Une tablette à 39,95€!

EreaderPierre Lecourt sur Blogeee toujours à l'affût des arrivages chinois. Il a déniché ce matin une petite tablette 5 pouces à 39,95€ sur CDiscount. Inovalley LE100 avec une technologie LCD qu'il avait déjà eu l'occasion de tester en import en septembre 2010. Depuis ce temps-là, elle aura fait la Route de la Soie. Record battu pour le prix! Attention, c'est bien une tablette, pas du tout de papier électronique là-dedans. Pour les performances, c'est pas l'iPad3 avant l'heure, c'est clair!


L'Ecole du livre jeunesse, c'est parti!

JeunesseJeunesse toujours décidément avec de janvier à avril 2012, l'École du livre de jeunesse, créée par le Salon du livre et de la presse jeunesse en Seine-Saint-Denis qui propose, dans le cadre du laboratoire des professionnels :

Trois journées d’initiation à la médiation,
• Un séminaire d’approfondissement sur les racines de l'album contemporain,
• Un colloque intitulé "Les méditations littéraires en question".

Les inscriptions à ces formations, destinées aux professionnels du livre, de l’éducation, de l’enfance, de l’animation, de l’action sociale, débutants ou confirmés, sont ouvertes.

> Pour télécharger le formulaire d'inscription "Le laboratoire des professionnels", cliquez ici
> Pour en savoir plus sur l'École du livre de jeunesse : l'atelier des parents, le laboratoire des professionnels, la fabrique des enfants, le carrefour de la jeune création..., et télécharger le catalogue complet des formations 2012, cliquez ici
> Pour connaitre les modalités d'affiliation à l'École du livre de jeunesse
Pour les villes du département de la Seine-Saint-Denis, cliquez ici
Pour les collectivités territoriales et villes hors Seine-Saint-Denis, cliquez ici
Pour les associations et relais du champ social, cliquez
ici

Tous à l'Ecole!


Pinocchio : une application chez Appicadabra

Slide_ipad_pino_000Une nouvelle application Pinocchio! Une de plus, certes, mais très originale et qui vaut la découverte! L’occasion de regarder le savoir-faire d'une jeune maison d’édition jeunesse basée à Toulouse, Appicadabra, ne pas se mélanger les pinceaux, à mettre vite en onglets.
Ce “conte à toucher” a été sélectionné parmi les 16 meilleures applications jeunesse au Salon du livre Jeunesse de Montreuil 2011. Avec plus de 70 illustrations d’auteur originales, des textes fidèles à l’oeuvre originale de Carlo Collodi. Cette application propose une interactivité simple et intuitive pour permettre aux plus jeunes d’être autonomes dans la consultation.

Disponible pour IPad (prix 2,99€) ici
Pour Iphone (prix 1,59€) ici

A signaler également le billet sur DéclicKids.


Bayard Jeunesse et Milan au Centre Pompidou

Sur votre agenda la semaine prochaine, ce sont les équipes de Bayard Jeunesse et Milan qui vous invitent avec vos enfants au Centre Pompidou à l'Atelier des Enfants. C'est le mercredi 11 janvier. Venez découvrir le numérique pour les plus jeunes, le secteur le plus créatif. Un enfant repartira même avec son iPad!

Attention: réservation indispensable au 01.74.31.65.77 ou [email protected]

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Comme des petits pains

Petits painsTiens, elles se vendent comme des petits pains selon l'expression dans Challenges. Il semble que le bouche à oreille fonctionne et que les premiers lecteurs s'y retrouvent. Pas encore de chiffres, mais il devait y en avoir beaucoup sous les sapins. Les liseuses ringuardes, ces petites machines à qui l'on prédisait il n'y a pas si longtemps de tomber dans les oubliettes de l'histoire. Pas d'odeur de sapin finalement. On parle même de lecture réinventée, c'est dire...


« Ah, Bartleby! Ah, humanité! » - n°42

MagrittePour commencer la nouvelle année dans la bonne humeur, cette chronique de Thierry, merci!

