171 notes dans la catégorie "Google"

Google Play: tous les livres

GoogleplayDéjà premier bibliothécaire du monde, Google entre de plein pied dans le monde de la librairie. Et comment! Avec l'arrivée massive des livres sous droits des éditeurs français, conjuguée avec tout ce que Google avait déjà numérisé avec son programme GoogleLivres, Google dispose désormais du plus vaste fonds de livres numérisés francophones. L'effort entrepris depuis décembre 2004 se concrétise aujourd'hui. De quoi affirmer sans ambages "Tous les livres sont sur Google Play" et être proche de la réalité numérique. Beaucoup de retours déjà d'utilisateurs depuis hier qui font part de l'ergonomie exceptionnelle. Alors que tout avait pédalé dans la semoule du côté des éditeurs avec Apple, Amazon, Fnac/Kobo au démarrage, tout fonctionne à merveille avec Google. Sobriété et efficacité du design, aperçus, commentaires, etc. Certains m'ont même dit qu'ils ne s'étaient occupés de rien! Absent du marché jusqu'ici, Google va bouleverser complètement la donne.

GoogleUn point d'entrée, mais les deux univers web et marchand ne sont pas étanches, essayez de taper Marc Lévy sur GoogleBooks et hop, direction GooglePlay, passage en caisse. Sur le moteur de Google lui-même, les pages n'arrivent pas encore, mais jusqu'à quand? Test sur ma tablette Asus Transformer ce soir, en attendant la version JellyBean, merci Asus. La question est aussi de savoir comment on peut disposer de sa bibliothèque sur ses livres électroniques avec Adobe en intermédiaire. A suivre...


Google se paye la critique

ChequeAvec l'ouverture Google Play, Google ne s'est pas seulement contenter des livres. Il a aussi "négocié" le luxe des critiques de livres; Babelio, Goodreads, MyBoox, Fnac, sans doute d'autres encore, déversent leurs contenus. En une seule journée, Google prend tout d'un seul coup. Bienvenue, vos critiques à tous sont désormais sur la librairie Google.

PS: Cris d'orfraies, mon billet soulève certaines "ambiguités", Google n'aurait payé personne. Quoi, toucher de l'argent de Google, vous n'y pensez pas! Eh bien justement, c'est ce que tout un chacun est en mesure de penser pour récupérer ainsi tous les post-it jaunes sur les tables. Google aurait eu l'autorisation "bienveillante" des uns et des autres, bravo Google. Dommage que les mêmes "ambiguités" ne se soient pas poser pour d'autres librairies numériques. Il y a décidément Google et les autres!

PS: Acte militant. Impossible de donner son accord pour passage sur GooglePlay, j'ai supprimé mes critiques de Babelio ce soir, vous ne pourrez pas lire la suite, dommage.

Babelio


Google Play: le marché du livre est ouvert

GoogleplayJe vous l'avais annoncé, mon éditeur "informé" avait raison avant-hier, mes sources sont toujours bonnes. Google Play vient aujourd'hui d'ouvrir les vannes aux livres français, les éditeurs s'engouffrent, Hachette, Editis, Gallimard, etc. Ils seront tous là très bientôt, c'est évident. Un peu plus de deux après Apple, neuf mois après Amazon, le troisième larron américain est dans la place. Il semble bien loin le temps où Google était perçu comme le grand méchant loup par l'édition française. Date toujours, une semaine à peine après la fermeture de 1001 libraires. Quand je pense aussi que certains libraires numériques pionniers n'ont toujours pas l'offre Hachette...

Quand le géant mondial de l'internet se met à vendre des livres, cela risque de peser de manière importante. 18 juillet 2012, retenez-bien cette date, heureusement que Google n'a pas choisi la fête nationale par provocation. "L'Art du Jeu" de Chad Harbach chez Lattès, premier livre affiché, prémonitoire!


Google Play: les livres asap

GoogleplayPetite indiscrétion d'un éditeur "informé" ce matin, l'ouverture de Google Play aux livres en France, il semblerait que ce soit une question de jours maintenant. Aux Etats-Unis, Google et Asus auraient éclusés plusieurs centaines de milliers de tablettes Nexus 7 en quelques heures seulement, voir le billet de Blogeee. [Nexus 7 (et ses clones) + Google Play], un cocktail sans doute gagnant à la rentrée prochaine.


