1,869 notes dans la catégorie "Liseuse électronique"
Sony PRS-350: un tactile au doigt et à l'oeil
21 septembre 2010
Intéressante présentation de Len Edgerly qui pointe sur les innovations apportées par les ingénieurs de chez Sony sur l'écran tactile. Lui aussi conquis par ce nouveau décidément très excitant. Joint également celle de notre ami The eBook-Reader tout aussi élogieux (billet ici).
Sony PRS-350 en test sur Mobiletechreview
17 septembre 2010
Mobiletechreview nous détaille le nouveau Sonyreader PRS-350. Une note de 3.75 contre 4 au Kindle 3, pas si loin finalement pour ceux qui préféreront le tactile au wifi/3G.
PocketBook 360: un test très convaincant
12 septembre 2010
La récente arrivée en France de la société PocketBook était l'occasion de tester plus longuement le livre électronique phare de la marque, le PocketBook 360. J'en étais resté à la présentation qu'avait fait Mobinaute ainsi que celle d'eBouquin il y a un an maintenant. A l'époque, sa non-reconnaissance de la DRM Adobe l'empêchait de pouvoir acheter la quasi-totalité de l'offre en France. Un peu embêtant, quand même. Aujourd'hui, ce n'est bien entendu plus le cas. Je remercie PocketBook ne m'avoir permis de tester ce modèle en condition d'utilisation réelle sur plus d'un mois. C'est à mon avis très important de pouvoir apprécier dans des conditions de lectures quotidiennes tout livre électronique de ce type. Aller au-delà d'un test rapide, beaucoup de petits détails prennent toute leur signification dans la durée. Avec un prix de 219€, le PocketBook se positionne en concurrent direct des CybookOpus et du prochain Sonyreader 350, sur lequel j'aurais l'occasion de revenir, sur le marché français. Je ne mentionne pas les modèles anglo-saxons dont on parle finalement beaucoup car le marché est plus avancé que chez nous mais qui sont complètement inutiles pour des lecteurs francophones.
- Prise en main: le PocketBook 360 possède une coque de protection qui se révèle très pratique en protégeant très efficacement le lecteur dans une poche de veste, dans un sac de voyage. Contrairement à tous les autres modèles sur le marché avec lesquels on a certaines réserves, le PocketBook avec sa coque est quasi-indestructible. Je ne dis pas que l'on pourrait sauter à pieds joints dessus évidemment mais c'est un élément important pour les moins soigneux d'entre nous et un souci en moins pour tous les autres. Le fait que la coque est séparée du lecteur à la lecture n'est pas gênant du tout, on la clipse très facilement au dos (le petit défaut a été corrigé depuis la présentation de Mobinaute) dans un geste qui vient naturellement au bout de quelques jours d'utilisation ou on la laisse à côté de soi pour alléger un petit peu le lecteur. Côté légèreté, le PocketBook affiche 180g donc pas de souci de ce côté-là. Côté finition, c'est très soigné. Matières plastiques très rigides, pas de craquements bizarroïdes, formes arrondies. Sur le dessus, un design avec des formes végétales donne une petite touche originale et rappelle son origine d'Europe centrale. En ces temps de design uniformisé conçu sur les tables de Californie ou d'Asie, une touche d'originalité de ce type fait du bien! Le modèle que j'ai testé est ivoire, une très jolie couleur dont on ne se lassera pas dans le temps. Il faut penser à cela aussi. Un plastique gris plus résistant tout autour du lecteur lui confère une résistance supplémentaire en cas de chute malencontreuse. Connectique on ne peut plus simple, carte micro SD en haut près de la touche marche/arrêt et prise usb en bas. Au dos du lecteur, un cache d'un accès suffisamment facile en cas de besoin mais pas trop car l'usure serait prématurée, permet d'accéder à la batterie et au reset. Comme dans le cas du CybookOpus, dans les premiers jours, vous aurez tendance à le mettre en état d'indigestion en ne respectant pas les temps de latence du lecteur mais quand vous vous connaitrez mieux (lui et vous), la touche reset sera nécessaire de manière très exceptionnelle. Côté boutons maintenant, trois boutons, en haut et en bas deux gros boutons pour avancer et reculer dans les pages et le bouton central véritable tour de contrôle du lecteur lui-même. Les deux gros boutons sont assez durs dans l'utilisation et je les ai complètement abandonnés au bout de quelques minutes seulement. On se demande d'ailleurs pourquoi les conserver car l'avancement des pages se fait très bien avec le bouton central extrêmement bien dosé entre souplesse et rigidité. L'un des grands avantages de ce PocketBook 360 est bien de prouver qu'un seul et unique bouton convient parfaitement pour gérer un livre électronique, messieurs les constructeurs, à méditer, le design et la simplicité d'utilisation n'en seront que renforcés.
