372 notes dans la catégorie "Lecture"

Les livres enrichis pour les enfants en question

Child-with-ipadLes livres enrichis pas forcément si bons que cela pour les enfants. C'est ce que tendrait à prouver une étude réalisée par le Joan Ganz Cooney Center à New York auprès de 32 couples de parents d'enfants de 3 à 6 ans. Contrairement à des livres imprimés ou à des versions de livres numériques simples, les livres enrichis distraient les enfants de l'histoire et les empêchent de se souvenir des détails narratifs.

Le livre enrichi invite plus vers du non-contenu, des interactions connexes (par exemple lié au comportement ou à la parole, au mouvement des mains, etc.) pour les enfants et les parents que les livres simples. Toutes les fonctionnalités supplémentaires peuvent être sources de distraction. Les livres simples sont plus avantageux pour la construction à l'alphabétisation et la lecture à deux, les livres enrichis incitent à la participation et à l'interaction physique.

Les chercheurs avertissent que les concepteurs doivent faire preuve de prudence lors de l'ajout des fonctionnalités, en particulier lorsque ces fonctions ne se rapportent pas directement à l'histoire, et conseillent aux parents, aux enseignants de se démarquer des livres enrichis lorsque la priorité est l'alphabétisation, le renforcement des expériences qui vont au-delà du «juste pour le plaisir», parce que les fonctionnalités supplémentaires peuvent distraire petits et grands de l'histoire, affecter la nature de la conversation et la quantité de détails à se rappeler pour l'enfant.

Les livres enrichis trouvent malgré tout leur place. Les enfants semblent les aimer. S'ils peuvent engager des enfants qui pourraient ne pas être intéressés par la lecture, ils permettent d'atteindre un objectif important. "Dans notre étude, nous avons surtout cherché à mesurer la lecture des livres avec un accent sur l'apprentissage et la compréhension. C'est seulement l'une des nombreuses fins pour la lecture. Si le but est tout simplement de s'amuser ou d'explorer un conte classique d'une manière nouvelle, les livres enrichis sont intéressants."

Les chercheurs espèrent maintenant étendre l'étude avec un plus grand nombre de participants. La synthèse de l'étude est ici (via TheGuardian).


Le livre va s'éteindre?

1114-logo-eco-copierA lire l'article "Eteins ton livre, il est tard" de Pierre-Louis Rozynès dans le supplément week-end du Nouvel Economiste:

"Non, le livre ne mourra pas, tant qu’il y aura encore, sur terre, une frange de population attirée par cet objet incongru: un texte long. Je dis un texte long, pas un texte intéressant, car si un paramètre reste immuable, c’est celui de la segmentation du marché en trois parts parfaitement inégales où le quanti couche souvent avec le quali. Les gros lecteurs (ils fondent), les non-lecteurs (ils grossissent) et les moyens lecteurs (ils stagnent)." Suivent dix questions-réponses qui reviennent constamment, alimentant peurs et fantasmes sur l'avenir de notre bon vieux livre. Petite remarque, les photos auraient pu être actualisées, le Kindle version 2 et le Sony PRS-505 datent un peu, on dirait que l'article est de 2009! L'archive est ici, rendez-vous dans trois ans pour un point d'étape...


Lire en toute discrétion

Rien_a_cacherSelon une étude britannique, 1/3 des lecteurs de livres numériques lisent des livres érotiques. 58% apprécient la lecture numérique parce qu'ils peuvent cacher leurs lectures. Harry Potter et les livres pour enfants font aussi l'objet des livres que l'on ne souhaite pas trop montrer. A recouper avec Harlequin qui confirmait également que beaucoup de leurs lecteurs en mode numérique étaient aussi des hommes et un nouveau public de femmes qu'ils ne touchaient pas auparavant. Lire le billet du DailyMail (via eReaderInfo).