Google Nexus 7, maximus 15

BucksIntéressante analyse sur ZDNet. 15 petits dollars, c'est le maigre profit de Google sur sa prochaine tablette Nexus7. Contre 46 dollars pour celle d'Amazon avec une tablette actuellement moins performante. Il va falloir en vendre des contenus pour que le jeu en vaille la chandelle! Est-ce qu'Apple se décidera à changer de stratégie avec une petite tablette low-cost tant il tire l'essentiel de ses colossaux profits sur le matériel lui-même? Un gateau mondial des contenus à se partager à trois entre amis?


Nexus 7 : Et la tablette Google fut

Nexus-7Difficile d'y échapper, tout le web bruisse de l'annonce de la nouvelle tablette de Google. A l'occasion de sa conférence des développeurs, qui se tient actuellement en Californie, le géant de l'internet a confirmé aujourd'hui le lancement de sa tablette tactile, la Nexus 7. Dotée d'un écran de 7 pouces équivalent au Kindle Fire d'Amazon (contre 10,1 pour l'iPad), elle intègre un processeur Tegra 3, avec une version Android 4.1. Elle sera commercialisée via la boutique en ligne Google Play et sera disponible dès jeudi aux Etats-Unis, au Canada, en Angleterre et en Australie, pour n'être livrée qu'à partir de la mi-juillet. L'appareil sera fabriqué par le groupe taïwanais Asus. Prix à 199$ qui la place frontalement en concurrence avec celle d'Amazon. Avec la fabrication Asus, le meilleur d'Android, la boutique Google Play avec ses 6000 applications et les contenus qui vont se déverser dedans, le moteur et les extentions de Google... Il manque quoi? Une tablette qui va sans aucun doute marquer un tournant sur ce marché qui se cherche par rapport à l'iPad qui reste la tablette de référence. Plusieurs vidéos commencent à circuler. A lire l'excellent billet chez Blogeee.


Google Livres au pays de Gutenberg

Teaser_google_booksL'Europe des livres en voie de conquête par Google. Après l'Italie il y a quelques semaines, GooglePlay ouvre sa boutique de livres en Allemagne aujourd'hui. Le communiqué de Google est ici. Beaucoup d'éditeurs allemands au rendez-vous. Déjà plusieurs centaines de milliers de livres disponibles sur tous les écrans couverts par Google, c'est à dire beaucoup.


Google: le loup devient mouton

MoutonC'est décidément bien fini le grand méchant loup Google dans le monde du livre français. Le SNE (Syndical national de l'édition) a enterriné ce matin un accord cadre avec Google mettant un terme à six années de défiance de l'édition française vis-à-vis du géant américain et de son programme GoogleBooks. Après Apple, Amazon, le troisième acteur est en place. On leur trouve décidément bien des vertus ces groupes américains pour porter le livre français à travers le monde. En route pour GooglePlay!

 Communiqué de l'AFP aujourd'hui:

PARIS — Les éditeurs et auteurs français se sont réconciliés avec le géant américain Google après six ans de contentieux, en concluant des accords-cadre sur la numérisation des livres qui ne sont plus disponibles à la vente mais toujours sous droits.

Ces accords annoncés lundi entre Google et le Syndicat national de l'édition (SNE), regroupant près de 600 éditeurs, ainsi qu'avec la Société des gens de lettres (SGDL), représentant 6.000 auteurs français ou francophones, mettent un terme aux procédures judiciaires entamées en 2006 qui ne se poursuivront pas en appel.

Concrètement, Google et les éditeurs vont établir des listes d'oeuvres numérisables en échangeant des données et déterminer si tel ouvrage appartient bien toujours à l'éditeur et s'il n'est plus disponible à la vente. Une fois la liste établie, ce sera à l'éditeur de décider si l'oeuvre peut être référencée par le moteur de recherche et autorisée à la vente en livre numérique.

Les éditeurs pourront demander le retrait d'une oeuvre déjà numérisée par Google ou en interdire la numérisation. L'éditeur pourra commercialiser ou non ces ouvrages via la plateforme Google.

"C'est à présent à chaque éditeur de décider s'il souhaite ou non, pour lui-même, signer un accord-cadre avec Google dans le respect du droit d'auteur", a indiqué le président du SNE Antoine Gallimard lors d'un point presse.

