cesse brusquement de gueuler, jette ses bras autour de mon cou et me supplie de continuer. Elle va jouir... elle veut que je gicle plus fort... J'entends des grenouilles coasser dans son ventre...
Elles sont toutes cinglées... toutes sans exception... Peu importe ce qu'on leur fait, elles adorent, c'est merveilleux... Voulez-vous qu'elles vous amènent leur sœur, leur fille ou leur grand-mère ? Pas de problème ! Voulez-vous les dérouiller ? Qu'à cela ne tienne, elles foncent vous acheter un fouet ! Elles vous sont reconnaissantes de tout, et tout ce que vous leur faites est formidable. Il n'y a pas à tortiller... Toutes ces connasses sont givrées...
Ernest est au lit avec une bouteille, et une couronne de roses fanées autour de la tête. Dès que j'entre dans sa chambre à coucher, il appelle ses danseuses, mais personne n'arrive.
« Hmmmmm... pas de danseuses, maugrée Ernest. Va falloir que je m'y fasse. » Et il s'offre un coup de clairon.
Ernest ne se rappelle pas exactement depuis combien de temps il est soûl. De toute façon, il l'apprendra le jour où il retournera à son boulot. Au bureau, ils sont très forts pour cocher les dates sur le calendrier. En revanche il se souvient parfaitement pourquoi il est ivre... décidément, Ernest est en progrès. Il s'est soûlé par sympathie pour un ami, après quoi l'ami en question s'est rabiboché avec sa femme et l'a planté aussi sec.
« Figure-toi qu'il me ramène chez lui pour dîner, me raconte Ernest, et devine le spectacle qui s'offre à nos yeux horrifiés ? Sa régulière en train de se faire sauter, et non seulement ça, mais au beau milieu de la table où nous étions censés dîner ! As-tu jamais entendu un truc pareil ? Là, sous nos yeux, avec un type qui lui rentre dans le lard... » L'évocation de ce type rentrant dans le lard de la fille émeut tant Ernest qu'il s'offre un nouveau coup de clairon. Cette fois, il pense à me tendre la bouteille, et dans la foulée me propose de me tresser une couronne si je le désire.
« Argumentons, dit Ernest. Tu soutiendras cette thèse que le mariage est une noble et sainte institution, tandis que je défendrai l'opinion contraire. » Il se redresse sur un coude et tire les draps sur lui comme une toge, mais avant que notre joute oratoire n'ait débuté, Ernest l'a déjà oubliée. « Que penses-tu d'une connasse pareille ? me demande-t-il. Tu ne trouves pas qu'elle aurait au moins dû avoir la décence de faire ça discrètement, pour ne pas gêner son mari s'il ramenait quelqu'un à la maison ? Mais non... elle était là, tortillant du cul et gueulant comme une truie pendant que ce franchouillard l'embrochait jusqu'aux oreilles. Et moi — tu me connais, Alf —, comme d'habitude j'entre le premier dans l'appart. Comment réagir ? Comment savoir que ce n'était pas dans les habitudes de la maison ? Il fallait peut-être faire la queue derrière ce type et attendre son tour ? Qu'en penses-tu, Alf ? Eh bien figure-toi que j'ai attendu de voir la suite ; si son mari baissait culotte comme l'autre type, j'étais dans le coup, et on aurait pu dîner ensuite, après l'avoir baisée. Écoute ! T'as sûrement rencontré le genre de gus qui te montre sa nouvelle radio ou sa voiture flambant neuve, et pile au milieu de son baratin, l'engin refuse de fonctionner ? Que dit-il à ce moment-là ? Il dit toujours : "Bizarre, c'est bien la première fois qu'elle me joue un tour pareil." Eh bien c'est ce que ce type n'a pas cessé de répéter pendant que nous picolions du whisky au lieu de dîner... »
Ernest est enfin contraint de s'interrompre pour reprendre son souffle ; puis il repart da capo et recommence son histoire depuis le début.
« Ensuite on s'est soûlé la gueule, nous avons dragué une nénette, réglé toutes les formalités pour la sauter... et devine ce qui se passe à ce moment-là ? Mon type décide brusquement qu'il peut baiser sa femme sacrément mieux que ce connard de franchouillard, et me dit de but en blanc qu'il rentre chez lui pour lui montrer de quel bois il se chauffe. Alf, il ne m'invite même pas à l'accompagner ! Bon dieu, tu te rends compte, il voulait me payer à dîner et tout, et puis bernique ! Il avale en vitesse deux pilules reconstituantes qu'il achète au barman, et file chez lui ventre à terre... Juste pour te montrer comment une connasse de mes deux peut bousiller la vie d'un brave type... »
Tout en pérorant, Ernest a ramassé un paquet de photos pornos. Elles traînent maintenant sur son bureau, et tout en écoutant son histoire pour la troisième fois, j'y jette un coup d'œil. C'est de la qualité supérieure, les filles sont superbes, rien à voir avec des vieilles peaux minaudant devant l'objectif... et devinez sur qui je tombe presque immédiatement... Anna. Quand je pousse un hurlement, Ernest veut absolument savoir ce que j'ai trouvé... il ignorait même qu'il possédait ces clichés.
Seigneur, comme le monde est petit, s'écrie Ernest en les examinant et trouvant deux autres photos d'Anna... en fait, il les a certainement achetées à cause d'elle. Encore une belle salope celle-là, me confie-t-il. Suis-je cinglé au point de penser qu'Anna va me rendre heureux, moi ou un autre ? Anna ne rendra jamais personne heureux, Anna moins que les autres.
Quand je pars, j'ai les photos d'Anna dans ma poche, et un bon quart de la bouteille de whisky d'Ernest dans l'estomac. Ernest a sorti une autre bouteille du tiroir de sa table, je suis certain qu'il pérore toujours et rameute ses danseuses à cor et à cri. Je marche jusqu'au bureau, et comme je n'ai jamais rien à y faire, je rédige deux ou trois lettres pour leur montrer que je bosse. Une demi-heure plus tard je mets les voiles et pars à la recherche d'un coup.
À peine suis-je dans la rue que je tombe sur Arthur. Il me cherchait justement, me dit-il ; il est tellement excité qu'il ne parvient pas à aligner deux phrases. Avant de m'expliquer toute l'affaire, il faut absolument qu'il boive un verre, et il m'entraîne à fond de train dans une gargote où j'ai une ardoise... nous allons dans le bar à côté du bureau, où mon ardoise est pleine depuis presque un mois.
J'apprends alors que notre petite amie Charlotte a fait signe à Arthur. Il n'était pas chez lui, mais elle a laissé un billet... elle nous propose à tous deux de passer la voir. Arthur chie dans son froc et insiste pour lire le billet à haute voix afin que je sois parfaitement au courant de la situation.
« Tu imagines ce petit bout de femme frappant à ma porte, bafouille-t-il. Bon dieu, je préfère ne pas penser à leurs réactions quand elle a sonné et qu'ils l'ont vue à ma porte... Ils vont me prendre pour un cinglé, dans l'immeuble. Regarde, relis ce paragraphe... je veux bien être pendu si ce n'est pas une proposition malhonnête pour qu'on la saute. Je t'avais bien dit que c'était une baiseuse, hein, Alf ? Tu te souviens ? » Il descend son Pernod cul sec et en commande un autre. « À propos, Alf, comment te sens-tu aujourd'hui ? En forme ? Bonne mère, j'ai pas le courage d'y aller tout seul... par contre, si tu m'accompagnais, je crois que ça irait... » Il me jette un coup d'œil inquiet pour voir comment je réagis. « Écoute, Alf, je vais te dire quelque chose... je te laisserai la sauter d'abord. Nous irons tous les deux chez elle, tu la baiseras et ensuite je prendrai le relais... Bordel, je suis pas obligé de te mettre au parfum, tu comprends... Je pourrais y aller seul et la sauter en douce. Mais ce n'est pas mon genre, Alf... Quand même, as-tu jamais entendu parler d'une chose pareille ? Une naine doublée d'une salope ? Bon sang, dire que j'ai jamais réfléchi à la vie sexuelle des nains... »
J'ai la vague impression qu'Arthur se monte la tête pour rien. Entre les lignes du billet, il lit des choses qui n'y sont pas ; Charlotte se borne à nous inviter à boire un verre. Pourtant, j'ai foi en les prémonitions arthuriennes à défaut d'être convaincu par sa logique, et toute cette histoire de naine est tellement branque qu'elle en devient fascinante. Bref, nous y allons...
Charlotte ressemble à une poupée quand elle nous fait entrer chez elle... mais la plupart des poupées d'enfant n'ont pas tous les accessoires dont dispose Charlotte... Si elle est étonnée de nous voir tous les deux, elle n'en montre rien. Elle est tellement heureuse de nous voir, nous dit-elle. À peine sommes-nous installés dans deux fauteuils qu'entre un énorme chien policier qui se jette sur Arthur et moi comme pour nous dévorer.
Si nous n'étions pas en danger, je trouverais distrayant de voir Charlotte se battre avec le molosse. Elle le saisit par le collier, mais d'un coup de tête désinvolte la bête la soulève de terre et la balade dans la pièce. Charlotte lui donne alors une tape sur le museau, lui dit qu'il a des manières déplorables, et le molosse se calme presque aussitôt. Le moindre coup de patte renverserait la naine, mais il sort honteusement du salon, la queue entre les pattes.