Etats-Unis: la lecture numérique fait lire plus

Aux Etats-Unis, les lecteurs en mode numérique liraient plus que les autres. 21% des américains auraient lu un ebook. L'addiction est là, 24 livres/an contre 15/an pour ceux qui n'auraient pas encore sauter le pas. A découvrir cette infographie intéressante repérée ici. Petit chose quand même, chez Amazon et Nook il n'y a pas que des tablettes, surtout pour les gros lecteurs! Numérique et imprimé, vive la lecture!

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Le futur du livre... en 1935

Comment certains imaginait un dispositif de lecture idéal en 1935:

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Ce qui me frappe c'est que 77 ans après, tous nos disposifs actuels sont finalement bien plus proches de nos livres imprimés que tout cet appareillage qui se rapproche de la télévision. Et dans 77 ans, en 2089, l'intégration dans les lunettes?

(via Graphism).


AlphaLire: les premiers romans à la une

AlphalireConnaissez-vous AlphaLire? AlphaLire est un projet porté par le Festival du premier roman de Chambéry qui va fêter son 25ème anniversaire à la fin du mois. "L'idée est de proposer aux adhérents, aux auteurs et aux lecteurs, AlphaLire, une plateforme de lecture, de diffusion et de partage autour des premiers romans sélectionnés pour le Festival. AlphaLire est une plateforme d’accès à la lecture de premiers romans numérisés sélectionnés pour le Festival, en streaming, c’est à dire via une connexion Internet. Sa mission, comme celle du Festival est de faire découvrir et partager les premiers romans, la littérature de demain, à des lecteurs-acteurs de tous horizons."

Une initiative de sélection et d'exposition sur le web que je trouve très intéressante, tant il est difficile pour les premiers romans de trouver leurs lecteurs. Déjà 12 premiers romans sont à découvrir sur AlphaLire qui vient d'ouvrir cette semaine, 80 à la rentrée de septembre. J'espère que l'on trouvera une solution bientôt pour télécharger des versions pour les livres électroniques (sous forme de service de presse, peut-être chronodégradables). Lire également le billet que lui consacre notre ami Hubert sur LaFeuille qui a pleins d'informations sur la suite du projet. Vive AlphaLire!


La lecture et le comportement

LectureUne récente étude américaine confirme que la lecture présente des bienfaits. On les savait nombreux bien entendu au chapitre de l'acquisition des connaissances, de l'apprentissage de la langue ou encore de la simple détente, mais des chercheurs ont découvert que la lecture pouvait aussi avoir une influence positive sur le comportement. A lire le billet sur LaPresse au Québec.


Comparer les applications de lecture différée

Skitched-20120424-153610Très intéressant comparatif sur les applications de lecture différée, entre les trois les plus populaires, Instapaper, qui a créé le genre en 2008, depuis rejoint par Readability et Pocket (ex-Read it Later). Bien que semblables, ces trois applications ne font pas tout à fait la même chose, et ont chacune un modèle économique différent. Laquelle choisir? Éléments de réponse sur IGénération.


Etats-Unis: le livre électronique face à la tablette

HeaderUne autre étude, celle-ci réalisée aux Etats-Unis, a confirmé que la situation n'est peut-être pas aussi manichéenne que certains voudraient bien le penser. Les livres électroniques restent très populaires aux Etats-Unis.
"Les livres électroniques continuent de jouir d'une utilisation répandue parmi les consommateurs américains, et ce malgré l'adoption rapide des iPads et autres tablettes PC. Selon un nouveau rapport de TDG (The Diffusion Group), la pénétration des livres électroniques dédiés a augmenté de 8% dans les ménages américains en fin d'année 2010 et 20% en fin d'année 2011, une augmentation de 250% en seulement 12 mois.

Bien que cela constitue une diffusion impressionnante (les livres électroniques ont été introduit dès 2007), l'activité de la lecture numérique est rapidement devenue une application de plus proposée par des appareils polyvalents plus puissants, iPad en tête et autres tabletttes. Pour cette raison, de nombreux analystes ont rapidement prédit le déclin rapide des livres électroniques, un peu comme la calculatrice ou la montre-bracelet ont été intégrées par les smartphones.