L'éditeur aura aussi la possibilité d'exploiter cet archivage par exemple pour des impressions à la demande, a précisé Philippe Colombet, directeur du Google Livres France. "Ce seront aux auteurs et aux éditeurs de décider de la commercialisation", a-t-il résumé. Les fichiers numériques resteront propriété intellectuelle de l'éditeur. Le fruit de la vente des ebooks sera partagé entre Google, les éditeurs et les auteurs.

Cet accord "constitue une étape-clé dans nos relations avec les acteurs français du livre. Toutes les conditions sont ainsi réunies pour que Google participe au développement du livre numérique en France et contribue au rayonnement de la culture française", a souligné M. Colombet.

"C'est la fin du litige avec Google et c'est une nouvelle page qui s'ouvre entre les éditeurs français et le moteur de recherche (...), un accord porteur d'avenir pour la mise au jour du patrimoine imprimé français sous droits et l'élargissement de l'offre de livres numériques", s'est félicité Antoine Gallimard.

Google s'était attiré les foudres du monde français de l'édition en numérisant des milliers d'ouvrages sans l'autorisation de leurs éditeurs ou de leurs auteurs, les conduisant à attaquer le moteur de recherche en justice pour contrefaçon.

Une procédure avait été ouverte par La Martinière-Le Seuil, rejoint par le SNE et la SGDL, contre le programme de numérisation du géant américain.

Le groupe La Martinière s'était retiré en août 2011 de la procédure, après avoir signé une transaction prévoyant que Google demande l'autorisation de numériser les ouvrages épuisés. En novembre 2010, Hachette Livre (Lagardère), qui n'avait engagé aucune procédure, avait déjà ouvert la voie en annonçant un protocole d'accord sur les mêmes bases, signé avec Google en juillet 2011.

Toutes langues confondues, le géant américain a numérisé quelque 20 millions de livres depuis 2005. Le nombre d'ouvrages concerné par le nouvel accord-cadre n'est pas encore connu.

Parallèlement, Google apportera son soutien financier à une opération lancée par le SNE, "Les petits champions de la lecture", destinée à promouvoir le plaisir de lire à haute voix auprès des élèves de CM2.

PS: petit commentaire d'Affordance sur twitter, quand le loup se déguise en mouton, le conte nous apprend que c'est pour mieux masquer son appétit!


La tablette Google pour juillet

TabletgoogleLa fameuse tablette Google, ce serait pour juillet prochain. Un timing qui correspondrait avec la montée en puissante de l'offre GooglePlay et les accords conclus avec les éditeurs. La tablette, un modèle 7 pouces en mesure de concurrencer celles d'Amazon et de Barnes and Noble. Prix entre 150 et 200$, entre 2 et 2,5 millions d'exemplaires seraient programmées pour cette année (via DigitalTrends et PrésencePC).


La saga Google Books

DallasA quelques semaines de la sortie de Google Play, on en est où de la saga Google Books. Redocumentation de l'ancien monde, coup de génie ou boulet? Merci à Olivier, notre papy Google à tous, qui nous récapitule tout depuis 2004. Vous imaginez, Facebook était tout juste né...

PS: puisque l'on parle de 2004, c'est la semaine des anciens combattants, ce billet de ExtremeTech que j'avais repéré à l'époque, daté du 24 mars, qui annoncait la sortie du premier livre électronique sur le marché japonais. Merci au WebArchive, cliquer dessus pour agrandir.

2004


Google Giocare, en Italie d'abord

ItalieNous aurons eu le Kobo avant nos amis italiens, ce sera le contraire pour l'offre de livres numériques de Google. Google Play vient en effet d'ouvrir en Italie sa boutique de livres, c'est le premier pays européen. De nombreux éditeurs, Mondadori, Einaudi, Piemme, Rizzoli, Bompiani, Adelphi, Longanesi, Guanda, Garzanti et Feltrinelli, parmi une centaine d'autres sont présents dans la boutique. L'immense marché des smartphones et tablettes Android dans les startings blocks pour l'arrivée du grand bazar des contenus culturels, où les livres ne seront pas forcément la destination favorite des utilisateurs. Quand on dit play, c'est surtout jouer, et cela dans toutes les langues. En France, l'ouverture de Google Play ne saurait tarder comme on dit... (via CNet).


