FlexLighting : lecture même dans le noir
Les petits éditeurs à l'école du numérique

La blancheur du papier concurrencée

Noir-kindleA lire l'intéressant article que consacre Les Numériques à la comparaison entre les propriétés respectives des supports papier et eInk en terme de blanc/noir et de contraste. Avantages bien entendu encore du côté des papiers. Si la qualité du noir est maintenant acquise, la blancheur du papier est encore en deçà. Mais, elle ne cesse de progresser depuis des années, il aurait été intéressant de mettre en parralèle aussi un papier recyclé non blanchi  et un papier journal. Se remémorer les propos de Thierry Baccino (Directeur du Laboratoire Le Lutin), il y a un peu plus de deux ans. La blancheur est déterminée selon les normes ISO 11475 et 11476. La norme ISO pour la blancheur du papier utilise un pourcentage comme unité. Plus le pourcentage est élevé, plus le papier est blanc. On considère que 60% offrent une blancheur suffisante et que 80% offrent plus de confort; au-delà, on est dans la blancheur luxueuse dont on n’a pas besoin pour une bonne lisibilité. Le papier électronique eInk est désormais à 60%, encore 20% pour atteindre le confort maximal. Dans le même interview, il y a deux ans, on parlait de 20 millions de livres électroniques en 2011, c'est 30 millions aujourd'hui.

PS: dommage aussi de n'avoir pas pris en test le Kobo ou le Nook, qui ont le mieux optimiser l'écran eInk à mon sens, quelques % grignotés en plus.

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