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Sony PRS-300 arrive en France par la Fnac

Sonyprs300 Et bien finalement le pari que je faisais le 20 octobre dernier est gagné! Le Sony PRS-300, le petit livre électronique de la gamme (avec la meilleure qualité d'affichage qui s'affranchit avec bonheur du tactile), est finalement en vente en exclusivité sur le site de la Fnac à 199€ (en argent ou en rose). Qui de Sony ou de la Fnac aura convaincu l'autre? Toujours est-il que c'est une bonne nouvelle, on ne comprenait vraiment pas pourquoi il était en vente partout en Europe sauf en France! Un premier livre électronique sous la barre psychologique des 200€! Voilà qui devrait dynamiser le marché français avec des prix intéressants rapidement, on l'espère, du côté des livres numériques. C'est encore ce qui nous sépare de nos voisins européens! (bravo à Clément d'avoir repéré la nouvelle).

François Gèze sur le livre dématérialisé

Geze Intéressante intervention de François Gèze (directeur éditorial des Editions La Découverte) sur le livre dématérialisé à l'ENSSIB qui se livre à l'exercice périlleux d'une prospective à l'horizon 2019. Passionné et passionnant que François Gèze que l'on entend finalement trop rarement. Quelques remarques sur les aspects historiques qu'il rappelle. Tout d'abord, il y a dix ans en 1999, la technologie de l'encre électronique était encore sur les paillasses des laboratoires. Tous les professionnels des métiers du livre ne savaient absolument rien de cette technologie. Assimiler les premiers modèles de livres électroniques (2000-2001) à l'encre électronique, comme il semble le faire, est absolument faux. C'est à partir de 2004 que Sony a développé ce procédé pour une application au livre avec le Librié sur le marché japonais. D'autre part, une erreur grossière concernant la photocomposition qui ne date pas des années 90, comme il le dit, mais qui s'est développé entre 1950 et 1970, une évolution lente et constante (voir Wikipedia). François Gèze a connu bien évidemment cette évolution mais il semble un peu se perdre dans les dates. C'est à partir du début des années 80 que la Publication Assisté par Ordinateur (PAO) s'est développé avec l'accélération que l'on connait. Il passe sur les "illuminations de Jean-Marie Messier", ensuite il énumère les différents secteurs du livre et les implications du numérique. De manière très affirmative (trop me semble t-il), il passe à la trappe les livres pratiques, les guides de tourisme. Cela supposerait que nous ayons de l'internet haut débit sur l'ensemble du globe dans dix ans pour partir aussi bien à San Francisco qu'en Afghanistan ou en Irak (j'espère que l'on pourra y retourner à cette date). Je fais le pari contraire. Nous offrirons aussi toujours à nos proches des livres sur la cuisine au wok ou la santé par les plantes. Assez d'accord avec lui sur les scénarios "rose" et "gris" sur le marché du livre scolaire français qui dépend de l'implication de l'Etat dans le développement numérique dans les écoles. Pour le pari sur la littérature, moitié numérique/ moitié papier, je le rejoins complètement à la fois sur l'idée du livre-clos, d'une oeuvre finie qui est justement en  contradiction (et le restera) avec le flux du web. "Fixer à l'instant t une oeuvre finie, c'est absolument irremplaçable". J'ajouterais que la notion de livre en tant que "conservateur de notre mémoire" (je lance la formule) est au coeur de ces livres clos. Et les livres "non liquides" iront bien au-delà des livres de littérature, j'en suis convaincu. Il voit la FNAC en 2019? La maison est à vendre en ce moment et je ne sais pas si les futurs investisseurs sont aussi sûrs que lui là-dessus! Amazon en 2019? Cela me semble sûr, lui qui investit aussi dans nos chaussures. Google en 2019? C'est beaucoup moins sûr avec les enjeux du web sémantique. Prix unique du livre "numérique clos" en 2015 pour protéger des libraires spécialisés "anti-robots"? Bien avant, j'ai envie de dire si l'on veut protéger notre réseau de libraires incapables de pratiquer le dumping actuel d'Amazon. Merci à François de nous faire cogiter. A signaler d'autres interventions en vidéos (merci à Alain Pierrot).