Le Kindle Fire truste films et séries télévisées

Amazon_Kindle_FireAprès l'iPad d'Apple toujours très loin devant sur le marché des tablettes, Amazon tient maintenant solidement la deuxième place aux Etats-Unis enfonçant un peu plus la concurrence Android qui récupère des miettes. Pas forcément une bonne chose pour Google, le Kindle Fire embarquant en effet une version profondément modifiée du système Android. «C'est officiel: Google a perdu le contrôle du marché des tablettes Android», titrait jeudi le site spécialisé Business Insider. La cible des tablettes, films et séries télévisées, le marché explose Outre-Atlantique:

"Pour Amazon, cette stratégie s'avère en tout cas payante. Comme il y est déjà parvenu dans les livres électroniques avec le Kindle classique, le Kindle Fire lui permet en effet de vendre davantage de contenus au format numérique, notamment des films et des séries télévisées. «Les clients achètent beaucoup de contenus, on le voit particulièrement en Amérique du Nord avec la vente de biens culturels entre le quatrième et le premier trimestre qui s'accélère», explique ainsi le directeur financier du groupe, Tom Szkutak. Sur l'ensemble du trimestre, selon les chiffres annoncés jeudi, les ventes de biens culturels sur Amazon ont progressé de 19% à 4,71 milliards de dollars, alors que les ventes d'autres marchandises et d'appareils électroniques ont bondi de 43% à 7,97 milliards de dollars. La bonne surprise est venue du bénéfice, en recul de 35% par rapport à la même période l'an dernier (130 millions de dollars), mais largement supérieur aux attentes des analystes. Vendredi, l'action progressait de plus de 15% à l'ouverture de la Bourse de New York" (via LeFigaro).

Une raison de plus pour Google de s'activer sur sa tablette!

PS: pour les petits malins qui succomberaient aux tablettes low-cost, attention aux arnaques, lire le billet de TabletteTactile.


Google Drive en rival de Dropbox

GoogleGoogle propose désormais un stockage disponible dans les nuages GoogleDrive qui s'apparente très fortement à son concurrent Dropbox. 5Go offert, de quoi sérieusement en mettre comme on dit. Un service en plus pour ceux qui sont déjà très fortement dans l'environnement global Google, est-ce que les autres voudront y venir en rajoutant une couche supplémentaire? Après la confrontation Facebook/Google+, le cloud enjeu de toutes les convoitises. Un peu schizophrénique tout cela. Lire le billet du côté d'Affordance, l'observateur Google par excellence.

PS: pour ceux qui réfléchissent à une offre payante, lire le billet de Presse-Citron; j'avoue que j'y songe de plus en plus pour me simplifier la vie.


Google lâche les libraires

BookstoreA quelques semaines de l'ouverture du programme Google Play Livres en France, à signaler l'abandon du programme de Google en partenariat avec les libraires, initié en 2010 aux Etats-Unis et dans le monde entier. Pas de rentabilité, on passe à autre chose. Billet sur MediaBistro hier:

"Google mettra fin à son programme de revendeur qui permet à des librairies indépendantes de vendre des ebooks  via la plateforme de Google. A partir du 31 Janvier 2013, Google Play sera l'unique façon d'acheter des livres numériques via Google.

Google a expliqué dans un message: «Avec le lancement de Google EBooks en 2010, nous avions introduit une approche multi-facettes pour la vente des ebooks: en ligne, sur les appareils, à travers le biais de filiales et de revendeurs. Cet effort - le programme de revendeur - n'a pas gagné l'adhésion que nous espérions, nous avons donc pris la difficile décision d'y mettre fin d'ici la fin de janvier de l'année prochaine".

Le président de l'ABA (American Booksellers Association), J. Oren Teicher, a transmis la nouvelle dans un mail aux membres. Nous avons reproduit le message ci-dessous de l'ABA qui a également crée une FAQ pour les libraires en recherche pour plus d'informations.