Charlotte dit qu'elle préfère l'enfermer et se dirige vers la porte en trémoussant son cul miniature aussi efficacement que n'importe quelle femme normale. Arthur murmure quelques mots à mon oreille... on voit tout de suite pourquoi elle a un animal aussi imposant, pas vrai ? Elle aurait un bouledogue ou un de ces petits roquets mexicains, ce serait un banal animal d'intérieur... mais, bon dieu, ai-je remarqué le membre gigantesque de ce monstre ?
Aux alentours du deuxième verre, nous sommes fixés... Charlotte n'a envie que de ça. Il n'y a pas une différence mirobolante entre ses simagrées et celles de n'importe quelle autre femme. Tout ce qu'Arthur et moi disons est très amusant, et parfois nous sommes même très amusants sans le vouloir.
Quelle petite garce ! Elle est fascinante, perchée sur un fauteuil mille fois trop haut pour elle. Elle croise ses jambes minuscules et remonte sa jupe pour nous donner un aperçu de ce qu'il y a en dessous... Comme je ne me suis jamais posé le problème d'emballer une naine pour la fourrer dans mon lit, je ne sais foutrement pas comment m'y prendre. Je regarde Arthur ; Arthur me sourit jusqu'aux oreilles. Nous continuons à descendre l'excellent scotch de Charlotte... elle boit son whisky avec de l'eau, et ne devrait pas être loin d'en ressentir l'effet...
L'alcool la frappe brusquement... elle semblait tout à fait claire, et soudain elle est complètement jetée... Je comprends seulement ce qui lui arrive quand je me lève pour remplir son verre... Penché sur son fauteuil, je tourne le dos à Arthur quand elle s'empare de ma queue en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Impression troublante... ces doigts minuscules fourrageant dans ma braguette... je reste immobile et la laisse jouer avec mon truc. Elle le tâte et le palpe comme certaines femmes caressent un morceau de fourrure, tenant son verre dans l'autre main et souriant comme si nous partagions un secret. Mais nous ne le partageons pas longtemps... Dès qu'Ernest s'aperçoit de ce qui se passe, il pousse un hurlement de Sioux.
« Et moi alors ? » se plaint-il... Tout le monde comprend qu'il ne réclame pas qu'on remplisse son verre.
La petite salope ne cesse même pas d'astiquer ma queue. Ses mains sont tellement menues qu'elle peut les glisser dans ma braguette sans prendre la peine de la déboutonner, le tout en adressant un sourire de poupée à Arthur...
« Vous ne vous êtes pas approché de moi », dit-elle.
Il semble qu'Arthur a complètement oublié notre accord. Il bondit du canapé pour s'asseoir sur l'autre accoudoir du fauteuil de Charlotte, faisant preuve d'une rapidité stupéfiante.
« Laisse tomber ce type, lui dit-il. Tiens, tâte un peu ça... C'est du premier choix, hein ? » Il enlève le verre de Charlotte et pose sa main sur sa braguette. « J'espère que tu ne vas pas perdre ton temps avec ce type... On ne sait jamais à quoi s'en tenir avec ce genre d'olibrius... Où a-t-il passé la semaine dernière ? Tu en as une idée ? Personne ne saurait le dire. Bon dieu, il ne le sait peut-être pas lui-même... Là... serre un peu ça, tu vas voir que ça grossit vite. »
Charlotte glousse et jauge nos deux outils. Quel petit fripon, dit-elle... de toute façon, ils sont tous les deux trop gros... Elle n'est elle-même qu'une toute petite fille aux ambitions fort modestes... Arthur veut immédiatement voir ses ambitions... C'est la première fois qu'il entend appeler ça par ce nom, dit-il. Arthur doit être soûl... il se croit très drôle.
Mais Charlotte refuse de nous montrer ses ambitions... en revanche, elle accepte de nous montrer le reste, histoire de nous donner une idée de sa taille... Elle remonte sa robe et nous dévoile des cuisses grassouillettes... Arthur déclare que cela ne suffit pas ; pour une fois nous tombons d'accord. Charlotte serre alors les jambes et nous laisse reluquer sa culotte. On ne peut oublier cette petite culotte une fois qu'on l'a vue... on la dirait tissée en ailes de fée... elle semble plus légère que les bas de soie les plus fins... je crains de la toucher... qu'elle ne s'effrite sous mes doigts. Mais ses cuisses paraissent plus substantielles... Il faut absolument que je les palpe et Charlotte n'y voit aucun inconvénient...
Elle cesse de jouer avec nos queues et presse ses deux index contre ses cuisses, en haut de sa fourche. Regardez ! Je ne suis pas plus large que ça. Comment pourrions-nous arriver à nos fins dans ces conditions ? Quant à l'autre ouverture... c'est totalement exclu. Elle lève une main et montre son pouce pour la mesurer... pas plus grande que ça...
« Écoute... laisse-nous au moins aller y voir par nous-mêmes, propose Arthur. Je tiens à me rendre compte de visu... Là... tu peux peloter encore un peu ma queue... Je te caresse et tu me caresses, d'accord ? » Il parle à Charlotte comme à une fillette incapable de comprendre ses paroles. « Peut-être est-il trop petit, comme tu dis. Mais je tiens à en avoir le cœur net... »
Elle refuse de le laisser fourrer la main dans sa culotte... Arthur se ronge les ongles et prend un air si abattu que Charlotte finit par avoir pitié de lui. Elle veut bien retirer sa culotte, mais accepterions-nous de... Elle préférerait que nous regardions ailleurs... Parfait... Elle enfonce ses minuscules chaussures à hauts talons dans le coussin du fauteuil et soulève son cul... Je tiens sa robe relevée pour dénuder son ventre pendant qu'elle se tortille et se débarrasse de sa culotte impalpable...
Arthur et moi échangeons un regard incrédule... elle a des poils. Et quels poils ! Une magnifique toison luisante, sur laquelle je fais aussitôt main basse... une fois encore, Arthur arrive trop tard. Charlotte le console en caressant de nouveau sa queue pendant que je cherche ce que dissimule cette touffe bouclée...
C'est un petit con parfait... et tout compte fait, pas si miniature que ça. Il est foutrement loin d'avoir les dimensions du modèle standard, mais ne me parait pas moins appétissant pour autant. Il est indiscutablement plus petit que celui de Tania, mais il est plus doux et les poils qui l'entourent sont plus drus et plus longs... C'est un con de femme, demi-pointure... Mon doigt descend le long de la fente et se glisse entre les lèvres... Quand je lève les yeux vers Charlotte pour voir ses réactions, cette petite salope m'adresse un clin d'œil...
Est-elle à mon goût ? Un jour, je trouverai une pouffiasse qui ne me posera pas cette question pendant que je la tâte, et il y a quatre-vingt-dix-neuf chances sur cent pour que je découvre ensuite qu'elle a avalé son dentier et qu'elle en est morte... C'est comme si on vous demandait si vous avez plaisir à respirer... un con est un con, et tous sont à mon goût... Pourtant, Charlotte est vraiment une salope exceptionnelle... Je ne me gène pas pour lui dire qu'elle a un organe absolument ravissant. Impossible de ne pas l'admirer, exactement comme on admire une montre miniature, mais parfaite...
Arthur n'en peut plus d'attendre de fourrer ses grosses pattes sur la bonne-bouche de Charlotte. Elle a maintenant ouvert sa braguette et serre sa queue entre ses mains, mais cela intéresse mille fois moins Arthur que ce qui se passe un peu plus bas. Je pelote le cul de Charlotte... Il est doux comme un oreiller en duvet d'oie... J'espère qu'il ne rougit pas trop facilement, car je ne peux m'empêcher de le pincer.
Dès qu'il met la main à la pâte, Arthur prend un air stupéfait. La première chose qui lui vient à l'esprit est de demander à Charlotte si par hasard elle n'en aurait pas une photo... Elle pourrait gagner un pont d'or, ajoute-t-il, simplement en vendant des photos de son cul, peut-être avec un mètre de couturier dans le cadre pour prouver sa taille réelle en millimètres... Entre-temps, Charlotte ouvre ma braguette et sort Jean Jeudi de sa niche pour lui faire prendre l'air de l'après-midi. Elle pousse un soupir... le trouve merveilleux... Charlotte a beau être une naine, elle se paie une démangeaison tout ce qu'il y a de plus adulte.
Arthur veut porter Charlotte sur le canapé pour la déshabiller...
« Ça va aller, la rassure-t-il. Bon dieu, voilà une chatte de taille respectable... Je te fiche mon billet que j'en ai tringlé des plus petites plus d'une fois. Regarde, tu vois bien que je n'ai pas une si grosse queue... en fait, quand on la mesure sérieusement, on s'aperçoit qu'elle n'est vraiment pas grosse du tout ; il faut pas se fier à la première impression. Demande donc à Alf, il te dira la même chose. »
Tout en pérorant, il encourage Charlotte à astiquer son machin qui ressemble à une lance d'incendie rouge pompier... Cependant, tout son baratin paraît parfaitement logique à notre petite amie. Son regard va de l'un à l'autre ; elle ne réussit même pas à joindre ses doigts autour de ma queue, mais hoche vigoureusement la tête... Eh bien, peut-être... Là-dessus, Arthur ajoute que si nous ne pouvons pas baiser pour de bon, rien ne nous empêche de nous allonger pour nous peloter...
Charlotte s'allonge sur le canapé. Elle est si petite que ses pieds n'atteignent même pas l'accoudoir une fois que nous lui avons retiré ses chaussures... Arthur réussit à faire disparaître une de ses chaussures simplement en fermant la main autour. Seigneur, le sexe qui est enveloppé dans ce menu paquet ! Son con ferait la joie de n'importe quelle femme normalement constituée, enchâssé qu'il est dans ce minuscule corps brûlant... Il suffit de toucher Charlotte pour sentir les vibrations de sa chatte...