"Sans aucun doute la demande en lecture numérique est de plus en plus touchée par la disponibilité de plaquettes et les tablettes PC», note Michael Greeson, associé chez TMD et directeur de la recherche. "La tablette  iPad fournit une plate-forme de lecture numérique convaincante qui élimine pour beaucoup la nécessité d'un livre électronique séparé."

En dépit de cette «amplification» de la lecture numérique, les livres électroniques s'avèrent attrayants pour un nombre croissant de consommateurs. Pour ceux qui aiment lire des livres numériques, les livres électroniques dédiés sont nettement moins chers et sans doute plus pratique à utiliser que les grands iPads. "La simplicité et le confort de l'expérience de lecture sur les livres électroniques est difficile à remplacer», note Greeson.

Greeson reconnaît que, au fil du temps, l'écart de prix entre tablettes et livres électroniques va diminuer. Alors que dans une certaine mesure c'est ce qui augmenterait la probabilité que les plaquettes se substitueront aux livres électroniques, il le voit un peu différemment: "Avec la baisse des prix, le livre électronique dédié deviendra si bon marché que leurs avantages de coûts sur les tablettes deviendront encore plus convaincants." Ce fait n'est pas perçu par les établissements d'enseignement pour envisager de passer à des manuels électroniques, encore confrontés à des budgets décroissants. "Dans de tels cas, entièrement basés sur les tablettes, cela se révélera trop cher pour un déploiement de masse."

Pendant le même temps, TMD s'attend à ce que les fabricants comme Apple introduisent des appareils de formats plus petits qui ressemblent davantage aux caractéristiques physiques des livres électroniques, mais qui auront la performance et la mémoire pour supporter un plus large éventail d'applications et de services. "Avec ces fonctionnalités supplémentaires, cependant, viennent des frais supplémentaires, encore une fois la séparation sera renforcée entre livres électroniques simples et ces appareils plus sophistiqués. Indépendamment de la réduction des coûts, les livres électroniques dédiés seront toujours moins chers que les tablettes, et donc suffisamment convaincants pour un grand nombre de consommateurs."

(via EreaderInfo).


Les manuscrits dans les maisons d'édition

AuteurLe site Envie d'Ecrire, toujours une mine de vidéos de qualité. Aujourd'hui le témoignage de Bruno Migdal qui a décidé de se rapprocher du monde des lettres en effectuant un stage dans une maison d’édition. De cette expérience est sorti Petits Bonheur de l’Edition (La Différence, 2012). A travers ce livre, il témoigne des codes du monde de l’édition qu’il a pu observer. A noter que bon nombre de ces manuscrits refusés vont rejoindre maintenant les sites d'auto-publication (qui font florès) et les librairies numériques; un nombre sûrement considérable dans quelques années, bien au-delà de l'offre des éditeurs.


Le livre "social" au Labo de l'Edition

Lecture-sociale1A signaler ce soir au Labo de l'édition à Paris, une table ronde autour de la fameuse "lecture sociale". L'expression est maintenant partout sur les réseaux (eux aussi) sociaux. Alors, pour ce bon vieux livre "associal", phénomène durable ou effet de mode? Le débat est organisé avec le Social Media Club.

Communément utilisée pour décrire des pratiques liant le livre aux réseaux sociaux, l'expression "lecture sociale" désigne la création par les internautes de contenus partagés autour de textes et d'ouvrages. Recommandations, critiques, annotations… Quelles informations partage-t-on vraiment et quels modèles économiques y sont adossés?

Le Social Media Club et le Labo de l’édition proposent une conférence dédiée au «livre social», pour aborder différents enjeux:

Un grand mouvement de socialisation?

ReadSocial, 24Symbols, ReadingLife, Babelio, IWriteReadRate… Quel panorama peut-on dresser en France et à l’étranger des services innovants créés autour de la lecture sociale? Que proposent-ils et quelles informations sont-elles transmises au sein de leurs différentes communautés?