        Cher Libraire

Nous avons été informés mardi après-midi par Google de l'arrêt du programme "Google eBooks revendeur", dans le monde entier, à compter du 31 Janvier 2013. Comme vous le savez peut-être, le programme revendeur est le programme de Google en tant que grossiste d'ebooks à de nombreux détaillants en ligne, y compris IndieCommerce, ainsi que Powell et d'autres partenaires aux États-Unis et partout dans le monde, y compris les partenaires au Canada, au Royaume-Uni, en France et en Australie. La décision de Google de cesser le programme est, par conséquent, beaucoup plus grande que juste IndieCommerce et les utilisateurs de notre produit. Après le 31 Janvier 2013, Google vendra des livres électroniques par le Google Play uniquement.

Pour dire le moins, nous sommes très déçus par la décision de Google, mais, nous avons toute confiance que, bien avant que le programme revendeur de Google soit interrompu, l'ABA sera en mesure d'offrir aux utilisateurs IndieCommerce une nouvelle alternative de ventes d'ebooks, ou le choix de produits, qui permettra non seulement de remplacer Google eBooks car il travaille actuellement sur les sites IndieCommerce, et ce sera à bien des égards un meilleur produit.

Dès le début, nous avons observés certaines réalités dans notre travail avec Google. Comme toute énorme multinationale, Google a des intérêts qui vont bien au-delà des librairies indépendantes, et le monde du livre au sens large, et, à certains moments, il y a un manque de compréhension de nombreux principes de base de notre industrie. En outre, reconnaissant que ce n'est jamais avantageux de trop compter uniquement sur un seul fournisseur, pendant toute la durée de notre relation avec Google, l'ABA a été activement engagé à parler à de nombreux autres partenaires potentiels de l'industrie, au cas où le besoin se ferait sentir de remplacer ou de compléter l'offre de Google.

Comme vous le savez, nous avons un partenariat avec Google en 2010 parce qu'il était le seul moyen viable pour nous d'entrer dans le marché de l'e-book, mais, comme tant d'autres dans notre industrie, les choses ont changé rapidement, et nous avons des options qui n'ont que nous n'avions pas il y a 18 mois. Alors que nous savons que notre volume de ventes de livres électroniques sera modeste, nous savons aussi que d'être en mesure d'offrir des livres électroniques à nos clients est un élément indispensable de l'offre web pour n'importe quelle librairie, et cette capacité a contribué à générer du trafic en ligne qui a contribué elle-même une hausse des ventes globales. En outre, nous avons tous beaucoup appris sur la vente de livres électroniques dans la dernière année et demie, et nous sommes impatients de la possibilité de construire un produit amélioré.

Nous sommes totalement engagés à fournir aux magasins IndieCommerce les moyens de continuer à vendre des livres électroniques, et, au minimum, nous nous attendons à aller de l'avant rapidement avec un ou plusieurs partenaires qui permettront de mieux comprendre - et qui sera de maintenir des liens plus étroits à - vos magasins, et l'industrie du livre en général.

Nous reconnaissons qu'il s'agit d'un développement significatif, et je tiens à souligner que, dans cette période de transition, Google eBooks continuera d'être disponible via vos sites Web. Nous avons aussi tout lieu de croire que les e-books achetés auprès de votre magasin va persister dans les comptes Google de vos clients après la fin du programme revendeurs. Nous allons partager les détails supplémentaires dès que nous les apprenons.

Je sais que le changement peut être déconcertant et perturbateur, mais avec la participation du Conseil ABA, notre Groupe de travail numérique, et notre commerce indépendant du Conseil consultatif, nous passerons à travers cela, et, en fin de compte, je suis convaincu que nous serons en mesure d'offrir un meilleur et plus robuste service de ventes d'ebooks."


ePresse: 10 publications/ seconde

EpresseSelon le responsable au téléphone ce matin, 10 publications/ seconde téléchargées en ce moment sur ePresse (11 titres proposés gratuitement en test cette semaine), l'application elle-même dans le tiercé toutes catégories sur Apple et GooglePlay. La distribution numérique de la presse française est en marche...


ePresse: nouvelles offres sur toutes les tablettes

Logo Epresse 512x512 pxNous l'attendions depuis plusieurs mois, annonce aujourd'hui du côté du portail de la presse française, le GIE ePresse ouvre de nouvelles offres de journaux et magazines au travers d'applis sur toutes les tablettes, choix entre achat à l'acte et achat de "packs" à la journée, à la semaine ou au mois. Tous les détails sur le communiqué de presse.