« Ah, Bartleby! Ah, humanité! »

«Bartleby», une nouvelle de Herman Melville
(oui, c’est bien lui, Melville, lui-même, l’auteur de Moby Dick!)
Format epub téléchargé gratuitement chez Publie.net

MelvilleLe titre original de cette dérangeante et hilarante nouvelle de Melville parue en 1853 est «Bartleby the Scrivener, A Wall Street History».
Le narrateur de cette histoire absurde est un homme de loi des célèbres bureaux de Wall Street. Il engage un scribe (un copiste quoi!) nommé Bartleby. Travailleur acharné ce fameux (fumiste?) Bartleby se dévoile au fil des pages. Bizarre, bizarre, il répond systématiquement aux demandes de son patron (le narrateur) par cette phrase énigmatique: «Je préférerais ne pas.» (dans le texte anglais «I would prefer not to.»). De plus ce personnage loufoque suit un régime alimentaire très très curieux: il ne mange que des biscuits au gingembre! La suite devient presque dramatique, angoissante: Bartleby refuse de travailler, de quitter les lieux et répète à qui veut l’entendre la même phrase obsédante: «Je préférerais ne pas.»
De là à ce que le philosophe Deleuze dise de lui «Bartleby n’est pas le malade, mais le médecin d’une Amérique malade, le medecine-man, le nouveau Christ, ou notre frère à tous.», il n’y a qu’un pas!
Mais qui est ce Bartleby? Un tir au flanc? Un élément subversif? Un anarchiste? Un adepte de la réduction du temps de travail? Un anti productiviste? Un poison infiltré dans l’ultralibéralisme? Un gentil nihiliste? Le grain de sable qui enraye la machine économique?
Mais que nous dit-il cet irritant Bartleby? Que notre vie agitée ne vaut pas un clou? Que travailler plus pour gagner plus est un attrape-nigaud? Que nous allons droit dans le mur? Que notre «overbooking» est une illusion d’optique? A vous de choisir...
Alors? Que faire de lui? Le virer comme un malpropre? Prévenir les flics? Jusqu’où aller? Que va faire son patron? Aujourd’hui, par ce mauvais temps de crise, je ne donnerai pas cher de la peau de ce Bartleby... mais, mais... à vous de lire...

«Qu’entendez vous par là? Êtes-vous dans la lune? Je veux que vous m’aidiez à collationner ces feuilles, tenez.» Et je les lui tendis.
«Je préférerais ne pas», dit-il.
Pour déjouer une nouvelle année de crise dépressive rien de tel qu’un bon et réjouissant Bartleby! Imaginez un instant un Bartleby chez les traders!
Lu dans le cadre du club des Lecteurs Numériques.

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Arsène Lupin a bien été libéré

ImagesL'annonce avait été faite la semaine dernière, la célèbre série de Maurice Leblanc est désormais dans le domaine public, disponible gratuitement sur les sites québécois EbooksGratuits et BeQ. Un travail bénévole qu'il faut saluer à juste titre. A signaler également une reprise chez Publienet hier pour saluer l'événement. A vous de choisir, bonnes lectures!


La TVA baisse, pas les prix

We Can Do ItBon, la Tva sur le livre numérique a baissé depuis ce matin, passant de 19,6% à 7%. On nous l'avait juré nos grand dieux. Qu'en est-il sur les différents étals? On attendait ne serait-ce qu'un léger frémissement sur les plateformes de ventes, au moins le semblant d'une annonce de la part des éditeurs, seuls habilités à modifier les prix. Hormis les Editions Gallimard et quelques éditeurs du groupe qui avaient anticipé la baisse de quelques jours, c'est silence média complet. Rien de rien. Hachette, Editis, Flammarion, etc. Silence pesant. On est en train de nous refaire le coup de la restauration? Ah oui, c'est vrai, j'oubliais, c'est sans doute une histoire de difficultés liées à l'étiquettage. La question du jour: sur le différentiel de près de 12% que vous paierez aujourd'hui, s'il ne va pas à l'Etat, il va chez qui?