- Navigation: le PocketBook 360 a adopté Linux comme système d'exploitation qui permet à beaucoup de bidouilleurs d'accéder à des applications diverses. Une calculatrice, une bibliothèque de jeux (bataille navale, échecs, sudoku -excellent parait-il- etc.), j'avoue que je suis pas très utilisateur mais certains apprécieront entre deux lectures de jouer de la sorte. Côté bibliothèque, on fait ce qu'on veut, on organise ses dossiers à son goût comme sur le CybookOpus. J'ai importé en quelques secondes l'ensemble de ma bibliothèque dessus, personnelle ouverte comme celle sous DRM Adobe. Aucun souci d'accès. Lors de la première ouverture de chaque livre, un petit temps de latence de quelques secondes pour le formater. Liste, icônes, on retrouve les possibilités d'affichage que l'on souhaite. C'est justement dans les propositions "à la carte" que le PocketBook est vraiment génial. C'est bien simple, vous pouvez absolument tout paramétrer, les concepteurs ont été loin dans le détail, avec le souci de faire de votre lecteur celui qui vous ressemble le mieux. Jusque dans le choix des fonctionnalités des boutons eux-mêmes! Si vous ouvrez un livre sous DRM Adobe, la gestion est excellente avec l'ordinateur; en revanche vous ne pourrez utiliser comme d'habitude que le système Adobe viewer qui impose les choix fixés par l'éditeur en matière de mise en page et de typographiques. Une nouvelle restriction (une de plus) des DRM. En revanche pour tous les livres sans DRM (et il risque d'être de plus en plus nombreux, de nombreux éditeurs l'ayant heureusement compris), vous pouvez également utiliser le système FBreader sous Linux, embarqué sur le PocketBook. Résultats très intéressants, polices nombreuses (même si j'en souhaiterais d'autres -peut-être sont-elles téléchargeables, je vais me renseigner), suppressions des lignes de blancs, choix des marges (petites, moyenne, grande), interlignage, etc. Beaucoup de livres dont je n'étais pas très satisfait jusqu'ici se sont littéralement métamorphosés! Bref, FBreader, c'est vraiment bien, je l'ai découvert et je l'ai adopté en quelques jours d'utilisation. Autre chose de très intéressant pour moi, vous savez comme je suis sensible au coup de flash entre les pages, on peut régler la fréquence de ce coup de flash entre jamais et toutes les dix pages. Toutes les dix pages est idéal selon moi, on ne prête plus du tout attention à ce discret rafraîchissement de temps en temps qui permet de garder toujours un affichage de la meilleure qualité possible. Absolument aucune dégradation entre. Pas d'accéléromètre mais un choix au cas par cas si vous voulez orienter l'affichage dans l'autre sens. C'est bien, de toute façon l'accéléromètre automatique est de l'ordre du gadget qui se révèle bien vite insupportable à l'utilisation. Un dictionnaire est également disponible qui marche parfaitement même si ce n'est pas une fonctionnalité que l'on utilise beaucoup il faut le reconnaître. Pour des livres électroniques de dimension plus importante et la gestion de documents PDF il en sera autrement. Les PDF justement, sur le PocketBook 360, fonctions zoom classique et arrangement au fer à gauche, en droite ligne de ce qui existe sur le Sonyreader par exemple. Possibilité de récupérer des flux RSS d'articles que l'on souhaitera importer sur le lecteur, une fonction très pratique.
