5 notes dans la catégorie "Oyster"

Libération : «Alors que Deezer rentre en bourse, le "Netflix du livre" ferme»

LibérationConversation à bâtons rompus avec Frédérique Roussel la journaliste de Libération ce midi. Nous avons parlé de Oyster, défunt "Netflix du livre". C'est déjà en ligne sur la page de Libération. Et vous, comment percevez-vous ces modèles d'abonnement pour le livre? Ravi d'en débattre avec vous.


Etats-Unis : Oyster, un "Netflix du livre" en moins

OysterL'offre d'abonnement de livres numériques Oyster va s'arrêter dans quelques mois aux Etats-Unis. Le temps de rembourser les abonnés. Pas de rachat, fermeture pure et simple. Un "modèle de demain" qui ne passera pas l'année. L'annonce a été faite hier. Créé en 2013, Oyster avait lancé le modèle de l'offre d'abonnement illimité, repris depuis par Amazon avec son offre Kindle Unlimited. L'équipe de Oyster devrait rapidement rejoindre les bureaux de Google pour certainement faire évoluer l'offre de livres dans Google Play. La fermeture de Oyster intervient deux mois après celle d'Entitle, un autre service d'abonnement. Il ne reste plus désormais que Scribd face à Amazon sur ce type d'offre aux Etats-Unis (via TheVerge). A lire également l'excellent billet sur LeMonde. A réécouter les propos de Arnaud Nourry (PDG d'Hachette) sur France Inter en mars dernier: "Une formule qui ne va pas prospérer, je m'en réjouis".


La bibliothèque Oyster devient aussi une librairie

OysterOyster, le principal concurrent d'Amazon sur les offres d'abonnement illimitées aux Etats-Unis, a annoncé qu'il pourra désormais vendre les livres au titre. De bibliothèque, il devient dorénavant en plus librairie. Les catalogues d'Hachette, HarperCollins, MacMillan, Penguin Random House et Simon & Schuster sont concernés (nouveautés et pré-commandes) ainsi que d'autres éditeurs indépendants. Un exemple ici. Cette annonce n'est pas anodine de la part des majors américaines, marquant ainsi dans leurs conflictuelles négociations avec Amazon, que celui-ci n'a pas le monopole sur les divers canaux de distribution de livres numériques sur le marché américain. Reste à savoir si cette annonce pourra véritablement changer la donne face à un marché américain très largement acquis à Amazon et ses Kindle. En France, il va être intéressant d'observer si des acteurs comme Youboox ou Youscribe pourront obtenir la même chose des groupes d'édition pour rivaliser avec Amazon. Pour être tout à fait équitable, cela supposerait aussi que tous les libraires puissent dans le même temps proposer des offres en location avec des durées de prêts limités comme le fait déjà Iznéo par exemple. Passer de bibliothèque à librairie, et inversement. Dans un contexte d'encadrement des offres d'abonnement illimitées, c'est à suivre... (via Techcrunch).


Oyster dévoile des statistiques Android/ Apple

OysterL'application Oyster a fait son apparition sur les mobiles Android le mois dernier aux Etats-Unis. Lecture en streaming sous abonnement. Pour accéder aux 500.000 ouvrages référencés par l’application, il faut d’abord s’inscrire et insérer ses coordonnées bancaires. Un premier mois est offert. Il n’y aura débit que si l’utilisateur ne se désinscrit pas au terme des 30 jours qui suivent sa date d’inscription. L’abonnement est ensuite facturé 9,95$ par mois, pour de l’illimité. Oyster communique aujourd'hui sur son blog des premiers comparatifs Android/IOS Apple (via DigitalBookWorld).


Oyster lève des fonds

OysterLa société new-yorkaise Oyster a annoncé une levée de fonds de 14 millions de dollars aux Etats-Unis pour assurer son développement. Oyster propose un accès à toute sa librairie pour 9,95$ par mois. Le service se présente sous la forme d'une application gratuite, disponible sur l'iPhone et l'iPad d'Apple. En revanche Oyster n'est pas disponible sur Android, le système d'exploitation de Google, qui équipe pourtant plus de la moitié des smartphones vendus aux Etats-Unis. Côté éditeurs, pour l'instant seul Harper et Collins des Big 5 du marché américain est présent dans l'offre d'Oyster. Le "NetFlix du livre" exerce décidément bien des fantasmes chez les investisseurs (via Techcrunch).