La plupart des naines que j'ai vues ressemblent à des poneys du Shetland... rondes, potelées, quasiment informes. Mais tout comme on tombe parfois sur un de ces quadrupèdes aussi bien proportionné qu'un cheval, doté d'une tête qui s'harmonise avec le reste du corps, eh bien cette petite salope est une authentique femme miniature. Elle en a le châssis... et quel châssis... elle bouge même son corps comme une femme deux fois plus grande. Alors que nous ne sommes encore arrivés à rien de concret, je commence à me sentir maladroit et vraiment trop grand.
Elle a des tétons de toute beauté... si menus qu'une seule de mes mains suffit à en cacher un, mais toutes proportions gardées, ce sont des chefs-d'œuvre du genre. Il n'y a pas une chance sur un million de pouvoir se branler entre eux... La queue d'Arthur ressemble à une batte de base-ball quand il essaie un peu plus tard... Mais c'est une sensation entièrement nouvelle que de sucer les loches d'une connasse en prenant le sein tout entier dans la bouche...
Arthur a trouvé un nouveau prétexte pour faire le malin... Il regrette d'avoir oublié son Kodak. Mais que Charlotte se rassure, il n'a pas l'intention de prendre des photos cochonnes... non, il aimerait simplement avoir un cliché d'elle assise à côté de lui sur le canapé, pour qu'on puisse admirer la queue qu'il a et la comparer avec la chatte qui va avec... Charlotte est soufflée... Pour quel genre de fille la prend-il ? Ce qui ne l'empêche pas de s'emparer de sa queue dès qu'il a retiré ses frusques... Arthur et moi nous allongeons côte à côte, et Charlotte s'assoit entre nous pour nous branler confortablement...
Il n'est pas difficile d'introduire un doigt dans sa fente. Charlotte est aussi juteuse que n'importe quelle femelle, il suffit de suivre le mode d'emploi classique pour obtenir l'effet escompté... Et puis elle adore se tortiller autour de ce doigt... Elle se laisse aller en arrière, ouvre les jambes et nous dit de mettre la gomme.
Arthur s'assoit pour renifler son doigt... Deux ou trois fois, il fait mine de dire quelque chose, se tait et regarde la figure de Charlotte, puis moi. Ses pensées sont claires comme de l'eau de roche, et Arthur me fatigue... Il finit par prendre son courage à deux mains... se penche au-dessus du con de Charlotte et renifle un bon coup. Elle referme aussitôt ses cuisses autour de son cou et frotte sa figure miniature contre son visage. Arthur lève les yeux pour me dire que je peux bien aller me faire foutre si je ne suis pas content... Sa langue se faufile dans son conillon et commence à le sucer... Allongé contre Charlotte, je m'occupe de ses loches.
Voilà une poupée avec laquelle je pourrais jouer toute la journée. Mais Jean Jeudi est malheureusement incapable d'apprécier semblables abstractions... sa coupole chauve n'abrite qu'une seule idée, impossible de lui faire sortir ça de la tête. Jeannot veut baiser et il est inutile de discuter. Mais je dois attendre qu'Arthur ait retiré son nez de la chatte de Charlotte... elle a toujours les jambes vissées à son cou, et tous les deux prennent leur pied. Ça a aussi bon goût qu'un melon banane du Texas, dit Arthur... c'est une expression empruntée à Ernest ; tous les Américains se mettent à parler ainsi au bout de quelques mois passés à Paris. Ici, tout le monde prétend connaître les États-Unis comme sa poche...
Charlotte veut savoir si nous avions prévu ce qui se passe en ce moment. Je fais signe à Arthur de la boucler, mais ce couillon ne trouve rien de mieux que de vendre la mèche... bien sûr, nous avions tout prévu, jusqu'au moindre détail, d'ailleurs je devais la baiser en premier. Double bourde pour Arthur ; Charlotte nous en veut à tous les deux, surtout à Arthur. Elle l'oblige à arrêter de sucer son con, alors que j'ai le droit de continuer à la peloter... Mais une autre tournée de whisky la remet de bonne humeur.
Arthur est incapable de s'arrêter de bavasser... on ne peut pas lui reprocher sa curiosité, même si le tact n'est pas son fort. Charlotte finit par lui demander de vider son sac... elle va répondre à toutes ses questions, après quoi, soit il cesse de la traiter comme une bête curieuse, soit il débarrasse le plancher. Je tombe d'accord avec elle à six cent soixante-quinze pour cent. À sa place, je nous aurais flanqués à la porte depuis belle lurette...
La première question d'Arthur touche au sexe, comme il se doit. Il désire savoir si toutes les petites personnes... ont des chattes comme celle de Charlotte. Il semblerait que non. Certaines ont des cons aussi vastes que votre chapeau, et d'autres des fentes minuscules dépourvues du moindre poil. Les hommes aussi présentent une grande diversité anatomique, ajoute Charlotte, et le problème numéro un consiste à trouver chaussure à son pied...
Ensuite Arthur veut savoir si Charlotte s'est déjà fait baiser par un homme de taille normale. Elle refuse de répondre à cette question, et l'expression d'Arthur me dit qu'il va maintenant interroger notre amie à propos du chien policier... Naturellement, avant que je n'aie pu l'arrêter, il lui demande si elle s'est déjà fait troncher par le molosse. J'immobilise Charlotte pour qu'elle ne défigure pas mon copain, puis dit à Arthur d'aller faire un tour à côté et de demander au chien... Merde alors, il est foutu de demander ensuite à Charlotte si elle a déjà sucé le pékin d'en face...
Arthur parait inquiet. Il descend son verre d'une traite puis sort de la pièce, et j'apprendrai deux jours plus tard qu'il est allé faire un tour aux gogues pour voir si la lunette des chiottes appartenait au mobilier modèle réduit ou non...
Charlotte semble apprécier l'odeur de ma queue... elle est allongée, le nez collé à mon buisson qu'elle renifle sans arrêt en me chatouillant les couilles. Finalement elle sort sa langue et goûte le bout de mon gland... elle ouvre la bouche le plus grand possible pour que j'y introduise mon outil... après quelques efforts nous parvenons à nos fins... c'est une meilleure suceuse que toutes les femmes que j'ai connues... aucune connasse normale ne peut trouver une queue qui remplit à ce point sa bouche. Pourtant, je ne peux pas attendre de Charlotte qu'elle me suce la queue en finesse, car elle étouffe presque.
Quand elle se glisse sous moi et écarte les jambes pour que je la baise, j'en suis d'abord incapable. Amorphe, je la regarde jusqu'à ce qu'elle s'agite et se mette à geindre. Ensuite je me retrouve entre ses cuisses minuscules pendant que J.J. pointe son museau à l'orée de son conillon. J'ai l'impression d'essayer de tringler une fillette... merde, c'est pire que de tringler une fillette, car Charlotte en meurt d'envie, et si je ne fais pas des prouesses elle risque de perdre la boule...
Je redoute de la fendre en deux comme une pêche trop mûre... mais ma queue entre sans le moindre cri de douleur de la part de la naine. Je louche pour le regarder... Il gonfle son ventre comme un ballon dès qu'il est bien emmanché... il doit repousser tous ses organes vers le haut...
Elle mord mes mamelons, me dit de la baiser... maintenant elle est si excité qu'elle me dirait ça même si j'avais une queue deux fois plus grosse...
Dès qu'elle est ouverte, plus rien ne l'arrête. Pourtant, elle ne sera peut-être plus jamais pareille ; son conillon ne sera peut-être plus jamais aussi mignon et parfait qu'avant notre irruption dans sa vie privée, mais apparemment l'essentiel est de l'utiliser... il n'y a pas de quoi se vanter d'une ravissante petite chatte si l'on ne baise pas avec... je lui enfonce mon outil jusqu'aux oreilles, et cette salope en redemande. Moi qui croyais qu'elle aurait la trouille, cette lilliputienne... pensez donc ! Cette pouffiasse miniature ne craint qu'une seule chose : ne pas se payer la baisade de ses rêves.
Où diable fourre-t-elle ma queue quand elle s'enfonce dans sa figue, je l'ignore. Si maintenant mon gland ne lui perfore pas l'estomac, il ne le fera jamais... j'attrape son cul potelé, je la tourne sur le côté et lui applique le traitement de choc que je réserve à toutes ces dames. Il n'y a plus de place en elle pour un seul cheveu... Son con est tellement distendu qu'on ne pourrait poser une épingle entre le bord de sa chatte et son rectum. De toute façon, je ne vois pas qui aurait l'idée saugrenue d'aller poser des épingles dans ce secteur ! Je la tiens... Pour rien au monde je ne la lâcherais et je ne crois pas que ses géniteurs aient jamais pensé qu'elle se ferait baiser aussi voluptueusement... Soudain elle se met à piauler... elle me donne des coups de pied dans les flancs... Elle jouit, et me prouve qu'elle a aussi un fameux coup de rein...
Charlotte fait partie de ces connasses qui paraissent capables de jouir indéfiniment une fois qu'elles ont commencé et tant qu'on les remonte. Pendant ce temps-là, le canapé perd sa bourre... car une petite fille comme Charlotte peut faire un barouf de tous les diables. Elle hausse sa voix d'un ton en même temps que son cul, et donne carte blanche aux deux pour s'exprimer librement. Heureusement que le concierge est sourd comme un pot... s'il entendait les hurlements de notre petite camarade, il préviendrait aussitôt la police qu'on est en train de l'assassiner. Elle malaxe ses seins, puis me les tend pour que je m'occupe d'eux... le chien se met à aboyer, il gueule bientôt tant qu'il peut dans la pièce où elle l'a enfermé... Les cuisses de Charlotte sont couvertes de jus, le cul de Charlotte est couvert de jus, jusqu'à son ventre... J'ai dû ouvrir une nouvelle source dans son con...