PS: pendant ce temps-là, Amazon a obtenu une Tva à 3% chez nos amis luxembourgeois, c'est la seule annonce du jour. Ils doivent bouillir chez Amazon!

PS: il semblerait que d'autres éditeurs aient procédé dans la journée à des baisses de prix; sans communiqués officiels, impossible de vérifier quoi que ce soit, je trouve que la moindre des choses est de prévenir le client comme l'a fait Gallimard.


Voyage au bout de la nuit : disponible au Québec

Celine1er janvier 2012, coup de tonnerre que j'attendais il faut bien le dire, le "Voyage au Bout de la Nuit" de Louis-Ferdinand Céline est désormais téléchargeable sur le site québecois EbooksGratuits qui respecte strictement la législation en vigueur avec un filtre basé géographiquement sur l'adresse IP. Son auteur décédé en 1961, l'oeuvre est tombée dans le domaine public au Québec. Interdiction est faite dans l'Union européenne et la Suisse. Bien entendu, le recours à un "proxy canadien" est à la portée d'un enfant de douze ans, "ça a débuté comme ça...". On rappelera aussi que malgré l'année commémorative qui s'achève, on cherchera toujours vainement les versions numériques des oeuvres de Louis-Ferdinand Céline chez Gallimard, son éditeur. On n'ose imaginer les mots qu'auraient eu Céline pour Gaston, lui qui se battait pour la disponibilité de ses livres en pléiade et en poche...

PS: à relire aussi les relations de Louis-Ferdinand Céline avec le Québec, qui viennent de s'enrichir aujourd'hui d'une nouvelle page. Un exil de plus pour le réprouvé de Meudon, visionnaire toujours:

«Un seul pays au monde résistera encore un siècle, celui où les curés sont rois, le Canada, le plus emmerdant de tous les pays… mais j’irai, je servirai la messe. J’enseignerai le catéchisme. Il n’y aura pas le choix si on veut sauver ses… et moi j’y tiens.»

PS: repris sur Slate, LePetitCélinien, merci


Kyobo eReader: cool ou pas cool?

Mirasol-vs-Pearl-2 825261195_MirasolvsPearl_122_507loPremier billet de cette année pour signaler le test du Kyobo Mirasol sur TheDigitalReader. Si l'écran est "very cool", tout ce qu'il y a autour est semble t-il pas du tout cool pour l'instant, avec des performances médiocres. Au secours donc. Sincèrement, je comprends assez peu Qualcomm d'avoir accompagné la sortie d'un premier modèle aussi peu flatteur. N'était-il pas préférable d'attendre un peu? Allez, la suite, vite. Lire aussi un témoignage sur MobileRead avec des tests d'éclairages.

J'en profite pour vous souhaiter une belle et heureuse année 2012! De belles lectures numériques à tous!


Kindle Fire : test bien mitigé

Amazon-kindle-fire-tablette,O-Z-318419-13Très gros succès pour le Kindle Fire, la tablette 7 pouces d'Amazon aux Etats-Unis, même si l'on ne sait pas trop où ce succès se situe exactement par rapport aux autres modèles de la gamme; à lire le test que lui consacre Tom's Guide. L'argument prix est bien là, mais est-ce que cela suffit? Coté lecture, le verdict est très mitigé, comme d'habitude sur les tablettes, le Kindle Fire ne fait pas exception à la règle:

Mais le Kindle échoue en ce qui concerne les livres numériques. L’écran LCD n’est pas adapté à de nombreux livres et on peut voir son reflet dans l’écran lorsqu’il y a un peu plus de lumière. Il a tout de même toutes les fonctions d’un livre électronique Kindle. Grâce à un menu local vous pouvez changer la typographie et les couleurs. Lorsque vous lisez des magazines vous pouvez passer facilement du mode Page View au Text View. Ainsi, comme pour n’importe quel autre modèle, il vous est possible de jongler avec le texte. Le visionnage du magazine dans son ensemble est agréable au niveau des photos, de la disposition, ou de la police. En revanche, vous ne pourrez pas lire un article en mode «Page View». Il ne reste plus qu’à zoomer et dézoomer le texte, mais cela n’est pas très pratique. 