Une tablette Apple pour quelques privilégiés

1045211-tablette-apple,bWF4LTI1MHgxMzk= Il s'agit de retomber sur terre. Ceux qui attendent une tablette accessible en terme de prix devront sans doute patienter! 800/1000$, ce sera le prix à payer pour une éventuelle tablette Apple l'année prochaine. Les propos de Yair Reiner, analyste chez Oppenheimer, rapportés par le magazine Fortune, le Wall Street Journal et d'autres, sont en train de donner une réalité à "la tablette mystérieuse: "D'après Reiner et ses sources, le prix de lancement de la tablette sera plutôt de 1000$, tandis que Ezra Gottheil situe la fourchette entre 600 et 800$. Au vue de la prévision de Reiner, les spécialistes jugent l'appareil d'Apple très cher pour le marché visé. Actuellement, on trouve des smartphones autour de 200$, le Kindle d'Amazon et le Reader de Sony se vendent 259$, les netbooks moins de 400$, les ordinateurs portables 600$, et le premier MacBook 799$. Pour eux, une tablette à 1000$ place d'emblée le produit dans une catégorie luxe réservée à quelques privilégiés" (via LeMondeInformatique).

SVM: dossier sur le livre numérique

CoverSVM287_web Un remarquable dossier sur le livre numérique (une couverture dédiée au sujet) et les livres électroniques sur le magazine SVM du mois de décembre. Sans clichés, sans à priori, pas de bétises. Un vrai bon travail de journaliste sur la question, c'est rarement le cas et cela mérite d'être souligné. 12 pages bien complète pour 3,25€ le magazine entier, sautez le pas, vous ne le regretterez pas! Bravo à Delphine Sabattier, Nicolas Robaux et Eric Le Bourlout. On aime visiblement les livres du côté de SVM!

Le marché asiatique en effervescence

Nreader La déferlante de nouveaux livres électroniques est bien en vue. On lira le billet du Monde Informatique qui revient notamment sur le modèle BenQ dont je vous avais parlé mi-novembre: "BenQ ne fait qu'entériner une évolution déjà en marche dans le secteur des eBooks. Pour preuve, ce modèle n'est qu'un des dix nouveaux Kindle-like de poche que s'apprêtent à lancer des sociétés taïwanaises et chinoises au cours des prochains mois. Car, devant le succès des ebooks de Sony et d'Amazon, le potentiel de ce marché ne pouvait laisser indifférent les gros fabricants asiatiques. Ainsi, Netronix, filiale de Foxconn Electronics, va commencer à vendre des livres électroniques en Chine via le géant de la téléphonie China Mobile et Delta Electronics travaille sur des modèles de e-reader et de e-paper. Les analystes annoncent aussi que Asustek Computer et MSI sortiront des netbooks à double écran, plus un e-reader avec écran simple. Un autre fabricant taïwanais, Greenbook, a également présenté son eBook pendant le salon de Taipei".

Nook: légère houle, tsunami en vue?

Autre présentation du Nook du côté du site américain Engadget. Beaucoup de points positifs mais pointe aussi sur les lenteurs de synchronisation entre les deux écrans tactile et epaper. Petits défauts qu'il semble falloir nuancer et que les possesseurs de livres électroniques connaissent bien, tout dépend du référentiel que l'on a, iphone ou support epaper! Barnes and Noble a sans doute été un peu pressé par le temps pour optimiser la navigation. Des défauts sans doute à corriger dans les prochaines mise à jours du software. C'était le cas sur l'Iliad d'Irex, sur la première version du Kindle  d'Amazon. Plus embêtant me semble le manque d'intuivité dans la navigation même après plusieurs heures d'utilisation. L'avantage du Nook sur le Kindle, c'est que les gens vont pouvoir l'essayer directement dans les librairies Barnes and Noble avant de se décider. Attendront-ils pour autant la prochaine version? Comme dit le chroniqueur avec humour: "With the right software revisions, the Nook could be a tsunami, but as it stands right now, it's only a mild swell". [Voir aussi le billet sur eBouquin].