Communiqué de Presse, Paris, le 5 avril 2012

ePresse.fr,  la presse en liberté sur tous les écrans numériques

Le GIE ePresse ouvre ce jeudi 5 avril la version triple play de son kiosque, désormais utilisable sur tous supports (ordinateur ainsi que mobile et tablette sous iOS et Android) avec des offres adaptées à tous les types de consommation de la presse, donnant à l'utilisateur une liberté totale dans ses choix de lecture.

Désormais, les utilisateurs d’ePresse pourront retrouver les journaux et magazines achetés sur leur PC ou depuis leur tablette sur tous les autres supports numériques en leur possession, via un seul achat et une seule inscription.

Les internautes et mobinautes auront également le choix entre l'achat à l'acte, et l'achat de "packs" à la journée, à la semaine ou au mois, mêlant en un seul bouquet l'essentiel des quotidiens nationaux désormais complétés des news magazines. L'offre proposée se veut à la fois simple, ouverte, adaptée aux habitudes de lecture des consommateurs en les suivant dans leur vie de tous les jours. Le lecteur, tout en conservant le confort de lecture habituel de ses journaux et magazines préférés, bénéficie de tous les atouts du numérique: moteur de recherche, revue de presse quotidienne, alertes personnalisables, livraison dès 5 heures du matin, archivage.

Pour simplifier l'expérience des consommateurs, le GIE a également choisi Pour simplifier l'expérience des consommateurs, le GIE a également choisi de multiplier les moyens de paiement disponibles, de la carte bancaire aux paiements Internet+ sur facture mobile ou internet auprès des opérateurs (Orange, Bouygues télécom et SFR) via un accord de partenariat technologique avec HiMedia qui met à disposition du GIE ses offres AlloPass et HiPay.

Le GIE décide également d'ouvrir sa plateforme à de nouveaux clients via des accords de distribution ou de référencement auprès d'Orange, Bouygues Télécom et WebLib.

Toujours dans ce souci de simplification, la plateforme ePresse permet aux utilisateurs de s’identifier avec leur identifiant habituel (Gmail, Facebook, Twitter, OpenID, compte Orange, etc), cet identifiant étant indépendant du moyen de paiement choisi.

Enfin, le kiosque s'enrichit avec l'intégration dès le 5 avril de La Croix et de Challenges, puis, d'ici quelques semaines, de L'Humanité, de La Dépêche du Midi, du Temps, du Figaro Magazine, de Midi Olympique, de l'Equipe Magazine et de France Football.

La plateforme ePresse est bâtie sur les technologies développées par miLibris et par SDV Plurimédia.

Le GIE poursuit en parallèle l'étude de projets pilotes avec ses partenaires Orange et Google, ainsi qu'avec Amazon, notamment autour d'outils d'agrégation des contenus de la presse.

Pour Xavier Spender, Président du GIE: «Face aux difficultés de la distribution physique des titres de presse, les éditeurs doivent trouver dans les éditions digitales un relai indispensable à leur croissance future. Cette évolution ne sera possible que si la valeur est légitimement partagée entre les acteurs. Le GIE ePresse par ses initiatives, dont le kiosque ePresse, a vocation à limiter la logique de prédation qui peut apparaître sur les réseaux.»

Pour Philippe Jannet, nouveau Directeur Général du GIE: «Ce lancement est la seconde étape du développement de cette formidable aventure qu'est ePresse. Nous allons pouvoir tester notre capacité à séduire de nouveaux lecteurs en leur apportant à la fois les atouts du papier, la mobilité et le partage, et ceux du numérique, la personnalisation, le temps réel, la recherche... Nous croyons fermement à l'innovation et à la liberté de choix pour convaincre de nouveaux clients. Et si notre démarche est encore proche du laboratoire, elle n'en est pas moins ambitieuse…»

Pour la première fois, les éditeurs des principaux titres de presse quotidienne nationale et magazine se regroupent sur un seul et même kiosque multi-écrans, afin de proposer des offres multi-titres à des prix abordables, ainsi que des services personnalisés en rapport avec l'actualité, accessibles depuis le site internet ePresse.fr.

A découvrir sur iTunes ici, sur GooglePlay ici, avec des quotidiens et magazines à télécharger gratuitement toute la semaine.