Bref, après plusieurs semaines d'utilisation, une dizaine de livres lus, le PocketBook se révèle être un livre électronique extrêmement intéressant. Une foule de petits détails pratiques (accès à ses livres favoris, la date et l'heure sur la barre en bas de l'écran, etc.). Une garantie de deux ans, un chargeur dans la boite qui permet de se brancher directement au secteur sans ordinateur. Les trois qualités très originales du lecteur sont le bouton unique (supprimons les autres, je les ai d'ailleurs complètement oublié), le choix des paramétrages très étendu et la gestion par Linux/FBreader. Ce PocketBook 360 m'a vraiment conquis. Son succès en Allemagne depuis l'automne dernier montre aussi que je ne suis pas le seul. Seul son prix fera hésiter certains, un passage en dessous de 180€ et une mémoire un peu plus importante (512Mo actuellement) seraient deux éléments décisifs pour son succès en France avec un réseau de distribution élargi qu'il mérite amplement d'autant que la marque arrive avec de nombreux autres modèles dont nous reparlerons très bientôt. PocketBook, une marque dont on va entendre de plus en plus parler!
Sony: nouvelle gamme de livres électroniques
01 septembre 2010
Sony a dévoilé sa nouvelle gamme de livres électroniques aujourd'hui. Pas de surprises, on garde la gamme Pocket, Touch et Daily en accolant un 50 à la fin, respectivement des modèles 350, 650 et 950. Du tactile y compris pour le petit modèle, reste à voir si celui-ci est meilleur que les précédentes versions et ne dégrade pas la qualité des écrans eInkPearl de nouvelle génération présents sur les trois modèles (aussi bien au niveau de la blancheur du fond que du léger flou du rendu). Finitions alu conservées pour l'ensemble de la gamme. Quelques détails pour chaque version:
- PRS 350: écran 5 pouces, plus léger et plus fin, tactile donc, design entièrement revu au modèle des autres, stylet pour prendre des notes, pas de Wifi ni de 3G, 2GB de mémoire et carte SD, en version noir et rose, prix 179$
- PRS 650: écran 6 pouces, plus léger et plus fin aussi, stylet, 2GB de mémoire, pas de wifi et 3G, en version noir et rouge, prix 229$
- PRS 950: écran 7 pouces, 4 GB de mémoire, stylet, wifi et 3G, pas de version wifi seul comme Amazon, en version gris et noir, prix 299$
Disponibilité aux Etats-Unis seulement dans les semaines à venir. J'espère qu'ils ne tarderont pas à venir chez nous. Nous aurons l'occasion d'en reparler dans les semaines à venir (voir Engadget et Teleread).
Samsung viendra pas
31 août 2010
Newsmy: un livre électronique chinois à 149€
27 août 2010
Pocketbook: un acteur européen plein d'ambition
26 août 2010
Worldreader: des Kindle introduits au Ghana
21 août 2010
Un projet passionnant que je ne connaissais pas, c'est Worldreader.org, qui mène une expérience d'introduction du Kindle au Ghana en milieu scolaire. «Des livres pour tous» est le mot d'ordre de cette ONG dirigée par David Risher, qui a été aux commandes du développement produit chez Amazon durant cinq ans. Le bilan est bien entendu positif tant du point de vue de l'intérêt des élèves et des étudiants que de l'accès à des bibliothèques impossibles à venir autrement qu'en numérique. J'en parlais récemment avec Alain Pierrot qui me disait le désarroi de trop nombreuses bibliothèques africaines qui ne disposent plus de budgets pour acheter de nouveaux livres. Pourquoi des livres et pas des ordinateurs? L'analyse est très intéressante. Avec des petits lecteurs à moins de 100$, on voit les formidables perspectives pour beaucoup de populations à travers le monde. Formidable papier électronique... (via ReadWriteWeb).