En conclusion, est-ce que cela vaut 200$? Pas convaincu du tout.

Le Kindle est idéal pour lire des journaux au lit ou dans une pièce à faible luminosité, cependant son écran reflète beaucoup trop la lumière pour une lecture dans un lieu plus classique. Il est également assez agréable pour regarder des films, à condition de trouver un moyen pour ne pas tenir l'appareil dans ses mains. Les jeux téléchargés depuis l’Appstore d’Amazon tirent le meilleur parti de son écran tactile.

Pour ce qui est des défauts, tout d’abord son design n’est pas exceptionnel, et même si tous les contrôles sont présents sur l’écran, il manque des boutons sur le coté, notamment pour le volume. Sa mémoire limitée et les problèmes de téléchargement des vidéos diminueront quelque peu votre engouement.

Pour ceux qui souhaitent acheter une tablette bon marché (si toutefois elle sort en France), le Kindle représenterait une véritable alternative à Archos, d’autant plus si l’on est client d’Amazon.

IGénération faisait un peu le même constat fin novembre, dommage, c'est le "mot qui domine". Sur un marché européen où l'iPad (avec un nouveau modèle et une baisse de prix des anciens) et Samsung sont déjà bien établis, pas sûr que la tablette d'Amazon surfe sur le même succès et soit la machine à cash tant escomptée ici, à voir.


Samsung Galaxy Note : 1 million aussi!

Samsung-galaxy-noteDécidément, ce Samsung Galaxy Note n'a pas l'air de plaire qu'à moi. 1 million aussi d'exemplaires écoulés en seulement deux mois, et sans le marché américain! Sans aucun doute un standard du marché en puissance. Une "petite" tablette enfin mobile vraiment partout. Bon, il faut que je regarde où j'en suis de l'abonnement de mon portable... (via Echos du Net).

PS: ce chiffre d'un million ne serait pas le total de ventes mais la mise en place chez les revendeurs; je viens d'apprendre également que le GalaxyNote crée un nouveau segment de marché, celui des «phablet» la contraction anglaise de phone et tablet, ou encore celui des "tabletphones"? (via BusinessMobile).

Des liseuses et des fablettes! :-)


Amazon : 1 million de Kindle par semaine

Amazon-fire-touch-kindle-familyAmazon annonce aujourd'hui par communiqué de presse qu'il se serait vendu 1 million de Kindle par semaine durant le mois de décembre. Pas de répartition donnée entre les différents modèles de la gamme, l'ordre serait Fire/Touch/Simple. Sans surprise, le Kindle basique arrive en tête des ventes sur l'ensemble des marchés européens. Le même mois de décembre voit une augmentation de 175% des ventes de ebooks aux Etats-Unis par rapport à la même période l'année dernière.


Nouveau Monde: nouvel éditeur sans DRM

Logo_whiteUn nouvel éditeur qui se défie des DRM, ce sont les éditions Nouveau Monde. Nouveau Monde est une maison d'édition multisupport (CD-ROM et DVD, livres, e-books) fondée en l'an 2000. Elle se spécialise dans la publication d'oeuvres de référence et de recherche en Histoire et Sciences humaines, de corpus d’archives (images, textes et vidéos) et d'ouvrages culturels, le tout à destination du grand public et du monde scolaire/universitaire. Déjà présent avec des titres au format PDF, ils proposent désormais des livres au format ePub. 44 titres pour l'instant au catalogue numérique à travers EdenLivres, l'offre intégrant l'ensemble des revendeurs.

Dans vos choix de livres, je vous invite toujours à privilégier des éditeurs qui mènent ce combat contre les DRM, ces virus qui limitent vos droits à disposer des livres comme bon vous semble, à pouvoir les prêter à vos proches comme vous le faites avec vos livres imprimés. Ces éditeurs sont de plus en plus nombreux, de semaine en semaine, à bien comprendre les enjeux qui sont en cours. Ce rapport de confiance d'un éditeur envers son lecteur, important de le réaffirmer.