PS: une autre encore sur Gizmodo avec les plus et les moins. Globalement les mêmes remarques mitigées.


L'Inde entre sur le Kindle

Hindustan-times-kindle-280x300 Une offre déjà très importante de journaux sur le Kindle d'Amazon. Après le Shanghaï Daily en Chine, c'est maintenant le journal indien de langue anglaise Hindustan Times (1,14 millions abonnés, un lectorat de 6,6 millions à travers le monde) qui est disponible dans le monde entier pour la communauté indienne. Comme on dit, c'est pas rien (via WatBlog).

Qook en stock!

Toujours du buzz autour du Qook (avec la voix de Jérôme Colombain, c'est la première fois que je vois son visage) et son concept original dans la cuisine. Il est français rappelons-le! Il vient d'entrer dans la boutique Pixmania, pratiquement tous les livres électroniques sont là, impressionnant, même des petits Sony PRSS-300 Pocket Edition! Pixmania vient d'ailleurs de me reconduire dans sa sélection des blogs informatiques de novembre. J'aimerais bien aussi faire un peu de publicité pour des libraires courageux, allez un effort!




Digibook: un nouveau livre électronique 6 pouces disponible

Expansys Un autre livre électronique annoncé ce mois-ci, c'est le Digibook ADB 106, écran 6 pouces. Un prix équivalent à 250€ env. Il nous vient des Pays-Bas une nouvelle fois. Il est développé par la société Ambiance Technology. J'aime beaucoup le design et le jeu des tons gris/blanc comme sur le CybookOpus, un peu moins la batterie de boutons sur le côté. A suivre pour les commentaires et les tests. En vente sur le site anglais Expansys ici (disponible dans quelques jours) [via Mobileread].

Amazon en maître du jeu

Pileface Pour 100 livres vendus sur Amazon, 48 seraient vendus sur le Kindle si la version est disponible! Un livre sur deux! C'est Jeff Bezos qui l'annonce sur le NewYorkTimes avec son sens de la formule habituel (on peut même lire dans son bain). Vérité ou intox? Personnellement, j'ai tendance à le croire. Une moyenne a bien lire entre les lignes car il faut la ramener au nombre de titres et non au chiffre d'affaire global. Beaucoup de lecteurs sur le Kindle doivent "redécouvrir" en ce moment, leur Kindle dans les mains, des titres qui ne sortent plus en papier depuis des lustres.  La liste des titres "1 livreKindle pour O livre-papier" doit être impressionnante. Elle vient compenser la statistique sur la masse des livres qui ont des bonnes rotations et qui constituent l'essentiel des ventes. Quand vous avez un Kindle, vous cherchez des livres "kindlisés" dont vous n'auriez pas soupçonné l'existence! Est-ce que c'est addictif?  Avec le Kindle-propriétaire, de toute façon, vous rejouerez! Les petites rivières font "un" grand fleuve, Amazon est bien placé pour le savoir!

Le livre soluble dans le web?