eInk: les ventes devraient doubler au second semestre 2010
11 août 2010
Les ventes mondiales de livres électroniques devraient doubler durant le deuxième semestre 2010. Ce sont les prévisions données aujourd'hui par le président d'eInk, Scott Liu, sur le site Digitimes: "Les livraisons pour les KindleDX (au format 9,7 pouces) ont triplé depuis qu'Amazon a réduit le prix à 379$. La fourniture d'écrans eInk devrait dépasser les prévisions précédentes de 10 millions d'unités en 2010 en raison des baisses de prix des fournisseurs. Les prix des livres électroniques ont chuté sensiblement, les acteurs qui ne produisent que des dispositifs de lecture électronique sans librairies sont soumis à des menaces d'être évincés du marché par les acteurs de premier rang tels qu'Amazon et Barnes & Noble qui devraient continuer à dominer le marché. Alors que certains observateurs ont spéculé que la rentabilité d'eInk pourrait être affecté par les campagnes de prix des fournisseurs, la société et ses clients avaient déjà fixé les ordres d'achats au début de l'année 2010 avec des réductions prometteuses lorsque les volumes atteindrait un volume prévu. Scott Liu ajoute que les clients sont désormais en mesure de mener des campagnes de prix parce que leurs commandes ont désormais atteint les montants convenus, leur permettant d'avoir des prix réduits. La compagnie est heureuse d'offrir des rabais pour aider à stimuler la croissance du marché de la lecture numérique." Et dire qu'au printemps dernier, certains ne donnaient pas cher du papier électronique... (via TheDigitalReader).
PS: tiens, notre ami Paul Biba vient d'abandonner son iPad à sa femme, il explique pourquoi sur Teleread!
Kindle DX2 sur Engadget
11 août 2010
Irex Technologies: bientôt IRX Innovations ?
05 août 2010
Lecture des écrans en question
27 juillet 2010
Les vacances, l'occasion peut-être de reprendre quelques moments clés de cette année, notamment le colloque Les Métamorphoses du Livre qui s'est tenu à Aix en Provence en fin d'année dernière. Beaucoup de vidéos ont été mises en ligne au début de l'été notamment celle de l'intervention de Thierry Baccino qui enfonce le clou. Non, malgré ce que certains voudraient nous faire croire, lire sur un ordinateur, ce n'est pas comme lire sur du papier... En échos notamment au récent article de Kevin Kelly relayé par LaFeuille.
PS: à noter que l'ensemble des interventions sont disponibles sur Dazibao, revue éditée en PACA.
Lecture numérique : réalité augmentée ou diminuée ? par Thierry Baccino from ARL PACA on Vimeo.
Hanvon: un fournisseur incontournable
22 juillet 2010
Alfa: un livre électronique do Braaaaazil!
22 juillet 2010
Alfa, un très beau livre électronique 6 pouces développé par Positivo pour le marché brésilien qui ne déparerait certes pas en Europe, peut-être sur le marché portugais! A noter que le gouvernement brésilien très volontariste encourage le craquage des DRM! Heureux brésiliens... (via ActuEbooks)
Livre numérique: les pratiques françaises
22 juillet 2010
J'ai beaucoup de retours autour de moi sur les pratiques de lecture, l'adhésion à des lecteurs à la fois comme l'iPad et les lecteurs eInk. J'avais relayé il y a deux ans déjà le petit calcul qui avait été fait sur le Kindle, le nombre de livres à partir duquel on amortissait l'achat d'un lecteur. C'était 17 titres. Peut-être vous rappelez-vous ce billet? J'ai essayé de refaire cette petite étude (en toute subjectivité) avec quelques éléments chiffrés avec des prix moyens que j'ai pondéré à la fois grand format/poche/occasion/prêt/échange quand il s'agit de l'univers papier et légal/piratage/échange quand il s'agit de l'univers numérique. Le petit tableau ci-dessous synthétise l'ensemble. Il ne repose sur aucune études statistiques mais je pense qu'il n'est pas si éloigné que cela de la réalité. Merci de me donner votre sentiment. A mon avis, un lecteur qui lit plus de deux livres par mois est aujourd'hui interpellé par l'offre du livre numérique, c'est indéniable. La pondération du côté du gratuit est maintenant forte. On a dépassé très largement le domaine des classiques à papa! Un univers clandestin du livre s'organise. Près de 