Le lecteur créateur de contenus… et de valeur.

Les espaces d’écriture qu’offre le web 2.0 encouragent la création de contenus par les usagers. Une valeur également marchande quand une critique renvoie à un site de e-commerce: ce modèle du «faire faire» sera-t-il amené à évoluer au gré des innovations technologiques?

Les best-sellers… et les autres livres.

«Les plus populaires», «les plus commentés»: des outils existent désormais pour transférer au monde numérique la popularité d’un livre. Kobo Pulse indique par exemple au lecteur quand le passage qu’il est en train de lire a suscité un nombre important de commentaires de la part d’autres utilisateurs. Pour des ouvrages à diffusion plus modeste, de quelle valeur ajoutée les outils de partage peuvent-ils être porteurs?

Invités:

  • Marc JAHJAH, Doctorant à l’EHESS, auteur du blog Sobookonline
  • Pierre FREMAUX, Co-fondateur de Babelio
  • Sébastien BAGO, Merchandiser chez Kobo
  • Étienne CANDEL, Enseignant-Chercheur au CELSA, spécialiste de la critique littéraire participative

Animation des débats par Pierre-Yves Platini,
Président-fondateur du Social Media Club France

S’inscrire pour participer à la table ronde (dans la limite des places disponibles).

Etude sur les usages du livre numérique

UsagesJe relaie l'initiative du MédiaLab-Sciences Po et du MOTif qui se sont associés pour mener une étude sur les usages de lecture et les pratiques d'achat de livres numériques en France. Voici les détails:

Etude sur les usages de lecture et la pratique d’achat de livres numériques en France

Madame, Monsieur,

Vous êtes lecteurs de livres numériques?

Vos modes de lectures et d’achat nous intéressent: nous souhaitons en effet mener une recherche sur les usages de livres numériques.

Notre démarche n’est absolument pas commerciale et vos réponses resteront anonymes.

Que cherchons-nous?

Par exemple: quels sont les critères d’achat et les contraintes rencontrées? quels sont les types de livres lus et sur quel(s) écran(s)? sont-ils différents des livres imprimés que vous lisez? comment gérez-vous votre bibliothèque numérique? prêtez-vous vos appareils de lecture à votre entourage? etc.

Nombreuses sont les questions que se posent auteurs, éditeurs, libraires et bibliothécaires et auxquelles nous allons tenter d’apporter des réponses.

Qui sommes-nous?

Le MOTif, observatoire du livre et de l’écrit (Conseil régional d’Ile-de-France), et le Medialab, département de recherche de pointe (Sciences Po. Paris), se sont associés pour mener à bien cette étude.

Comment souhaitons-nous procéder?

Nous souhaitons pouvoir interviewer une cinquantaine de personnes ayant déjà une pratique de lecture de livre numérique (toutes modalités confondues: à l’unité, abonnement, location, streaming; et quel que soit l’appareil utilisé, le type de livres, etc.).

Vous êtes d’accord pour participer?

Vous habitez Paris ou la région parisienne, et vous acceptez de nous accorder au moins une heure: nous venons vous rencontrer à l’heure et à l’endroit qui vous conviennent pour un entretien qui abordera ces différentes thématiques, face aux appareils de lecture (ordinateur, tablette, etc.) que vous avez l’habitude d’utiliser.

Nous vous remercions beaucoup par avance de joindre Maxime Crépel, chargé de recherche au Médialab – Sciences Po.) par téléphone (06.20.90.34.30) ou par mail ([email protected]).

Cécile Moscovitz, responsable des études du MOTif, est aussi à votre disposition pour toute question: [email protected] ou 01.53.38.60.63.

Le MOTif est un organisme associé de la Région Ile-de-France.

Merci d'avance pour votre participation.