Offres pack


Google avance sa tablette

GoogleOffensive de Google qui va proposer sa tablette avant l'été avec un prix entre 150 et 200$ en partenariat avec Asus. Un format réduit proche de celle d'Amazon, uniquement vendue par correspondance. Le bras de fer avec Apple et Amazon est lancé avec déjà des offres qui commencent à poindre à l'horizon. La vidéo à la demande au travers du magasin Google Play conforté par YouTube (voir LeFigaro), on trouve déjà Tintin et Le Secret de la Licorne à louer à 3,99€ et 4,99€ en HD. L'Ina a annoncé la mise en ligne de 57 000 vidéos sur YouTube. La bataille va être rude entre les trois géants, il va rester des miettes pour les autres. L'offre musique devrait suivre elle aussi. Côté livres, cette tablette devrait acter aussi en France l'entrée en lice de la firme de Mountain View dans le monde des livres numériques. D'après «Livres Hebdo», les éditeurs qui participent au programme «Google Livres» auraient été contactés il y a peu pour signer un avenant concernant la distribution de leurs livres en version numérique sur la plate-forme Google Play. Le directeur de Google Livres France, Philippe Colombet, a confirmé l'information. Il est bien loin le temps du diable Google chez les éditeurs (via LeMonde).


Aldiko ouvre sa librairie sur Android

AldikoNouvelle interface sur Aldiko, l'une des applications-phares de lecture sur smartphones et tablettes Android, proche visuellement d'iBooks avec une compatibilité Honeycomb. Ils profitent de l'occasion pour ouvrir une librairie bien achalandée, tous les éditeurs semblent là, Editis, Eden, Immatériel, Publienet, etc. Qui dira que les français sont en retard! Sans doute merci Monsieur Google. Vous pourrez retrouver aussi à gauche les librairies Feedbooks, O'Reilly, AllRomance et Smashwords. Sur l'Asus Transformer, c'est impec.

L'application permet l'importation de livres numériques directement à partir d'un navigateur, d'une pièce jointe d'email ou d'une application tierce comme Dropbox. Elle permet également l'ouverture des fichiers PDF à partir d'un mail reçu sur Gmail, sur un appareil fonctionnant sous Android 3.0. On peut bien entendu télécharger une application Premium toujours sur GooglePlay avec des fonctionnalités supplémentaires. La vidéo est en anglais mais ça marche très bien en français!

PS: conversation ce soir avec Hadrien Gardeur de Feedbooks qui m'a confirmé que c'est la librairie ODPS Feedbooks qui s'affiche par défaut, joli coup! Dans un premier temps, j'avais pensé que l'offre Hachette était intégré, erreur de ma part.


Google Play : tout en magasin

Le bruit a circulé un moment que Google Play serait une tablette. Nenni. L'Android Market devient Google Play, histoire de rappeler qui est le chef et contrôle les rayons:

"Aux Etats-Unis le changement est déjà bien plus conséquent puisque Google Play ne se contente pas d'être le nouveau nom du marché d'application: il désigne l'unification pure et simple de la plupart des services de contenus de Google. On y trouve donc Google Music, Google Books, Google Movies et les apps Android réunis au même endroit. Forcément, le choix est plus vaste aux USA où tous ses services sont déjà largement disponibles" (via Clubic).


Readium : solution open-source pour l'ePub3

ReadiumUne brique indispensable pour le développement du format EPUB3. A découvrir aujourd'hui Readium. C'est quoi Readium? "Readium, un projet de l'International Digital Publishing Forum (IDPF) et de ses partenaires, est un système open source de référence et le moteur de rendu pour les publications EPUB. EPUB est le format standard de l'industrie ouverte pour les livres électroniques et des publications numériques. La dernière version, EPUB3, est basé sur les technologies Web standards tels que HTML5, CSS, JavaScript, SVG, et le DOM. L'objectif global du projet Readium est de s'assurer que le logiciel open source pour la manipulation des publications en EPUB3, est facilement accessible; pour accélérer l'adoption de l'EPUB3 comme format de publication numérique mondial et universel. Readium est construit sur ​​WebKit, le moteur intégrable de contenu open source Web." A noter que vous pouvez télécharger une application sur le navigateur Chrome pour visualiser vos ePubs (via Teleread).