Jean Jeudi hoquette deux ou trois fois. Il n'est pas habitué à un nid aussi exigu, et il semble incapable de se décider. Mais brusquement il part au grand galop... et je baise Charlotte si violemment qu'elle en oublie de brailler. Elle ouvre la bouche, mais aucun son n'en sort. Je m'aperçois soudain que j'ai pas mal d'alcool dans le sang... les meubles dansent une lente gavotte dans la pièce.
Arthur revient en tenant son outil devant lui comme un bâton. Assis au centre du canapé, j'empoigne le meuble à pleines mains pour qu'il cesse de tanguer, pendant que Charlotte, allongée sur le dos, palpe sa touffe. Dès qu'elle avise cette queue fièrement dressée, Charlotte bondit sur ses pieds et se rue vers Arthur. Quelle sale petite pouffiasse ! Ses deux bras étreignent le cul d'Arthur autant que faire se peut, et elle dresse la tête vers son entrejambe. Elle est juste assez grande pour que ses lèvres touchent le bout de la queue de mon pote... Elle embrasse le ventre d'Arthur ainsi que les poils qui le couvrent à moitié, puis elle se campe devant lui et ouvre la bouche. Aussitôt il lui enfile son outil au fond de la gorge.
Arthur s'est certainement branlé dans la pièce voisine. Ou alors il ne sait plus se contrôler, car Charlotte suce sa queue depuis à peine une minute qu'il jouit déjà. Leur plaisir devient extase, après quoi Charlotte essaie d'avaler d'un trait le bon litre de foutre. J'ai l'impression de regarder un film plusieurs fois accéléré...
Charlotte revient vers moi ventre à terre... Aimerais-je me faire sucer la bite, me demande-t-elle... avant que je n'aie le temps de répondre, elle grimpe sur moi et la prend dans sa bouche. Elle voudrait que je suce son conillon en même temps... elle me jette son cul au visage, et je reste allongé, regardant entre ses jambes... un con rempli de foutre ne m'a jamais attiré... Je préfère mordiller ses cuisses, ce qui lui procure presque autant de plaisir. Elle bave et roucoule sur ma queue qui est bientôt trop grosse pour que Charlotte continue de roucouler...
Une de mes couilles est tout ce que sa main minuscule peut serrer. Pour une raison inconnue, elle adore les tordre... peut-être y voit-elle un excellent moyen d'en extraire davantage de sperme ? Ainsi l'une de ses mains tord mes couilles pendant que l'autre essaie d'étouffer Jean Jeudi et de l'obliger à plus de délicatesse envers elle. Je profite de cet intermède pour m'intéresser à son cul. Elle a un petit rectum moitié moins gros qu'une pièce de dix cents, et je découvre qu'elle adore qu'on le chatouille. Arthur aussi s'intéresse à la chose... il l'examine sous toutes les coutures et conclut que Charlotte mérite d'être baisée par là, mais nous n'avons pas la moindre chance de réussir...
Ses doigts de fée me rendent cinglé... Et cette étroite bouche de poupée... Jean Jeudi meurt d'envie de balancer sa purée, et je lui lâche la bride. C'est sacrément bizarre de jouir entre les petites lèvres de cette salope et de la regarder avaler mon foutre...
Je viens juste de finir et Arthur s'apprête à prendre le relais quand éclate soudain le vacarme le plus assourdissant que j'aie jamais entendu. Ce foutu chien policier arrive ventre à terre de l'autre pièce, traînant sa laisse derrière lui et apparemment bien décidé à terminer un boulot qu'il aurait dû entamer auparavant. Il est gros comme une maison et file droit vers le canapé. Arthur et moi nous carapatons sans demander notre reste, mais ce n'est pas après nous qu'il en a. Il se vautre carrément sur Charlotte qui est réduite à l'impuissance.
Arthur s'empare du premier objet qui lui tombe sous la main... la bouteille de scotch... mais tout compte fait, le chien n'a pas l'intention de dévorer Charlotte... il se contente de la violer. Elle ne peut rien faire... Il sait comment s'y prendre avec elle, fait preuve de toute la douceur dont il est capable. Et cette brave Charlotte n'a pas peur de lui... simplement, elle est horriblement gênée.
« Va retirer le clebs du canapé, je suggère à Arthur. Il ne va pas te manger. »
Arthur me rétorque poliment d'aller me faire foutre... pour rien au monde il ne s'approcherait de ce fils de pute. Pendant ce temps-là, le chien a réussi à introduire l'extrémité rubiconde et luisante de sa queue entre les jambes de Charlotte.
« On dirait qu'il va y arriver, dit Arthur. Hé, Alf, tu crois qu'on devrait lui proposer de boire un verre avec nous quand il aura terminé ? Je parie que ce salopard a plein d'histoires croustillantes à nous raconter.
— S'il vous plaît... allez... vous-en... halète Charlotte. Jacques, oh ! Jacques, ne fais pas ça ! Va-t'en, méchant, méchant chien !
— Ainsi, tu comptes rester sur ton cul et laisser cet animal t'enlever ton bout de viande ? je demande à Arthur. Tu ne lèveras donc pas le petit doigt ?
— Je compte rester posé sur mon cul et assister au spectacle, me répond Arthur. Tu as déjà vu un truc pareil ? Enfin... peut-être dans un bordel. Mais je suis certain que tu n'as jamais vu un chien violer quelqu'un pour de vrai... Merde, si tu te figures que je vais m'interposer entre la naine et ce monstre, tu es complètement marteau... il est plus gros que moi. »
Chaque fois que le chien lui en laisse le temps, Charlotte nous demande de mettre les bouts. Le chien a gagné du terrain, sa queue est au chaud et il baise la naine à cent à l'heure... Elle peut seulement écarter les jambes et laisser l'animal la monter...
« Écoute, crétin, dis-je à Arthur quand nous nous sommes rincé l'œil quelques minutes, ce monstre va bientôt avoir terminé, et que va-t-il se passer ensuite ? Suffit de voir qu'il a pas l'air commode... Quand il aura fini de baiser notre petite copine, il va avoir une faim de loup. Je me contrefous de ce que tu as l'intention de faire, mais moi je me barre illico... »
J'enjambe le canapé pour ramasser mes vêtements. Arthur réfléchit quelques secondes avant de s'habiller aussi. Nous prenons le temps de descendre une dernière lampée de scotch, puis nous essayons de dire au revoir à Charlotte... Mais elle ne nous entend pas... Elle serre son chien-chien contre elle et se démène comme une perdue pour le satisfaire. Vraiment, on dira ce qu'on voudra, mais les femmes gagnent à être connues...
Quand nous nous retrouvons dans la rue, Arthur et moi n'avons pas grand-chose à dire de notre visite. Nous marchons depuis une minute à peine quand Arthur saisit brusquement mon bras.
« Bon dieu, Alf, vise un peu la taille de cette gonzesse ! T'aimerais pas essayer de te la faire ? Y a de quoi se perdre sous toute cette viande... exactement le genre de connasse que je recherche pour mes vieux jours en prévision des froides nuits d'hiver... »
La fille parait gigantesque. Mais quand je la regarde de nouveau en fermant un œil, je lui donne un mètre soixante grand maximum...
Anna est déprimée. Le vieux chnoque qui l'entretient commence à lui casser les pieds, me dit-elle, ajoutant qu'elle ne sait vraiment pas comment réagir. D'accord, il lui file plein de fric, mais ça n'empêche qu'il lui casse les pieds. Nous déjeunons dans un restaurant, où elle me fait part de ses doléances.
D'abord, il tient à connaître toutes ses amies. Il se croit encore très pimpant, et dès qu'Anna lui présente une de ses copines, il saute dessus et essaie de la troncher. Jusque-là rien à redire, sauf que toutes les copines d'Anna en ont après le fric du vieux, ce qui a le don de l'énerver prodigieusement. Il croit qu'Anna prévient ses copines qu'elles peuvent lui soutirer du blé sans coup férir... et il enrage quand il découvre que toutes les connasses veulent se faire payer pour lever la jambe...
Il y a aussi deux ou trois autres bricoles... Il aimerait pouvoir s'offrir une version moderne des Mille et Une Nuits avec son fric. Anna doit lui raconter par le menu les épisodes de sa vie sexuelle, et elle doit faire appel à toute son imagination pour en inventer de nouveaux. L'autre soir, par exemple, quand mes potes l'ont larguée devant la porte du vieux... Il était aux anges... Anna me dit qu'il a quasiment sauté de sa chemise de nuit quand il l'a aperçue, car il n'était pas difficile d'imaginer ce qui lui était arrivé. Il l'a baisée, évidemment... pour se convaincre que c'est sa dernière estocade qui l'a mise, elle, dans cet état... Ensuite il lui a fait raconter tout ce que nous avions fait avec elle... Il l'a obligée à rester éveillée pendant des heures, la cuisinant à propos de tel ou tel épisode, alors qu'Anna était tellement bourrée et saturée de baise qu'elle ne pensait qu'à dormir. Chaque fois que ses yeux se fermaient, l'autre poussait un coup de gueule... si elle avait pu rester éveillée pendant qu'on la tronchait par tous les bouts, elle pouvait bien lui consacrer quelques minutes pour qu'ils se marrent un peu ensemble, non ?
