Textes imprimés comme numériques sont concernés. Il y a sept ans déjà une cinquantaine de correcteurs manifestaient sur la précarité de leur statut et de leurs conditions de rémunération. Les choses n'ont guère changé depuis. Une pétition est lancée à l'initiative de correcteurs et travailleurs à domicile (TAD) et intitulée "L'édition mérite une bonne cor(r)ection". Elle a dépassé les 1500 signatures et sera remise aux éditeurs le 22 juin prochain, lors de la prochaine réunion de la commission sociale mixte paritaire, composée de représentants du Syndicat National de l'Edition et des syndicats de salariés. Soutenons-les...(via Livres-Hebdo).