1500 fans sur certains groupes Facebook... D'après mes estimations et quelques sondages réalisés, c'est entre 300 et 500 titres parmi les best-sellers qui circulent déjà sur les réseaux avec une qualité excellente et un format ePub maintenant proposé plus de deux fois sur trois. A la fois scannés et craqués. Les livres scannés sont même souvent de meilleur qualité que ceux proposés par les éditeurs! Un comble. L'offre est exponentielle depuis quelques mois seulement. Entre 30 et 45 jours, c'est le délai où l'on voit apparaître une version pirate d'un best-seller qui vient de sortir. Confirmé d'ailleurs par un éditeur en début de semaine. Le marché du livre numérique en retard en France? Du côté des éditeurs, c'est indéniable. Du côté des consommateurs, les choses vont maintenant très vite. Je fais le pari que dans ce domaine comme dans d'autres, nous allons très bientôt rattraper les pays anglo-saxons, mieux les dépasser du côté de l'offre illégale, nous sommes au pays de Voltaire et de Balzac, non? La France championne mondiale du piratage, aucune raison que cela reste étanche aux livres! Nous sommes bien en train d'attiser (avec un très gros soufflet) les charbons de l'offre illégale avec des réductions de prix d'éditeurs qui attendent une baisse de la TVA qui ne viendra sans doute jamais, des DRM qui nous empoisonnent la vie quand on change de lecteurs (tous les deux ans environ et aucune certitude sur des bibliothèques pérennes), l'absence totale de collections de poche et de pans entiers de l'édition populaire (fantasy, polars, fantastique, science-fiction, les plus piratées évidemment). J'ai même rencontré cette semaine un libraire qui vend du livre numérique et qui me dit qu'il n'en achètera jamais pour lui! (il se reconnaîtra). Bref, on n'a tiré absolument aucun enseignement de ce qui s'est passé dans la musique et on comprendra mieux l'ombre de la Bérésina des éditeurs, la route sera longue pour inverser les pratiques, croyez-moi...
Publicité à l'italienne
15 juillet 2010
Petite promotion, au demeurant pas mal faite et efficace, pour les livres électroniques de nos amis italiens...
Irex Technologies: fin de l'aventure
01 juillet 2010
Livres électroniques couleur: dernière ligne droite
01 juillet 2010
Mirasol, Liquavista, eInk, quelle technologie d'affichage sur le prochain Kindle à la fin de l'année? Je suis de plus en plus persuadé que la seule voie maintenant pour Amazon avec la double concurrence impitoyable lancée par Apple et son iPad, et par Barnes and Noble sur le marché américain avec des livres électroniques wifi/3G aux prix low-cost, est bien de se lancer sur un lecteur couleur, le même pari pour l'innovation qu'au lancement du Kindle fin 2007. A l'échelle d'Amazon ce serait à nouveau un battage médiatique sans précédent, le livre électronique couleur vous pensez... Pas facile de dire laquelle sera privilégiée par les gros libraires de la planète. Cela se jouera aussi au niveau des coûts de production. Personnellement, je pense que Mirasol/Qualcomm a une courte avance dans les pronostics. Le bénéfice d'être américain aussi. Mais rien n'est sûr. En tous cas, une chose est bien sûre, quatre ans après les premiers livres électroniques en noir et blanc, la couleur c'est maintenant pour très bientôt (photos sur PocketLint).
Bookeen améliore la rémanence du mode sans flash
25 juin 2010
iRiver Story chez Darty
23 juin 2010
Darty, ce n'est pas seulement l'iPad mais aussi la première boutique en France à proposer l'iRiverStory, ce très bon livre électronique 6 pouces qui fait l'objet de beaucoup d'éloges depuis de long mois maintenant en Angleterre et en Allemagne. A noter également les baisses de prix sur les modèles de Sony, PRS-300 à 179€ et PRS-600 à 249€. Hâte de voir sortir rapidement ce mauvais modèle "haut de gamme" de chez Sony, à oublier vite. A prix presque équivalent, sans hésitation le iRiverStory! Si certains d'entre vous avez déjà sauté le pas, je serais ravi d'avoir vos commentaires. J'ai aussi comme une intuition que Darty devrait nous proposer dans les semaines qui viennent un rayon de livres numériques. Vous tenez le pari? iPad et livres électroniques obligent...