Et puis quand il reçoit chez lui une relation d'affaires, Anna est censée jouer un autre rôle. Il adore l'exhiber comme un prix de beauté pour que ses invités admirent son châssis sous toutes les coutures — pas de mal à ça, mais Anna est censée montrer à tout le monde qu'elle a le feu au cul... et qu'elle en pince uniquement pour lui. Elle doit se pavaner, onduler des hanches, jouer la jument au printemps, se frotter contre lui, le laisser peloter son cul, lui tâter les couilles de temps à autre. Ensuite, quand ce petit jeu a assez duré, elle l'appelle d'une autre pièce, il s'excuse et la rejoint pour la peloter pendant une demi-heure... parfois il réussit même à bander et à la sauter mais d'habitude il se contente de lui arracher la moitié de ses vêtements pour la caresser. Ensuite... ils reviennent bras dessus bras dessous, gais comme des pinsons, parfois il finit de boutonner sa braguette en rentrant dans le salon, et Anna doit faire celle qui vient de passer à la lessiveuse... ce qui n'est pas trop difficile...
Maintenant il a un autre projet délirant. Il aimerait qu'Anna ramène chez lui un gigolo bien monté, qui la tringlerait sur place et dans les règles de l'art, pendant que ce vieux vicelard se cacherait dans un placard et n'en perdrait pas une bouchée. Elle refuse catégoriquement. En fait, selon Anna, il se planquerait dans le placard pour se polir le chinois en se rinçant l'œil, et bondirait brusquement dans la chambre en jouant les amants outragés. Comme il serait chez lui, dit Anna, il aurait probablement le courage de gifler le type, voire de lui tirer dessus... et au cas où il le descendrait, n'importe quel tribunal français l'acquitterait en alléguant l'honneur bafoué. Tout cela parait complètement loufoque, mais Anna me dit que je rigolerais moins si je connaissais ce sale con.
Pendant que nous prenons le café, je pose sur la table les photos qu'Ernest a achetées quelque part. Anna pisse quasiment dans sa culotte en les voyant... elle aurait dû se douter que ses amis lui joueraient un tour pendable. Ils voulaient prendre ces photos juste pour rigoler... eh bien, juste pour rigoler, elle va leur trancher les couilles si elle arrive à retrouver ces types... à l'heure qu'il est, la moitié des obsédés de Paris doivent jouer à la veuve poignet en reluquant ces photos... Anna imagine déjà tous les Parisiens se les refilant sous le manteau et la montrant du doigt dans la rue. Pourtant, cela devrait satisfaire momentanément son bailleur de fonds... c'est exactement le genre de truc qu'il aime...
Au moment de partir, nous tombons sur Raoul. Comme il a quelque chose à me dire, nous prenons un pousse-café. Raoul fait des manières pour vider son sac en présence d'Anna, si bien qu'elle va faire un tour aux gogues pour nous laisser en tête à tête...
La belle-sœur de Raoul est de retour à Paris, et il a arrangé quelque chose pour me dédommager des cours d'espagnol que je lui ai donnés. Raoul a baratiné sa belle-sœur à mon sujet, il a tout arrangé et elle est d'accord. J'ignore ce qu'il a bien pu inventer pour la convaincre, mais il a dû se montrer sacrément persuasif... elle ne me connaît ni d'Ève ni d'Adam, mais sur la seule recommandation de Raoul, elle accepte que je la baise gratis. Raoul espère partir un jour en Amérique pour y vendre des aspirateurs...
Je n'ai pas intérêt à la retrouver chez elle, m'avertit Raoul. Trop risqué, et puis elle préfère peut-être que j'ignore son adresse. Ça me va... moi aussi je préfère qu'elle ne sache pas où j'habite... du moins tant que je ne l'ai pas rencontrée et que j'ignore à quoi elle ressemble. Nous fixons donc un lieu de rendez-vous... au coin de la rue Cuvier et du quai Saint-Bernard, demain soir, huit heures.
« Mais si c'est un vieux cageot, dis-je à Raoul, je passe mon chemin et je la plante là. Je ne suis pas obligé de la sauter, nous sommes bien d'accord... Disons simplement qu'elle doit baiser avec moi si elle me plaît...
— C'est pas un cageot... elle est ravissante, Alf. Attends un peu de la voir, tu m'en diras des nouvelles... C'est une superbe baiseuse... Mon frère, il croit toujours que c'est une super-nana, et il est marié avec elle...
— Connaît-elle mon nom ? Elle croit peut-être que je suis riche ou quelque chose... quel baratin lui as-tu servi pour qu'elle soit si désireuse de se faire sauter par un inconnu ?
— Ah ! je lui ai dit que... Alf, c'est un coup en or. Elle ne te prend pas pour un richard ni rien... Je lui ai simplement dit ton prénom. Et elle te trouve déjà merveilleux... Je lui ai dit des trucs super sur toi. Baise-la correctement, c'est tout ce qu'elle désire de toi. Et puis je peux exercer des pressions sur elle, tu vois ce que je veux dire, Alf ? Y a peut-être quelque chose qu'elle ne voudrait pas que mon frère apprenne... Une bricole avec l'épicier, peut-être... peut-être qu'il fait des livraisons sans laisser de facture, tu piges ?
— Je me contrefous de ce qu'elle fait avec son épicier... mais que va-t-elle faire avec moi ? Je ne veux surtout pas d'embrouilles...
— Tu n'auras pas le moindre problème avec elle, Alf. C'est une gentille fille, je suis bien placé pour le savoir... Une fervente catholique...
— Est-ce qu'elle taille les pipes correctement ?
— Mais bien sûr, des pipes superbes. Je te dis que c'est une chic fille, une fervente catholique. »
Quand Anna revient, Raoul se barre, car Anna et moi sommes attendus...
Les deux amies d'Anna sont absentes quand nous arrivons chez elles, mais elles ont laissé un papier sur la porte pour nous dire d'entrer... et qu'elles seront bientôt de retour. Nous nous mettons à l'aise pour attendre ces dames, et Anna veut revoir les photos. Oh ! c'est trop ignoble, dit-elle, penser que ces saloperies circulent dans tout Paris... et peut-être ailleurs... Elle reste là, à hocher de la tête et se lécher les babines en les regardant, et bientôt je n'y tiens plus... elle est tout simplement en train de s'exciter, et je connais des moyens beaucoup plus efficaces de prendre son pied que de regarder des photos pornos où l'on figure...
Anna me répète sans cesse que nous ne devrions pas faire ça ici... mais elle ne lève pas le petit doigt pour nous arrêter, si bien que nous nous retrouvons en moins de deux sur le divan à nous peloter comme des malades... Je descends sa culotte et elle sort ma queue pour peigner mon buisson... là-dessus les deux connasses font leur entrée. Des jeunes... elles ne doivent pas avoir plus de vingt ans.
Tout de suite, l'ambiance est très chaleureuse. Vu notre situation sur le divan, je vois mal comment il pourrait en être autrement. Après quelques cafouillages, Anna réussit à faire rentrer J.J. dans sa niche, mais elle n'a pas le temps de remettre sa culotte. Elle finit par se lever, remonter sa jupe sur ses hanches et cacher ses fesses dans sa culotte... On me présente aux deux connasses qui s'avèrent américaines... l'une s'appelle Jean, l'autre est une lesbienne caractérisée... Billie.
Jean est une petite blondinette qui doit acheter ses vêtements une taille en dessous de ce qu'elle devrait porter... elle parvient tout juste à fourrer dedans ses formes rebondies. Billie aussi est bien foutue, mais elle porte un complet-veston avec une cravate. Anna m'apprend plus tard que Billie est pleine aux as, contrairement à Jean, moyennant quoi Billie paie les factures et Jean écarte les jambes à la demande.
Jean est aussi sensuelle qu'elle le paraît. Comme toutes ces dames sont debout, il faut bien que je me lève aussi, érection ou pas érection, et Jean lorgne ma braguette comme si elle attendait que le diable sorte de cette boîte. Elle aimerait savoir, dit-elle, si la chose qu'elle croit avoir vue existe réellement, ou si elle a eu une hallucination. Anna lui rétorque que la chose est on ne peut plus réelle et lui demande si elle aimerait la revoir. Jean pense qu'elle peut attendre un peu... Elle sourit et m'adresse un clin d'œil...
Je ne comprends plus la raison de notre visite... Anna m'a dit qu'elle voulait me présenter deux de ses amies, mais il semble que nous soyons là pour nous peloter. Billie nous montre un ou deux livres qu'elle a illustrés... je ne sais pourquoi, mais les lesbiennes paraissent très douées pour dessiner des gens en train de baiser. Tout le monde admire les dessins de Billie. Anna examine une illustration... quiconque a jamais sucé une bite voit tout de suite que ce n'est pas le cas de l'artiste, commente-t-elle. Billie réclame une démonstration, mais Anna n'est nullement gênée... elle sort ses cartes postales et montre à Billie comment on s'y prend. Dire qu'il y a une minute, cette salope s'inquiétait de leur diffusion dans tout Paris !
Nous sommes là depuis presque une heure quand Jean a le courage de dire ce qui la préoccupe. Billie meurt d'envie de la déshabiller, et chaque fois qu'elle frôle Jean et lui tâte le cul, Jean m'adresse des œillades incendiaires... Pourquoi, propose Jean, ne pas nous installer plus confortablement ? Nous n'allons tout de même pas passer l'après-midi à tourner autour du pot ?