Muriel Puisque le livre serait une base de données, le flux serait l'avenir du livre... On lira le long plaidoyer de Hubert Guillaud sur LaFeuille pour un livre/web universel -suite aux remarques de Thierry Crouzet, hier, qui s'interrogeait sur l'inadéquation du passage de son dernier livre sur le web (900 téléchargements, 3 commentaires): "Les nouveaux formats ne sont pas adaptés à la lecture web, à la lecture à l’écran, avec les possibilités communicationnelles des écrans. Ces images de livres (le fameux pdf) n’ouvrent pas suffisamment de possibilités en terme d’interaction. Ils demandent de s’immerger dans un document, sans bénéficier des possibilités communicationnelles et relationnelles qu’a inventé le web: ces documents ne sont pas citables autrement que dans leur entièreté, ne proposent pas d’interaction poussées (difficiles à annoter, à partager, à commenter), ne sont pas indexables, mixables, cherchables, scriptables… Ils demeurent des silos, assez semblables à ceux que le papier à produit, hormis pour ceux qui les produisent. Google sera seul capable d’exploiter les contenus des livres qu’il va proposer dans ces formats: lui seul pourra en produire le graphe, car lui seul en disposera sous un autre format que celui qu’il proposera aux lecteurs. Lui seul pourra créer des graphes et des relations entre les contenus, car lui seul disposera de la base de données des livres: nous n’aurons accès qu’à une succession de fichiers, que nos outils auront du mal à interpénétrer. La structure web, elle, propose un autre contrat de lecture. Chaque partie de document est citable, anotable, commentable, accessible, indexable, cherchable, mixable, scriptable… De page en page, de billets en billets, de flux en flux, ces contenus sont agrégables et peuvent proposer des oeuvres finalisées, consommables comme on le souhaite. Mais leur flux n’est pas génératif. Si je m’abonne au flux RSS de la Feuille, j’obtiendrais les derniers billets et les prochains. Je ne pourrais pas obtenir l’oeuvre dans son ensemble, depuis le début, à une dose que je serais capable d’absorber, petit à petit. Si cela n’a que peut d’intérêt pour une oeuvre en continue, en devenir, qui se couple à l’actualité comme l’est un blog, cela n’est pas la même chose pour une oeuvre finie, aboutie, terminée. En passant au format numérique, le livre demeure un bloc qui n’est pas adapté au flux du web". Et si les livres n'étaient justement pas un contrat de type web, mais le passage d'une oeuvre finie, repérable, mémorisée, indépendante entre un auteur et un lecteur, entre un éditeur (lui-même à l'initiative du livre) et un lecteur. Est-ce qu'un livre suppose obligatoirement une glose infinie sur lui-même "indexable, mixable, cherchable, scriptable, citable, annotable, commentable, agrégable, consommable, accessable"? Je ne pense pas que le livre est soluble (dissolvable?) dans le web. Amazon, Barnes and Noble (et Apple demain) ne se posent pas trop la question en "singeant le papier" avec un contrat de lecture simple qui n'a rien à voir avec le web justement. Un livre, je vous le délivre en vingt secondes sur votre téléphone ou votre Kindle/Nook. Il semblerait que cela garde du sens et rencontre un certain nombre de lecteurs intéressés. Je me demande aussi si Marc Lévy a envie ce week-end d'échanger, de répondre à 300.000 lecteurs, voire de modifier son texte lundi matin? Le débat est ouvert...

PS: pour ceux qui auront du mal à lire complètement le billet, voici un fichier fini et exportable justement, une bonne alternative à l'imprimante.

@ photographie: Muriel Taragano (Espace Mica).


Sony PRS-600: nouveau test

Tetlogo01net Test complet du Sony PRS-600 sur 01Net, sentiment en demi-teinte une nouvelle fois, un livre électronique qui séduit mais ne convainc pas: "Dès l'ouverture du premier livre, le manque de contraste de l'écran surprend et les caractères semblent manquer un peu de netteté. La qualité est légèrement dégradée par rapport au Kindle. Ce désagrément est lié à l'interface tactile en surcouche de l'écran qui nuit légèrement à la qualité d'affichage. Ce n'est pas rédhibitoire mais, à l'heure du choix, autant en être bien conscient. Les livres numériques qui s'appuient sur la technologie e-Ink ne disposent pas d'écrans rétro-éclairés. Comme pour un vrai livre, un éclairage correct est donc requis. Selon l'endroit où se situe la source lumineuse, des reflets peuvent gêner la lecture. Pas de recette miracle: à chacun d'orienter le Reader de façon à limiter au maximum cette gêne". A l'heure où Sony s'apprête à sortir un modèle connecté Daily Edition avec le même écran, on va retrouver aussi les mêmes réserves.