20 000 lieues sous l'écriture - n°54

Lecture1Notre poisson Thierry est là aussi aujourd'hui:

Lire Jean-Philippe Toussaint, ça passe ou ça casse.
Ecrivain fétiche des fameuses Editions de Minuit au style minimaliste.
J’avais beaucoup aimé lire ses romans «La Salle de bain» (1985), «La Télévision» (1997, Prix Victor Rossel) et «Fuir» (2005, Prix Médicis).

Ici, dans «L’Urgence et la Patience» aux Editions de Minuit, il nous plonge 20 000 lieues sous l’écriture. Ecrivain comme si vous l’étiez! Immersion totale!
Le livre devient le «rêve de pierre» (Baudelaire).
Le rêve de liberté, de l’inconnu, de l’audace, du risque et du fantasme.
La pierre solide et ferme du travail inlassable.
L’urgence de l’impulsion, de la fougue, de la vitesse et de la fragilité. Rimbaud et Dostoïevski.
UrgenceLa patience de la lenteur, la constance et l’effort. Flaubert.
«L’urgence est un état d’écriture qui ne s’obtient qu’au terme d’une infinie patience.»
Descente en scaphandrier dans les fonds de l’écriture.
«Il faut plonger, très profond, prendre de l’air et descendre, abandonner le monde quotidien derrière soi et descendre dans le livre en cours, comme au fond de l’océan.»
Secret d’écrivain: «Il faut éteindre beaucoup de vie réelle pour obtenir le concentré d’une seule page de fiction.»
C’est un livre sur la lecture aussi.
Lire les fabuleux 8 000. Où comment le lecteur téméraire devient un alpiniste accompli.
Lire «Ulysse» de Joyce, «Au-dessous du volcan» de Malcolm Lowry, «L’Homme sans qualités» de Musil ou «Le quatuor d’Alexandrie» de Durrell. Bon courage pour certains que ne citerai pas!
Des conseils: lire Proust en commençant par la deuxième partie de «Du côté de chez Swann» en sautant «Combray» et en allant directement à «Un amour de Swann». J’approuve!
Lire Dostoïevski.
Des citations.
«Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous.» Kafka.
«J’ai l’amour du mot, les mots ont été mes seuls amours, quelques uns.» Beckett.
Des hommages. Beckett. Jérôme Lindon le directeur emblématique des Editions de Minuit, décédé en 2001.
Un livre qui donne envie de lire et... d'écrire... Un livre qui donne envie est toujours un bon livre!
Pour moi, ça passe...
Lire c’est «Fermer les yeux en les gardant ouverts.»

Lu dans cadre du club des lecteurs numériques.

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Les bibliothèques s'échangent

échangesPratique qui se développe de manière exponentielle depuis quelques mois seulement, les lecteurs commencent à s'échanger leurs bibliothèques sur les réseaux en toute discrétion avec des comptes Dropbox. Livres scannés et corrigés que l'on retrouve un peu partout, mais aussi des achats mis en partage pour des dizaines d'autres lecteurs. Des chaines de "solidarité" s'organisent. Repérée ce week-end, une très copieuse bibliothèque de 4495 titres. C'est quand même plus de 12% de l'offre ePagine!


Enquête sur les pratiques de lectures numériques

EnquetePetite enquête que réalise une étudiante à l'Université de Rennes:

"Étudiante en master 2 Métiers de l'Enseignement et de la Formation, option Documentation, je rédige cette année un mémoire sur l'évolution des supports de lecture et sur ce que cette évolution entraîne au niveau des pratiques de lecture de fiction (roman, bande dessinée, poésie, etc...). Ce questionnaire s'adresse donc aux lecteurs de fictions numériques, pour essayer de cerner quels sont leurs usages en matière de lecture de fiction sur les nouveaux appareils électroniques. Y a-t-il une différence en terme de lecture de fiction entre le support imprimé et le support numérique? Les nouveaux supports ont-ils changé les habitudes de lecture de fiction?"

Merci d'avance de prendre quelques minutes de votre temps pour lui répondre. C'est ici.