« Chaque fois qu'elle voit un homme, elle veut se déshabiller, râle Billie. Je n'arrive à rien avec elle...
— Elle est jalouse, explique Jean. Elle pense que je devrais me déshabiller pour elle et seulement pour elle... Mais j'adore retirer mes vêtements, Billie... D'ailleurs en ce moment j'en ai très envie... »
Elle m'envoie un regard lourd de sens. Ma queue bondit comme une montgolfière, et je renonce à essayer de la coincer dans ma jambe de pantalon... J'ignore ce que je suis censé faire... Je ne me suis jamais trouvé dans une situation similaire. Avec n'importe laquelle de ces connasses, je saurais quoi faire, mais les trois réunies sont tout simplement trop pour moi. D'autant que Jean n'est pas la seule à vouloir baiser... Anna ne pense qu'à ça, et je suis sûr que Billie a une idée derrière la tête, bien que j'ignore laquelle
Billie met un terme à mes hésitations en intervenant brusquement. Quelle garce... dire qu'elle ne supportait pas de voir Jean lorgner mon pantalon... Sans prévenir, elle enlace la taille grassouillette de Jean, qu'elle envoie valser sur le divan comme une Apache.
« Défends-toi, salope ! braille-t-elle, et Jean se met à ruer des quatre fers. Alors comme ça, tu veux qu'il te voie... ? Eh bien je vais te déshabiller pour qu'il puisse te mater... »
Quant à moi, je refuse de m'approcher à moins d'un mètre des talons aiguilles dangereusement pointus de Jean... on dirait qu'elle adorerait les enfoncer dans le crâne de Billie. Mais Billie n'a pas peur... peut-être sont-elles habituées à jouer cette petite comédie... merde, comment savoir avec des connasses pareilles ? En tout cas, leur numéro est au point... Jean remonte sa jupe jusqu'à la taille pour être plus libre de ses mouvements, et je découvre une paire de cuisses aussi juteuses que le restant de sa personne. Mais Billie se glisse entre les jambes de Jean, qui n'a plus la moindre chance de l'emporter. Billie gifle les cuisses de Jean ainsi que la partie de son cul qui est à l'air, tandis que Jean essaie de se libérer, elle lui saute dessus et se met au boulot.
C'est tout à fait excitant de regarder ces deux connasses lutter ensemble, et je ne suis aucunement surpris quand Anna s'assoit lourdement sur mes genoux. Elle jutait déjà copieusement tout à l'heure, mais maintenant elle est trempée comme une soupe... Le jus ruisselle sur ses cuisses, descend presque jusqu'à ses genoux, et elle dégage la même odeur que votre lit quand vous avez baisé dessus trois nuits d'affilée... Elle saisit aussitôt ma queue, se met à jouer avec, et cette fois je n'ai pas besoin de lui retirer sa petite culotte... elle s'en charge elle-même...
Jean se démène comme une diablesse. Voyant qu'elle ne peut plus empêcher Billie de la déshabiller, elle redouble d'efforts pour arracher les frusques de Billie. Après deux minutes de combat, elles ont toutes les deux perdu leur jupe et elles frétillent comme des anguilles pour enlever leurs culottes respectives. Même si Billie est une lesbienne, elle a un châssis du tonnerre, et j'ai beau savoir que je ne l'intéresse pas, je m'excite malgré tout quand elle m'offre le panorama de son cul... Cette lune rose broussailleuse mérite d'être embrochée par une queue... Anna astique Jean Jeudi d'une main experte, mais celui-ci sent la proximité du cul de Billie et meurt d'envie de plonger dedans...
Billie finit par enlever le dernier vêtement de Jean... elle-même ne porte d'ailleurs plus grand-chose. Elle gueule pour qu'Anna et moi venions jeter un coup d'œil à sa salope. Voulons-nous l'entendre couiner ? Elle pince ses seins. Peut-être désirons-nous examiner en détail sa bonne-bouche ? Qu'à cela ne tienne, elle fait pivoter le cul de Jean et commence à limer sa fourche... Elle croit sans doute que nous avons l'intention de compter les poils de son con... elle enfile un doigt dans la chatte de Jean... laquelle se calme brusquement...
Anna tient le bas de sa robe au niveau de son ventre, et déboutonne le haut pour sortir ses merveilleux obus. Allongée sur Jean, Billie reluque le con d'Anna tout en branlant celui de Jean. Cette salope a glissé sa main entre les cuisses de Billie, mais je ne vois pas très bien ce qu'elle palpe. Anna veut que je caresse ses seins... Elle se penche et les balance sous mon nez.
« Cette gouine a-t-elle déjà couché avec toi ? je murmure à Anna. Elle te dévore littéralement des yeux. »
Apparemment, cela ne me regarde pas... Anna agite un doigt désapprobateur dans ma direction et refuse de répondre. Puis elle écarte un peu plus les jambes pour que Billie voie mieux sa figue... Jean et Billie ont cessé de se battre, elles s'allongent tranquillement côte à côte, nues comme des poulets plumés, sauf à l'endroit stratégique... Anna roule ses bas sur ses chevilles. Ensuite elle décide que le moment est venu de se déshabiller elle aussi. Comme je ne tiens pas à me singulariser, je retire aussi mes frusques. Et pendant ce temps-là, les trois salopes s'immobilisent pour me regarder... Jean hurle et saute sur le divan... elle veut goûter à ça... à ÇA ! clame-t-elle au monde entier.
Billie lui dit qu'elle aura peut-être une part du gâteau si elle est gentille... merde, je préférerais lui en donner une si elle est vilaine... Anna s'est faufilée entre mes jambes pour caresser mon outil, frottant sa tête contre lui tout en matant les deux connasses qui batifolent sur le divan. Soudain Jean saisit le cul de Billie et le malaxe ; elles s'embrassent comme des collégiennes, et quand je regarde une seule paire de hanches, je jurerais qu'elles baisent. Elles frottent leurs ventres, leurs loches et leurs cons les uns contre les autres, on a envie de s'arracher les cheveux à les voir se besogner avec l'énergie du désespoir sans aboutir à aucun résultat.
« Montre-leur ce que tu me fais », dit Jean. Jésus Marie, moi qui croyais qu'elles avaient de la pudeur dans leurs caresses intimes... pensez-vous ! Allongée sur le dos, Jean écarte les jambes ; Billie n'est pas davantage gênée par son rôle... sa main descend vers le ventre de Jean, puis nous introduit dans le saint des saints.
Billie prend un sacré pied à jouer à cache-cache dans la toison de Jean. La plupart des blondes que j'ai connues n'ont pas beaucoup de poil sur la motte ni ailleurs, mais Jean est magnifiquement pourvue, il y a presque de quoi rembourrer un matelas... Billie essuie son visage sur cette prairie soyeuse, mordille le ventre de Jean, puis finit par l'embrasser en pleine fente. Ensuite, Anna et moi pourrions aussi bien ne pas être là... Billie entreprend de sucer la figue de Jean sans prêter la moindre attention aux spectateurs... Je pensais que la présence d'un inconnu l'inhiberait mais il suffit de bien regarder cette connasse en complet-veston pour comprendre qu'elle serait capable d'aller renifler sous les jupes d'une comtesse...
Anna entreprend de coincer ma queue entre ses roberts. Elle surveille le divan d'un œil, mais sans négliger Jean Jeudi. Elle le place bien au chaud entre ses obus et tente de le bercer pour l'endormir... Anna a une paire d'obus plus agréables à baiser que maintes chattes que j'ai essayées, et Jeannot Lapin est ravi de ce terrier... surtout parce que Anna baisse la tête toutes les deux secondes pour embrasser sa tête cramoisie d'alcoolique...
Jean est lasse de se faire lécher la figue par Billie... après tout, elle doit passer à la casserole tous les soirs du mois, cinq ou six jours exceptés, et j'imagine qu'on se lasse de ça comme on se fatigue de n'importe quoi d'autre. Jean demande pourquoi je ne la baiserais pas sur-le-champ... elle pense que le moment est venu de changer de partenaire.
Billie est d'accord. Les temps sont mûrs pour un grand changement, dit-elle... sur ce, elle bondit en l'air et son cul retombe sur le nez de Jean avant que celle-ci n'ait eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait.
« Je te connais par cœur, ma salope, braille Billie en frottant son con sur le nez de Jean. Tu veux qu'il te prenne pour une GENTILLE fille ! Qu'il croie que jamais tu ne sucerais une chatte, hein ? Alors que tu es la plus grande suceuse de chatte que j'aie jamais connue... veux-tu que je raconte ce que tu as fait à ma sœur quand elle était à Paris ? Et dès le premier soir, encore ! Et ce qu'Annette t'a appris ? Ne t'ai-je pas surprise, la tête sous les jupes de Bebe ? Ose dire que Meg ne t'a pas pelotée ? Et puis, tout compte fait, laquelle de mes amies n'as-tu pas sucée ? À mon avis, il ne doit pas y en avoir beaucoup ! Espèce de salope, n'essaie pas de me bourrer le mou ! Chaque fois que tu fais un aller-retour au coin de la rue, tu reviens soit avec la culotte pleine de foutre, soit avec du jus de con sur le nez... »
Anna continue à secouer ses loches autour de ma queue, mais brusquement elle ouvre la bouche et m'offre l'hospitalité de son palais. J'ai tellement hâte d'y entrer que je l'enfile presque jusqu'au fond de la gorge... De Jean, je ne vois plus que le cul et les jambes qui s'agitent en tous sens, mais les bruits qui émergent du cul de Billie me permettent de deviner ce que je ne peux voir. Billie serre les cuisses autour de la tête de Jean, comme un jockey... elle se penche en avant, monte et descend sur son destrier... il ne lui manque plus que des éperons et une cravache...