Netronix avec Texas Instruments

Netronix La société Netronix, l'un des leaders parmi les fabricants de livres électroniques (il n'y a qu'à voir le nombre de modèles qu'ils préparent sur leur page) travaillerait en partenariat avec Texas Instruments pour développer de nouveaux modèles sous Android connectés avec son téléphone portable. Faire son choix, acheter sur son téléphone et envoyer automatiquement sur son livre électronique. Tous les acteurs de l'électronique grand-public sont en train de plancher sur des projets ePaper connectés (via Digitimes).

Dix prévisions pour 2010

Prévisions J'avais prévu de vous traduire les 10 prévisions de l'Institut Forrester Research pour l'année 2010 publiées sur le site PaidContent. Alexis sur eBouquin a été plus rapide que moi, bravo! Tout me semble très juste même si j'ai quelques doutes sur la mise en production au stade industriel des autres technologies concurrentes à l'eInk qui va elle-même encore progresser. Tous les grands acteurs Amazon, Sony, Barnes and Noble vont capitaliser sur les livres électroniques qui viennent de sortir. Mais bon, je ne suis pas devin, ni aux conseils d'administration de ces grandes marques. Amazon avec incontestablement un coup d'avance. D'autres acteurs vont aussi entrer, je pense notamment à Samsung. Attendons de voir les nouveaux modèles d'Irex, PlasticLogic. Quand à la fameuse "tablette Apple", elle développe tous les fantasmes mais la réalité du prix de revient est en train de rattraper tout le monde (voir Digitimes). Deux modèles pour l'instant évalués entre 800 et 2000 dollars à la vente. Même si les opérateurs et les groupes de presse mettent la main au porte-feuille pour baisser de moitié (et encore, cela me parait bien difficile à avaler). Tout cela pour lire de la presse, des magazines et des livres? Les tablettes vont être chères, très chères, pour une utilisation qui reste encore très marginale pour le grand public, surtout dans ce contexte de crise mondialisée. Ils ont déjà des téléphones et des ordinateurs portables irremplaçables. Des petits livres électroniques peu chers, la bonne voie pour le papier électronique, on le sait depuis le début. Pourquoi le Kindle et autres ont-ils un tel succès? 200/250$, des prix qui commencent à convaincre avec des offres intéressantes associées. Plus, c'est pas la peine de s'échiner comme on dit. En tout cas, une chose me parait sûre, nous allons avoir une multitude de propositions de lectures numériques de plus en plus agréables, disponibles en temps réels, en petits, en grands formats et qui vont encore se rapprocher de l'expérience du papier. Et les journaux et les livres en papier de continuer leurs chemins, bien sûr.

Zinky et son petit prix

4140637215_33b800f9ba Clément sur eBouquin a pu testé le Zinky avec son tout petit prix incroyable de 79€ jusqu'au 10 décembre sur Zebook. Attention, c'est un livre électronique au seul format PDF (à condition qu'ils soient convenablement formatés), qui n'ouvre pas vers le format ePub qui constitue l'offre essentielle sur l'ensemble des sites. C'est un modèle (eRead/Netronix) qui date de plusieurs années, celui que proposait par exemple la société Ganaxa avec l'offre des Echos il y a deux ans maintenant. Les Derniers jours d'un condamné.... Vous me direz, à ce prix-là, une bonne façon de commencer à moindre frais! Personnellement, j'aurais préféré que Zebook noue un partenariat avec Bookeen et son Opus et des offres intéressantes d'éditeurs associés! Allez, un effort!

Irex Technologies récompensé

Irex Le livre électronique Digital Reader 1000S de IrexTechnologies va recevoir le "Goed Industrieel Ontwerp" un prix néerlandais décerné par la société GBO qui récompense des produits innovants tant au niveau du design, de l'innovation que des fonctionnalités et de la qualité de fabrication. Qualités que l'on retrouvera sans aucun doute sur le prochain livre électronique de la marque. Le communiqué de presse ici.