Kobo by Fnac : enlever le logo

Kobo-by-fnacUne petite astuce sympa ce soir. Le Kobo by Fnac a été beaucoup critiqué depuis quelques semaines pour la présence du logo Fnac qui apparaît automatiquement en mode veille. C'est vrai que ce n'est pas très heureux. Vous pouvez suivre les indications données sur le blog myfnacbook et faire apparaître la couverture du dernier livre ouvert. [Attention quand il est précisé "ouvrir le fichier affiliate.conf", il faut le faire avec l'éditeur de texte type WordPad ou autre que vous trouverez dans vos choix "ouvrir avec"].

PS: le blog myfnacbook supprimé

1) brancher le Kobo Glo (ou outre modèle) sur un ordinateur, ouvrir l'explorateur de fichier et aller dans le répertoire du Kobo
2) cliquer dans le dossier ".kobo"
3) vous trouverez un fichier "affiliate.conf"
4) ouvrez le avec un éditeur de texte de type notepad
5) dedans est inscrit : "[General] affiliate=fnac"
6) remplacer "affiliate=fnac" par "affiliate=kobo" ou "affiliate=logo"
6) enregistrez
7) débranchez et dès que vous mettrez en veille la couverture s'affichera.


Kobo bricole son ePub pour le rendre "propriétaire"?

BRICOLAGEOn se demande ce que Kobo bricole avec certains fichiers vendus sur le site de la Fnac. Un format ePub trafiqué pour le rendre "propriétaire"? Ce sont les observations auquelles se sont livrés plusieurs lecteurs avertis, notamment Hadrien Gardeur de Feedbooks, fin connaisseur de la norme ePub puisqu'il est lui-même membre de l'IDPF:

«Les problèmes notés sont graves et concernent potentiellement l’ensemble des livres électroniques en dehors de ceux de Kobo», explique Hadrien Gardeur. Avant de détailler qu’il est impossible, sur ces fichiers, de modifier la taille ou le type de la police, trop grande, tout comme les interlignages…

Pourquoi de tels soucis de lecture? C’est simple: certains livres électroniques vendus par la Fnac –qui a fusionné son catalogue avec celui de Kobo– utilisent un format propriétaire dérivé de l’ePub, conçu par Kobo et compatible uniquement avec ses propres liseuses. Ce format, baptisé Kepub, ajoute ou modifie des fichiers dans l’ePub afin de fournir des fonctions supplémentaires. Il permet, par exemple, comme le format AZW d’Amazon, de synchroniser les notes et signets effectués sur un premier appareil avec d'autres lecteurs Kobo."

Une galère dans laquelle se retrouve impliquée la Fnac malgré elle qui se passerait bien de cette publicité.

Le porte-parole de la Fnac a rappelé «qu’en tant que premier libraire de France, la mission de la Fnac était de proposer des fichiers lisibles partout». Elle s’est opposée à la logique propriétaire de «certains de ses concurrents» et a formellement démenti que cela était une stratégie pour favoriser son propre lecteur. Les clients qui se sont plaints de fichiers peu lisibles ont en tout cas été remboursés, la Fnac évoquant «un problème connu».

Que Kobo propose des solutions complémentaires à ses lecteurs, très bien. Mais que cela se fasse au détriment des personnes qui achètent à la Fnac pour d'autres modèles, pas question. Il va falloir être vigilant dans les mois qui viennent. On avait déjà les saletés de DRM, si c'est pour nous coller des couches de saletés "sociales" en plus...

De l'ePub sinon rien, on vous a dans le collimateur la Fnac. Et je pense que les éditeurs ont aussi leur mot à dire sur la question! (via 01Net).

PS: sur le twitter du responsable de Kobo en France: "En effet, on n'essaye pas de faire du Amazon, ça je le garantie". Ouf, nous sommes rassurés!

PS: fichtre, cela remonte même au journal officiel, en libre accès pour la circonstance!