Anna bondit sur ses pieds... juste à temps, car encore une minute de ce traitement et j'explosais dans sa bouche. Elle s'approche du divan, où je la suis. Jean a fermé les yeux et lèche le con de Billie comme une pêche juteuse... elle pelote Billie tout en la suçant et ses exercices buccaux semblent lui procurer une intense satisfaction.
Anna a une idée de dingue... Elle veut que Billie suce ma queue. Moi-même je n'aurais jamais suggéré une chose pareille, mais Anna avance plusieurs arguments... elle-même est parfaitement normale, ce qui n'empêche qu'elle a déjà sucé des chattes et qu'elle le reconnaît volontiers. J'ai même l'impression qu'Anna a eu affaire à la bonne-bouche de Billie à un moment ou à un autre... et si Anna peut sucer une chatte, il n'y a aucune raison pour que Billie soit incapable de sucer une queue...
Pour une lesbienne, Billie est une femme remarquablement raisonnable. La plupart de ces salopes sauteraient au plafond si on leur faisait pareille proposition... Mais Billie écoute très attentivement, puis semble réfléchir un bon moment. Enfin elle passe la jambe au-dessus de Jean... elle descend de cheval, voilà mon point de vue... puis examine longuement ma queue d'un air perplexe.
« Tu sais... je crois que j'accepte, dit-elle. Si ça te va, Alf, bien sûr... »
Bon dieu, si ça me va... ! Moi aussi, je suis relativement raisonnable... Je ne crois pas avoir jamais refusé de me faire sucer la queue. Je gare mon cul sur le divan et j'attends de voir ce qui se passe.
Billie n'accepte pas le moindre conseil de la part des gens qui font tapisserie. Elle connaît parfaitement son affaire, du moins en théorie, dit-elle, et elle n'a pas besoin d'aide... Elle s'agenouille devant moi, se faufile entre mes cuisses, examine ma queue pendant quelques secondes, puis lève les yeux vers mon visage. Son regard chaviré en dit long... Si j'ignorais ses goûts sexuels, je mettrais ma main à couper qu'elle est folle de ma queue, qu'elle meurt d'envie de la gober... Elle se met alors à jouer avec... non que Jeannot ait besoin qu'on joue avec lui, mais parce que cela doit faire partie de la théorie de Billie. Et alors... sa bouche l'aspire goulûment.
Cette salope peut être sacrément convaincante... elle commence à roucouler et baver comme si elle avait enfin trouvé son bonheur. Ses bras m'enlacent et m'étreignent, elle frotte ses nichons contre mes genoux, joue avec mes couilles... quand elle ne suce pas ma queue, soit elle embrasse mes couilles, soit elle shampooine mon ventre.
Billie se définit elle-même comme une connasse particulièrement vicieuse. On repère parfois ce genre de salope dans les bars, matant toutes les femelles de l'établissement, offrant des verres à celles qu'elles essaient d'emballer... et chaque fois je me demande comment elles réagiraient si on les baisait dans les règles du lard. Mais elles demeurent inaccessibles. Certaines sont sacrément bien roulées, pourtant elles n'accepteraient jamais qu'une main masculine se glisse sous leurs jupes, de même que dans le métro vous n'auriez jamais l'idée de demander à votre voisin de baisser son froc pour pouvoir le branler... vous pouvez me faire confiance... j'ai souvent essayé de lever ce genre de fille...
Même Billie, si sa théorie n'est pas complètement bidon, doit savoir ce qui va se passer si elle s'obstine à sucer ma queue ainsi. Jean et Anna attendent mon orgasme et pissent presque dans leur petite culotte... Je ne veux décevoir personne... Je me retiens jusqu'à ce que mes couilles manquent d'éclater ; j'aimerais, si possible, lui balancer ma purée d'un seul coup d'un seul...
Billie savait ce qu'elle disait en déclarant qu'elle n'aurait pas besoin d'aide. Je me prépare à saisir la tête de cette salope pour l'immobiliser si elle se défile quand elle aura du foutre plein la bouche, mais je perds mon temps. Je parierais qu'elle adore le goût du sperme. À la première giclée, elle jette un coup d'œil à Jean, s'aperçoit que sa copine la regarde, et avale le tout. Jean s'empare des tétons d'Anna ; on dirait qu'il va se passer des choses intéressantes... mais elle se ravise avant que Billie ne la surprenne... À peine ai-je fini de jouir que Billie saute sur Jean... mais pas pour sucer sa figue, contrairement à ce que je pensais. Elle enlace Jean et l'embrasse sur la bouche. Elles s'étreignent et chacune enfile sa langue dans la bouche de l'autre... Jean susurre de nouveau à Billie qu'elle est une vraie salope, la plus vicieuse des suceuses de bite.
Anna intervient alors comme si nous l'avions laissée sur la touche. Son con la démange, dit-elle ; quelqu'un aurait-il envie de la soulager ? Billie prend Anna dans ses bras et commence à la peloter... l'instant d'après elles se palpent la croupe et je ne m'étonne nullement de voir Billie fourrer sa tête entre les cuisses d'Anna pour sucer le jus de son piège à rats.
Jean se place derrière Billie, chatouille sa fourche et enfile un doigt dans son con... Seigneur, je ne vais pas rester planté là à regarder cette exhibition de culs pelotés par des mains ou des bouches voraces. Je saute dans la mêlée et saisis Jean... Mon outil n'est pas au mieux de sa forme, mais la petite garce sait comment remédier à cet état de choses, elle possède le matériel idoine pour réparer mon outil en un tournemain... elle écarte les jambes pour que je puisse limer sa chatte, et entreprend de masser ma bite.
Cette Jean est une vraie fournaise. Après quelques minutes de massage, je bande comme un âne ; si elle se promenait au mauvais endroit, ma queue risquerait d'être tirée comme un lapin par un amateur qui l'empaillerait ensuite... Jean est tellement excitée qu'elle halète comme une chienne... qu'elle essaie d'écarter encore un peu les jambes, et son corps se fendra en deux comme une tomate trop mûre... Billie a tellement ouvert son conillon que mes doigts plongent à l'intérieur dès qu'ils le touchent... C'est un joli con dodu... S'il y a bien une chose que je déteste, c'est le genre grand cheval tout en os, nanti d'une malheureuse touffe de poils et d'un trou minuscule qui semble avoir été creusé par la pointe d'un bâton.
Billie se moque éperdument de ce que je fais avec sa Jean. En temps ordinaire, elle pousserait certainement des cris de paon, mais elle est tellement emberlificotée dans Anna qu'elle a d'autres chattes à fouetter. Anna nous regarde, mais Billie ne remarque même pas que je suis en train d'enfiler sa copine préférée.
Au début, Jean ne baise pas. Elle a remonté les genoux pour que je la pénètre plus facilement, mais sa coopération s'arrête là. Elle se laisse baiser davantage qu'elle ne baise... et je la baise comme un chef. À chaque coup de reins, ma queue s'enfonce jusqu'à la garde... Je repousse ses petites lèvres à l'intérieur de son con et plaque ses poils contre son ventre. Je la tringle jusqu'à ce qu'elle tire la langue... quand elle est sur le point de jouir, elle se met à baiser aussi ; alors commence une cavalcade diabolique.
Me regarder monter cette petite sauvageonne rajoute une bonne pincée de poivre sous le cul d'Anna. Elle dilate sa chatte autant que faire se peut, jusqu'à ce que son trou béant bâille pour de bon, et que presque tout le visage de Billie disparaisse dedans. Et elle jouit ; quand l'orgasme la frappe de plein fouet, elle ne supporte plus que Billie essaie de la monter... elle la repousse, mais l'attire de nouveau pour qu'elle lèche le jus qui dégouline sur ses cuisses.
Dès que Billie émerge du con d'Anna et découvre le jeu auquel je joue avec Jean, elle braille une injure qui n'est pas aussi virile que l'aimerait Billie. Seule une femelle est capable d'inventer pareilles obscénités. Elle n'est pas exactement furieuse... mais d'après ce que j'ai vu, on dirait que cette bande de garces ne prennent vraiment leur pied qu'en se crachant au visage ou en se foutant sur la gueule. Jean a complètement oublié le contexte... elle baise comme une perdue. Elle lance une jambe en l'air presque jusqu'à mon épaule, cambre son cul pour qu'Anna et Billie constatent de visu les règles du jeu... et alors nous jouissons tous les deux...
Elle veut mon adresse ! Telles sont les premières paroles de Jean quand elle a joui, et elle ne plaisante pas. Merde alors, je ne vais pas refuser de donner mon adresse à une connasse aussi juteuse que Jean... d'autant que Billie n'a pas l'air trop jalouse. Ce serait plutôt Anna qui fait une sale tronche... Elle demande à Billie si elle n'a pas peur de perdre sa copine préférée. Mais non...
« Elle a besoin de se faire sauter », explique Billie à Anna, tout en caressant les cheveux de Jean et les écartant de ses yeux. « Qu'elle se fasse troncher si ça lui chante... ce que je peux pas supporter, ce sont toutes ces salopes de lesbiennes qui veulent coucher avec elle... À propos, tu sais ce qui te reste à faire, Jean... »
Jean sait... et elle nous le prouve incontinent. Elle tire ses cheveux derrière ses oreilles pour qu'ils ne la gênent pas, se penche un peu et embrasse le con de Billie... Elle n'a pas encore retrouvé son souffle depuis que je l'ai baisée, mais elle suce la chatte de Billie jusqu'à ce que Billie jouisse...
Hier soir, huit heures tapantes, je suis à mon rendez-vous à l'entrée du jardin des Plantes. Un quart d'heure... une demi-heure passe... Neuf heures, et cette salope n'est toujours pas là. Bon dieu, les gens qui vous posent un lapin mériteraient d'être jetés en prison. C'est comme si on vous volait de l'argent... non, c'est pis. Ils vous volent votre vie... une heure par-ci, un quart d'heure par-là... au bout d'un moment, cela doit faire des années de perdues. Je suis encore dépossédé d'une heure ; où diable vais-je trouver une remplaçante pour assurer mon coup de ce soir ? Doux Jésus, je ne vais pas vivre éternellement et il ne me reste pas tant d'heures que je puisse les gaspiller pour un oui ou pour un non. Mais les femmes ne pensent jamais à ce genre de chose. Je ne crois pas que les femmes songent jamais qu'un jour leur vie va se terminer. En tout cas, elles ne réfléchissent pas à ces choses comme les hommes. Vous pouvez me croire... l'homme qui manque de ponctualité est d'ordinaire sans valeur, peu digne de foi, faible, et au moins dix-huit autres adjectifs tout aussi dépréciateurs. Mais même une femme intelligente, ou ce que les hommes nomment ainsi, n'aura pas le moindre scrupule à vous faire geler les miches pendant des heures...
À neuf heures, je laisse tomber et plie bagage. J'ai mieux à faire qu'user la semelle de mes chaussures sur l'asphalte de ce trottoir. Raoul est bougrement négligent ces temps-ci... Une consolation cependant... à Paris il est impossible de rater le coche. Si une salope vous pose un lapin, pas de problème pour en trouver une autre... dans les gogues de tous les cafés, on trouve une longue liste d'adresses sur les murs, et elles ne sont pas toutes bidon, comme en Amérique. (Quel genre de garce habite à ces adresses ? Il faudra que j'aille y voir de plus près un de ces quatre...) Toute la ville pue le con... si vous êtes pressé ou non, vous pouvez payer ou vous envoyer en l'air gratis. Ici, vous aurez le ventre vide aussi souvent qu'en Amérique, mais votre lit ne le sera jamais...
Par conséquent, même si la belle-sœur de Raoul n'a pas montré le bout de son cul, je ne m'inquiète pas pour lui trouver une remplaçante... Environ une heure et quelques verres plus tard, je lève une connasse. Pas vraiment une pute, juste une femelle en chaleur. Ce n'est pas une beauté, mais elle est potable ; elle est jeune et semble utiliser son savon de temps en temps. Je lui paie donc à dîner, puis nous rentrons et je me l'envoie sans problème... mais je suis toujours fumasse à cause de l'autre salope...
Ce matin, Raoul se pointe chez moi comme une fleur, en pleine forme, et ce fils de pute essaie de faire de l'esprit... il veut absolument savoir comment ça s'est passé la nuit dernière...
« Ah ! mon vieux ! Oh ! Alf ! braille-t-il en pointant son index sur moi. Alors, elle t'a plu ? Était-ce un cageot, comme tu le craignais ? Tu vois, tu vois... quand Raoul arrange quelque chose... j'espère que tu me feras confiance la prochaine fois... » Il arpente la pièce à toute vitesse, allume une cigarette. « Elle t'aime bien, Alf... Je l'ai vue aujourd'hui, je peux te dire que tu lui as tapé dans l'œil... même si elle trouve que tu as parfois de drôles d'idées. Ah ! oui, elle te reproche tout de même un truc : les bleus qu'elle a sur le derrière, Alf... comment va-t-elle expliquer ça à mon frère ? Bon... entre nous, je crois que ça aussi lui a plu... C'est une super-nana, Alf, elle ne pense jamais au lendemain... mais la prochaine fois, tâche de ne pas la battre aussi fort... Et puis tu aurais tout de même pu l'emmener dans un meilleur hôtel... Elle connaît des gens dans celui-là...
— Arrête de faire le malin, bordel. Écoute-moi bien, Raoul, tu peux dire à cette enculée... Oh ! dis-lui n'importe quelle connerie ! Elle m'a fait attendre pendant une heure...
— Une heure ? Non, pas une heure, Alf... À huit heures, je t'avais dit d'y être à huit heures... »
Raoul continue de pérorer et je commence à me dire qu'il croit vraiment que j'ai passé la nuit avec sa belle-sœur. Merde, il connaît même une foule de détails... Je finis par le remettre dans le droit chemin et j'ai un mal de chien à le convaincre que je ne blague pas... Il grimpe même sur le lit pour renifler les draps quand je lui dis que j'ai passé la nuit dernière avec une autre pouffiasse. Il perd littéralement la boule quand il comprend que je dis vrai.
« Mais elle s'est fait sauter, Alf... Je te jure qu'elle s'est fait sauter dans les grandes largeurs ! T'aurais dû voir sa tronche ce matin ! Je croyais que tu me baratinais, Alf... En tout cas, elle n'est pas assez maligne pour me baratiner... Tu sais ce qui s'est passé, Alf ?... Elle s'est gouré de mec... T'as été doublé par un concurrent ! »
Il veut savoir à qui j'ai parlé de mon rendez-vous. À personne, je lui dis. Et à quel angle l'ai-je attendue ? Oui, elle était bien là... etc., pendant dix minutes. Raoul ne trouve pas ça drôle du tout, et la journée n'est pas assez avancée pour que j'aie envie de rire.
« Alors, que devient ce coup que j'étais censé tirer ? je demande à Raoul. Pourquoi pas ce soir ? Elle est libre ? »
Raoul prend un air abattu. Au diable le coup que j'étais censé tirer, dit-il... Il s'inquiète de celui qu'elle a tiré... Comment va-t-il s'y prendre pour lui expliquer ça ? « Tu crois peut-être que je vais aller la trouver et lui dire : "Écoute, tu t'es trompée de mec, tu voudrais pas le faire avec le bon ?" Et puis elle n'a même pas touché un radis pour sa nuit...
« Quel fils de pute a bien pu faire une chose pareille, Alf ? Je suis persuadé que c'est un de tes potes... Personne d'autre n'oserait faire une saloperie de ce genre. Quel vicelard ce doit être, hein, Alf ? Profiter ainsi d'une jeune fille innocente... et sans la payer encore... sans la payer, Alf ? Et dans un hôtel miteux, où elle risquait d'attraper des poux, ou pire encore ! Ma propre belle-sœur ! »
Il refuse de rester plus longtemps... il faut qu'il rentre chez lui le plus vite possible pour régler cette affaire. Aurais-je une photo de moi, qu'il pourrait lui montrer ? Non ? Eh bien, il me téléphonera dans la journée et nous pourrons peut-être nous retrouver quelque-part pour qu'il prouve à la fille qu'elle a baisé le mauvais mec... Raoul dit que, si elle me voit et que je lui plais, elle acceptera peut-être de tirer un coup avec moi, mais franchement il n'y a pas beaucoup d'espoir. Sa famille a toujours eu des coups durs, me confie Raoul... Par exemple, il a un cousin qui sortait avec une fille... une chouette nana. La fille a trouvé un boulot, et ni une ni deux son patron la drague... Là-dessus, le cousin de Raoul découvre qu'elle est obligée de se laisser peloter, et il n'aime pas ça du tout. Il se pointe donc dans le bureau du vieux con pour lui dire d'arrêter son cirque. Et devinez un peu ce qui arrive ? J'imagine aussitôt plusieurs scénarios, aussi catastrophiques les uns que les autres... Le vieux con a cru qu'il cherchait un emploi, me dit Raoul, et il l'engage aussi sec. Si bien que maintenant tous les deux doivent lui lécher le cul, et le cousin de Raoul doit répondre au téléphone que son patron est en conférence alors qu'il sait foutrement bien qu'il pelote sa copine sur le canapé de son bureau, et lui retire sa culotte... Ma famille a toujours eu de la malchance, conclut Raoul.
J'ai à peine fermé la porte derrière Raoul qu'Alexandra arrive, montant l'escalier quatre à quatre. Tania est-elle ici ? me demande-t-elle d'une voix bouleversée. Bon, si elle n'est pas ici, où donc est-ce que je la cache ? Tania semble s'être lassée de jouer avec son chiot, et a disparu hier. Elle devrait être quelque part dans Paris à l'heure qu'il est ; Alexandra la cherche là où elle a le plus de chances de la trouver.
Et Peter, je demande à Alexandra quand elle s'est un peu calmée, a-t-il lui aussi disparu ? Non, Peter est toujours à la campagne, il attend Tania au cas où elle se raviserait... il n'en sait pas plus que les autres sur l'endroit où elle a bien pu aller. Mais ai-je reçu une quelconque lettre d'elle ? Aurais-je une idée de l'adresse où l'on pourrait la trouver ?
Alexandra est à deux doigts de me demander d'organiser une battue générale, de faire appel à la bonne volonté populaire par l'intermédiaire des journaux et de la radio, d'envoyer tous les boy-scouts de France et de Navarre à sa recherche. Jamais je ne l'ai vue aussi bouleversée ; il est parfaitement inutile d'essayer de lui parler tant qu'elle n'a pas repris ses esprits. Je lui dis que je vais faire mon possible, et Alexandra file chercher Tania ailleurs. Aujourd'hui, elle est complètement paniquée, et sans raison. Car Tania prend son pied en ce moment même, ou alors c'est que je ne la connais pas...